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    Soyons informés



  • 1942

    Décédée à 98 ans en 2008.. Elle demanda pendant la 2ème guerre mondiale à aller travailler dans le Ghetto de Varsovie, comme plombier, serrurier. Elle avait une motivation bien particulière. Elle connaissait les plans d'extermination des nazis envers les juifs, elle était Polonaise.

    Irena a caché des enfants dans le fond de sa boîte à outils qu'elle transportait à l'arrière de son véhicule ainsi qu'un grand sac (pour les enfants plus grands). Elle avait aussi un chien à l'arrière qu'elle a entrainé à aboyer quand les soldats allemands la contrôlaient à l'entrée et à la sortie du ghetto. Les soldats ne pouvaient rien contre le chien qui couvrit en fait le bruit que pouvaient faire les enfants.

    Elle sauva 2500 enfants en les cachant ainsi. Elle fut arrêtée et les nazis lui brisèrent les jambes, les bras et la torturèrent très sévèrement Irena garda tous les noms des enfants qu'elle avait sortis du Ghetto et garda ces noms dans une jarre en verre enterrée derrière un arbre, au fond de son jardin derrière sa maison. Après la guerre, elle essaya de localiser tous les parents qui avaient pu survivre et tenta de réunir les familles; mais la plupart avaient été gazés. Les enfants qui avaient été sauvés ont été placés dans des familles d'accueil ou ont été adoptés. L'année dernière elle a été proposée pour « le prix Nobel de la Paix », mais n'a pas été retenue; ( c'est Al Gore qui fut primé « pour son film » sur le « réchauffement de la planète ») En sa mémoire, 63 ans plus tard, je participe à cet anniversaire.....

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    Les vrais héros ne demandent rien,ils ne font pas cela pour être récompensés ,ni mis au devant de la scène mais au contraire ils préfèrent être dans l'ombre!

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  • En Inde

     

    En inde, un village interdit les téléphones portables aux femmes

    Pendant que l’on passe notre temps sur les réseaux sociaux et à jouer à toutes sortes de jeux sur nos smartphones, certaines femmes ont interdiction d’utiliser un téléphone portable en Inde. Selon le chef d’un village, ce serait une terrible « nuisance » pour la société. Et en plus, cette loi a été votée.

    On passe parfois trop de temps sur nos smartphones. Nombreuses sont les Françaises (et nous les premières) à avoir succombé à l’ère du numérique et à avoir dépensé une fortune dans l’un de ces appareils pour communiquer sur les réseaux sociaux ou passer un simple coup de téléphone. On surfe sur le web, on s’informe et on joue à Candy Crush. En bref, on a du mal à nous passer de cet objet qui occupe parfois trop de place dans notre journée. Et ce qu’on a tendance à oublier, c’est que toutes les femmes n’ont pas notre chance et nos libertés. Cette utilisation du smartphone, que l’on trouve complètement normale en Europe, tout le monde n’y a pas accès. Pire, elle fait l’objet d’une vraie interdiction dans certaines zones dans le monde. En Inde par exemple, un village a récemment voté une loi afin que les femmes n’aient pas accès au téléphone portable. On ne parle pas d’iPhone ou autres gadgets technologiques hyper-branchés mais d’une simple utilisation d’un mobile.

    Le téléphone portable, un danger pour les femmes non mariées

    Le chef d’un village indien (qui se situe dans l’Etat du Gujarat) a donné son avis sur les dérives du téléphone portable à l’AFP. Apparemment, il apparaîtrait comme un véritable objet de perversion pour les femmes. "Les dirigeants de la communauté ont estimé que, comme pour l’alcool, l’usage des téléphones mobiles pour les femmes non mariées était une nuisance pour la société" explique Devski Vankar. Les membres du conseil du village ont approuvé les propos du dirigeant et une loi a donc été votée à Suraj. Selon eux, posséder un portable déconcentrerait les femmes de leurs études et de leurs tâches ménagères. Non, ce n’est malheureusement pas une blague. Ils ont réussi à se faire entendre avec un discours aussi léger.

    Une amende pour celles qui désobéissent

    Celles qui désobéiraient au règlement du village de Suraj ont désormais le droit à une contravention salée. Plus d’un mois de salaire pour toutes celles qui seraient vues en train d’utiliser un téléphone portable. Et inversement pour ceux ou celles qui décideraient de faire une "bonne action" et de dénoncer les "pêcheuses" : une récompense financière leur est aussi attribuée. Il semblerait que le village s’apprête à instaurer cette même loi pour les jeunes garçons mais, pour le moment, il ne s’agit que d’une rumeur. Encore une fois, les droits de femmes dans le monde sont bafoués… Et c’est honteux !  

