• Do you know that. ..?

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    "Au commencement Dieu créa… » Genèse 1.1

    La première phrase du premier livre de la Bible révèle ce qui est important pour Dieu et pour nous : « Au commencement Dieu créa les cieux et la terre ». Dieu veut être reconnu comme une Personne, comme le Créateur. C’est important pour Lui. Qui dit Créateur dit aussi relation, parce qu’une personne ne peut pas vivre sans relation. C’était le but de Dieu en créant l’homme, d’avoir une relation privilégiée avec sa créature.

    Dieu n’est pas simplement une force ou un grand horloger qui a mis le monde en marche et qui ensuite ne s’en occupe plus. Dieu nous a créés pour avoir une relation avec nous. Il ne se cache pas derrière un univers créé. Je lisais récemment le témoignage d’un naturaliste qui répondait à la question : « Y a-t-il un Dieu qui se cache derrière le mot « nature » ? Sa réponse : « Une force nous dépasse, j’en suis convaincu, elle est là et donne du sens au monde. Ma manière de me mettre en contact avec cette force, c’est de m’immerger dans la nature ». Dieu, une force ? Non, Il est une Personne. Il ne faut pas confondre la création avec Celui qui l’a créée.

    Comment répondre à ce désir de Dieu ? La prière est une manière d’exprimer ma relation avec Dieu. Au début de ma prière, je peux penser à qui je m’adresse. Si Dieu aime à être reconnu comme le Créateur, pourquoi ne pas le lui dire ? Mon attitude vis-à-vis de Dieu au début de ma prière aura une influence sur ma manière de lui présenter mes demandes et sur mes attentes envers lui. La Bible donne des exemples de prières d’hommes et de femmes qui ont exprimé verbalement leur foi en un Dieu Créateur. Ces prières nous sont rapportées pour nous servir de modèles. En voici quelques exemples :

    Ezéchias : Le grand roi Ezéchias a reçu vers l’an 700 avant Jésus-Christ une lettre d’injures et de menaces de la part d’un ennemi redoutable qui voulait s’emparer de Jérusalem. De quoi être terriblement effrayé ! Que fait Ezéchias ? Il prend la lettre, l’ouvre devant Dieu et prie : « Éternel, Dieu d’Israël, toi qui sièges entre les chérubins, c’est toi qui est le seul Dieu de tous les royaumes de la terre, c’est toi qui a fait le ciel et la terre. Éternel, tends l’oreille et écoute ! » (2 Rois 19.15). Ezéchias se place sous la protection du Dieu tout puissant, du Dieu souverain, Celui qui a fait le ciel et la terre. Dans ce cas particulier, Ezéchias sera délivré de son agresseur sans même devoir combattre avec ses armées.

    Les Lévites : Alors que du temps de Néhémie, le peuple redécouvre le livre de la loi de Dieu, un groupe de Lévites (hommes qui devaient s’occuper du temple) prie pour tout le peuple d’Israël. Au début de leur prière, ils s’adressent au Créateur dans ces termes : « C’est toi, Éternel, toi seul qui as fait le ciel, les cieux des cieux et toute leur armée, la terre et tout ce qu’elle porte, les mers et tout ce qu’elles contiennent. C’est toi qui donne la vie à tout cela, et les corps célestes se prosternent devant toi » (Néhémie 9.6). J’admire cette relation de respect et de soumission envers le Créateur qui nous a donné la vie. L’émerveillement devant la création nous rapproche de Dieu et nous invite à lui faire confiance.

    Jérémie : Sa prière correspond à un événement très particulier de sa vie. La ville de Jérusalem est assiégée par des troupes ennemies et Jérémie est enfermé dans la prison à l’intérieur de la ville. Pourtant Jérémie achète un champ à l’extérieur de la ville. Quelle idée bizarre ! La démarche de Jérémie a certainement été commentée dans toute la ville ! Jérémie ne se décourage pas ; sa relation à Dieu était pleine de confiance ; il s’en remet totalement à son Créateur pour qui rien n’est trop difficile et il accompagne sa décision par une prière : « Après avoir remis le contrat de vente à Baruc, fils de Nérija, j’ai adressé cette prière à l’Éternel : Seigneur, Éternel, c’est toi qui as fait le ciel et la terre par ta grande puissance et ta force. Rien n’est trop difficile pour toi. » (Jérémie 32.16-17).

    L’église à Jérusalem : Cette église a connu très tôt la persécution. Au début, seuls les apôtres étaient maltraités. Les apôtres Pierre et Jean venaient d’être relâchés par les autorités qui les avaient arrêtés et menacés. Leur premier désir est de se joindre à une réunion de croyants où ils font part de leur libération, contre toute attente. En réponse les croyants sont un cœur et une âme pour prier : « Maître, tu es le Dieu qui a créé le ciel, la terre, la mer et tout ce qui s’y trouve, c’est toi qui as dit par le Saint Esprit, par la bouche de notre père, ton serviteur David : Pourquoi cette agitation parmi les nations ? » (Actes 4.24-25). Le souvenir de la toute puissance créatrice de Dieu les aide à voir dans ce qui est arrivé la réalisation d’une promesse de Dieu. Ils demandent ensuite à être délivrés, non des dangers, mais de la crainte ; non d’être protégés, mais encouragés ; non pas la sécurité, mais l’assurance.