    Source : bibamagazine

    Ainsi va la vie pour les uns et pour les autres

     

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  •  -------------Santé Pour Tous------------

    Voilà pourquoi la ville de Kinshasa est renommée dans des multiples cas de fièvres typhoïdes et de malaria faisant un nombre élevé de mort dont la plus part sont des enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes.

    Si chacun de nous essayer d’appliquer les règles d’hygienne notre capitale serait la plus propre de tout l’Afrique. RDC

    Réveille-Toi RDC , Toi qui dors!!!...

    LE RÉVEIL DE LA CONSCIENCE POUR LA RDC

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  • Une coutume astucieuse La liste des pays proclamant la légalisation du mariage homosexuel et la constitution de familles homoparentales s’allonge. L’Occident reste cependant bien en avance sur les pays africains où seul l’Afrique du Sud fait figure de pionnière. Toutefois le mariage entre femmes, exclusivement, est une pratique ancestrale qui a toujours eu cours chez certaines ethnies kényanes, dont les kouria établis dans le sud-ouest du Kenya. Il en découle un modèle homoparentale certes, qui n’induit cependant pas la question de l’orientation sexuelle.

    HOMOPARENTALITÉ: QU’EN EST-IL DE L’AFRIQUE?

     

    Une tradition ancestrale

    L’ethnie Kouria pratique encore aujourd’hui ce qui est appelé le Nyumba Ntobu. Ce terme désigne une union entre deux femmes. L’une des femmes occupe clairement le statut de « mari », donc la place revenant à l’homme. Il s’agit en effet d’une astuce pour permettre aux femmes, parfois d’un âge avancé, n’ayant pas eu de descendance, de pouvoir perpétuer leur lignée et ainsi occuper une place respectable dans la société. En effet, l’ethnie Kouria, fonctionne sur un système social patriarcal. Aussi, les femmes existent et sont limitées dans le schéma sociale par leurs rôles d’épouses et de mères. Par conséquent, lorsqu’elles se retrouvent dans l’incapacité de remplir ces fonctions, il leur est donc attribué une « épouse » en âge de procréer.

    La perpétuation de la lignée

    La cérémonie de mariage est exactement la même que celle en vigueur entre un homme et une femme. La famille du « mari » entre en pourparler avec celle de la « femme » et paie sa dot. Celle qui occupe le rôle de mari devient de facto un homme aux yeux de la communauté. Elle participe aux prises de décisions réservées à la sphère masculine ou encore figure en têtes de liste quant aux héritages. Elle devient le chef de famille et donne son nom aux enfants qui découlent de cette union. Ces derniers sont conçus par un jeune homme choisi uniquement à cet effet.

    C’est donc une union purement sociale, excluant l’échange sexuelle. Cependant, comme les autres, ces couples ne sont pas à l’abri de désaccords. C’est un tribunal traditionnel qui est alors chargé de régler les litiges. Toutefois, il est déjà arrivé que ces affaires soit jugées en cours de justice civile même si le mariage kuria n’est pas encore reconnu par la loi kényane.

    Par Auzouhat Gnaoré

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  • Une femme de 92 ans portait un fœtus depuis un demi-siècle

    Les médecins n'imaginaient sans doute pas découvrir ça. Au Chili, des examens de routine réalisés après une chute ont révélé qu'une grand-mère de 92 ans portait depuis au moins cinquante ans un fœtus momifié, pesant près de deux kilos, raconte Radio Bio Bio.

    "C'est une découverte fortuite qui n'avait aucun lien avec les causes de l'examen de la patiente", a déclaré un responsable d'un hôpital de la ville portuaire de San Antonio, à l'ouest de la capitale Santiago. Aucune gêne particulière C'est lors d'une radiographie des hanches, suite à une chute, que le fœtus a été découvert. Celui-ci avait un développement d'environ sept mois et pesait deux kilos. Le fœtus n'ayant causé aucune gêne particulière pendant toutes ces années, la nonagénaire ne se doutait absolument pas qu'elle était enceinte. Si les raisons de la momification n'ont pas été précisées, ce processus semble correspondre aux symptômes d'un lithopédion, un cas très rare où le fœtus issu d'une grossesse extra-utérine non arrivée à terme meurt sans avoir été expulsé. Le diagnostic réalisé, la grand-mère a finalement a pu regagner son domicile quelques heures après son hospitalisation, sans être opérée.

    Source : metronews.fr

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  • Au pays du roi Mohammed VI, le port de jupes n’est pas un crime mais le port de jupes trop courtes peuvent l’être et peuvent conduire à passer devant le juge. C’est deux jeunes femmes de ce pays qui passeront en procès le 06 juillet prochain ont ignoré et qui leur vaut une comparution. Selon l’objet même de l’accusation, on parle d’ ‘‘atteintes aux bonnes mœurs’’.

    Pour cette affaire qui fait le buzz sur la toile, surtout sur Facebook, où, une vidéo postée par la militante Boutaina Elmakoudia raflé déjà plus de 40.000 vues, et des réactions qui plaident pour une libération des deux jeunes dames et l’abandon des poursuites, tout est parti le dimanche 14 juin dernier. Ce jour là, ces deux jeunes dames de 20 ans incriminées faisaient leurs courses dans le Souk d’Inezgane dans le sud du Maroc quand soudain, elles sont interpellées par un commerçant. Ce dernier n’a pas apprécié leur robe trop courte à ses yeux et qui serait attentatoire à la pudeur. La suite ce fut une foule qui s’en mêlera au point où les deux jeunes dames par crainte de lynchage et pour leur vie, ne trouverons finalement refuge que dans une boutique proche du lieu avant l’arrivée de la police. ‘‘procès’’ sera vite fait à ces deux jeunes dames, puisque, la police donnant à son tour raison à la foule et jugeant la tenue de ces deux jeunes femmes comme portant ‘‘atteinte aux bonnes mœurs’’, embarquera ces dernières au poste de police. D’après le journal Assabah qui rapportait le premier l’information, les deux dames qui passeront en procès le 06 juillet prochain, y passeront la nuit et seront par la suite déférées devant le procureur du roi… Et c’est ce dernier qui a pris sur lui de les poursuivre pour atteinte aux bonnes mœurs. En attendant la comparution de ces deux jeunes femmes, il est à noter que le procès bat son plein sur la toile, où indignés des Marocains et des organisations de défense des droits de l’homme dans ce pays juge illégale leur arrestation qui d’après eux, est ‘‘une transgression flagrante des libertés individuelles’’.

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  • Polémique autour d'une épicerie musulmane qui voulait séparer hommes et femmes

    A Bordeaux, le propriétaire d'une épicerie a provoqué un tollé en proposant d'instaurer des jours d'ouverture distincts pour les hommes et les femmes. Critiqué par le maire et l'imam de la ville, il a finalement renoncé ce lundi à son projet.

    Jean-Baptiste Michalon, converti à l'islam depuis trois ans, a eu une étrange idée pour concilier sa pratique de la religion et son activité professionnelle. Ce jeune propriétaire d'une épicerie musulmane de 24 ans a toute bonnement décidé d'instaurer des jours d'ouverture distincts pour les hommes et les femmes. Aux "frères", les jours en semaine, aux "soeurs", les jours du week-end, rapporte Sud-Ouest qui a révélé l'affaire ce lundi.

    Cette initiative discriminatoire est non seulement passible de trois ans de prison et 45.000 euros d'amende mais elle a été unanimement critiquée. Si bien que le jeune homme a finalement décidé ce lundi de retirer son affichette. Il assure n'avoir refusé l'entrée de son commerce, située dans un quartier populaire, à personne et qu'il ignorait que c'était illégal.

    "Nous avions mis cela en place à la demande des 'soeurs', qui préféraient quand ma femme est derrière le comptoir [...] C'est un magasin où il y a des vêtements", s'est-il justifié auprès de l'AFP. "Cela s'adressait à un public averti, qui sait que notre pratique de la religion [musulmane, ndlr] n'autorise pas la mixité". A France Bleu, il a poursuivi : "Je pensais que c'était plus pratique. Une femme mal à l'aise avec les hommes, c'est ma femme qui vient la servir. Avec un homme, ils peuvent faire connaissance, et çà peut partir sur des histoires d'adultère. C'est une incitation au péché."

    "On a jamais vu ça même à l'époque du prophète"

    Interrogé par France 3 Aquitaine, l'imam de Bordeaux a condamné cette vision de l'islam. "On a jamais vu ça même à l'époque du prophète", s'est-il insurgé "Les marchés étaient mixtes. Ca me paraît un peu bizarre dans un monde où la mixité est une culture établie."

    Le maire de Bordeaux, Alain Juppé, a lui aussi vivement critiqué cette initiative et appelé "les autorités compétentes à se saisir de ce dossier afin de faire cesser de telles pratiques discriminatoires et d'appliquer les mesures que prévoit la loi en de telles circonstances". Dans un communiqué et sur Twitter, l'élu Les Républicains a dit condamner "fermement un comportement en totale contradiction avec les règles républicaines d'égalité et de mixité".

    Polémique autour d'une épicerie....