    Cette prière peut servir de modèle pour les croyants. En reconnaissant la puissance créatrice de Dieu, j’accepte que même ceux qui me font des difficultés sont des créatures de Dieu et sont soumis à sa souveraineté. Voilà ce qui change mon regard sur les autres et ce qui va influencer ma prière pour ceux qui me font des ennuis ! Dieu lui-même aime à proclamer qu’il est le Créateur. Plusieurs fois, particulièrement dans le livre du prophète Esaïe, on trouve des expressions comme celle-ci : « Voici ce que dit l’Éternel, le Dieu qui a créé le ciel et l’a déployé, qui a disposé la terre et tout ce qu’elle produit et qui donne la respiration à ceux qui la peuplent, le souffle à ceux qui y marchent ».

    Alors, quand tu t’adresses à Dieu par la prière, n’oublie pas de le reconnaître comme ton Créateur ; cela va t’encourager, te donner confiance dans sa toute-puissance ; cela entrainera la reconnaissance et l’adoration dans ton cœur... et... Dieu y prendra plaisir!

    Michel .H

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  • 1942

    Décédée à 98 ans en 2008.. Elle demanda pendant la 2ème guerre mondiale à aller travailler dans le Ghetto de Varsovie, comme plombier, serrurier. Elle avait une motivation bien particulière. Elle connaissait les plans d'extermination des nazis envers les juifs, elle était Polonaise.

    Irena a caché des enfants dans le fond de sa boîte à outils qu'elle transportait à l'arrière de son véhicule ainsi qu'un grand sac (pour les enfants plus grands). Elle avait aussi un chien à l'arrière qu'elle a entrainé à aboyer quand les soldats allemands la contrôlaient à l'entrée et à la sortie du ghetto. Les soldats ne pouvaient rien contre le chien qui couvrit en fait le bruit que pouvaient faire les enfants.

    Elle sauva 2500 enfants en les cachant ainsi. Elle fut arrêtée et les nazis lui brisèrent les jambes, les bras et la torturèrent très sévèrement Irena garda tous les noms des enfants qu'elle avait sortis du Ghetto et garda ces noms dans une jarre en verre enterrée derrière un arbre, au fond de son jardin derrière sa maison. Après la guerre, elle essaya de localiser tous les parents qui avaient pu survivre et tenta de réunir les familles; mais la plupart avaient été gazés. Les enfants qui avaient été sauvés ont été placés dans des familles d'accueil ou ont été adoptés. L'année dernière elle a été proposée pour « le prix Nobel de la Paix », mais n'a pas été retenue; ( c'est Al Gore qui fut primé « pour son film » sur le « réchauffement de la planète ») En sa mémoire, 63 ans plus tard, je participe à cet anniversaire.....

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    Les vrais héros ne demandent rien,ils ne font pas cela pour être récompensés ,ni mis au devant de la scène mais au contraire ils préfèrent être dans l'ombre!

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    Verset du jour

    Luc. 10, 25-37

    Jésus offre à l'homme qui le questionne un tableau, une parabole. C'est ainsi que nous voyons très bien l'événement. Sur le chemin de Jérusalem à Jéricho, chemin désert, un voyageur est attaqué, blessé, dépouillé, puis laissé à demi-mort. Fait qui s'est répété bien des fois dans notre pauvre monde.

    Le tableau serait tragique, ridicule même, si le bon Samaritain s'était approché de cet homme misérable et lui avait présenté une longue théorie concernant des points litigieux de la tradition, au lieu de lui porter secours. Même Molière n'aurait su peindre une scène aussi comique, mêlée de tragique.

    Aujourd'hui, comme alors, nous vivons dans un monde de misère. L'humanité a toujours souffert, non du manque de docteurs, mais du manque de bons Samaritains, d'hommes et de femmes qui suivent l'exemple laissé par Jésus.

    Les livres sont excellents pour s'instruire, les doctrines agréables à entendre, mais le bon Samaritain n'a fait aucune de ces choses: il s'est arrêté pour panser la plaie du blessé.

    L'état de cet homme dépouillé au bord du chemin nous présente deux aspects de la souffrance humaine:
    -la misère qui provient de la pauvreté, de la maladie ou de la rapacité du prochain;
    -la misère qui est notre part en raison du péché, d'une vie de péché.

    «Lequel de ces trois te paraît avoir été le prochain de celui qui était tombé entre les mains des brigands?» -«C'est celui qui a exercé la miséricorde envers lui.»

    Un lévite et un prêtre passaient par le même chemin. Leur grand savoir rabbinique les occupait entièrement; ils en étaient fiers. Ils enseignaient, mais ne pratiquaient point. Sur le bord du chemin, le blessé allait peut- être succomber à ses blessures; mais ils passaient!

    Des hommes ont faim, d'autres ont froid, alors que nous avons ce qu'il nous faut. Pensons aux millions de personnes qui souffrent: pauvreté matérielle, déchéance morale, manque de nourriture spirituelle. «Ne nous lassons pas de faire le bien, car nous moissonnerons au temps convenable, si nous ne nous relâchons point.» Ainsi donc, pendant que nous en avons l'occasion, faisons du bien à tous, mais principalement à nos frères en la foi (Gal. 6, 9-10).

    K. Gurunian

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  • Nous lisons au psaume 32:6 :

    «Tout homme pieux te priera au temps où l’on te trouve».

    Si nous sollicitons une audience auprès d’un personnage important, il faut attendre quelquefois longtemps avant d’être reçu. Notre Dieu est constamment disponible pour ses enfants ; c’est toujours «le temps où on le trouve» ; c’est nous qui, bien souvent, ne sommes pas disponibles pour venir à Lui. Ne laissons pas passer les moments où l’Esprit porte nos coeurs à s’adresser à Dieu.

    André George

     

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