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  • La fille d'un prédicateur américain réputé a été interviewée dans un Talk-show télévisé aux Etats-Unis (New York) et l'animatrice lui a demandé « Comment Dieu a pu laisser une telle horreur se produire ? (La dernière tuerie au campus de Virginia tech ) Cette jeune fille a donné une réponse aussi profonde que perspicace.. Elle déclara: « Je crois que Dieu a été profondément attristé par tout ça, au moins autant que nous, mais depuis des années nous lui disons de sortir de nos écoles, de sortir de nos gouvernements et de sortir de nos vies. En tant que "'gentleman", Il s'est calmement retiré.

    Comment pouvons-nous espérer que Dieu nous donnera sa bénédiction et sa protection si nous insistons pour qu'il nous laisse seuls ? » Concernant les récents événements, (attaques terroristes, tuerie dans les écoles, guerres, etc... ) Je crois que cela a commencé avec Madeleine Murray O'Hair (elle fut assassinée ) qui s'est plainte de ne plus vouloir la prière dans les écoles, et nous avons dit OUI. Puis un autre a dit que nous ne devrions pas lire la Bible à l'école la même Bible qui enseigne "Tu ne tueras point, tu ne voleras point, et aime ton prochain comme toi-même" et, nous avons dit OUI. Ensuite, le Dr. Benjamin Spock a dit que nous ne devrions pas taper nos enfants quand ils agissent mal car leur petite personnalité serait faussée et nous pourrions altérer leur estime personnelle. (Le fils du même docteur s'est suicidé). Ils disent qu'un expert devrait savoir de quoi il parle peu importe ce qu'il nous dit et nous avons dit OUI. Maintenant, nous nous demandons pourquoi nos enfants n'ont pas de conscience, pourquoi il ne font pas la différence entre le bien et le mal, pourquoi ils peuvent sans émotions tuer des étrangers, des parents ou eux-mêmes.

     

    Probablement qu'à force de profondes réflexions, nous en viendrons à la conclusion que cela a à voir avec le principe de "récolter ce qu'on a semé"! C'est drôle de voir à quel point il est simple pour les gens de rejeter Dieu et se demander ensuite pourquoi leur monde devient un enfer, à quel point nous croyons tout ce que les journaux disent et remettons en question tout ce que la Bible dit. C'est drôle de voir que nous pouvons envoyer des 'jokes' par mail qui se répandent comme un feu de paille mais lorsqu'on envoie des messages à propos de Dieu, les gens y pensent à deux fois avant de les partager. C'est drôle de voir que des articles impudiques,gros­­­­siers, vulgaires et obscènes se propagent si facilement et librement mais des discussions publiques sur Dieu sont supprimées dans des écoles et des entreprises. C'est drôle de voir que quand vous allez lire ce mail, vous ne l'enverrez probablement pas à beaucoup de gens de votre carnet d'adresse parce que vous ne savez pas en quoi ils croient ou ce qu'ils penseront de vous.

    C'est drôle de voir que nous nous préoccupons plus de ce que les gens pensent de nous que de ce que Dieu pense de nous. Partagez ce message si vous croyez qu'il en vaut la peine, si non jetez-le? Personne ne le saura ! Mais si vous jetez ce processus de réflexion, ne vous plaignez pas du mauvais état du monde dans lequel nous vivons!

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  • Apprenons des erreurs des autres:

    Une famille (un homme son épouse et leur bébé) Qui revenait d'un dîner hors de la maison dans un restaurant, a senti l'odeur de gaz dans la maisonnée. Lorsque le chef de famille a allumé l'ampoule pour y voir clair, il y eut une explosion qui tua le mari sur le coup, tandis que la femme est en soin intensif. Le bébé fut sauvé car étant loin de l'explosion. Des ustensiles furent retrouvés à plus de 200 m du lieu de l'explosion.

    Lu pour vous

    Leçon à tirer:

    Lorsque vous sentez l'odeur de gaz n'allumez pas les ampoules, par contre procédez à l'ouverture des fenêtres et volets, en douceur, afin de ne pas créer des étincelles. Fermez la bouteille de gaz. ne pas allumer les ampoules qu'après être assuré de la dissipation de l'odeur du gaz. Aussi n'ouvrez pas le frigo ou le congélateur car cela pourrait créer aussi des étincelles. Contentez vous d'ouvrir les fenêtres et les volets. Si vous êtes à l'extérieur de votre maison, mouillez la clé même avec votre salive avant de l'introduire dans la serrure.

    Publiez ce message afin de sauver des vies

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  • Pilote et co-pilote se disputent dans le cockpit avant de décoller

    Une dispute

    Une grosse dispute ou des échanges de coups de poing ? En tout cas, une chose est certaine : le ton est sérieusement monté entre le pilote et son co-pilote dans le cockpit de l'Airbus A 320 d'Air India, juste avant d'effectuer un vol, dimanche soir, entre Jaipur, la capitale du Rajasthan et la ville de New Delhi.

    Selon The Times of India, le commandant de bord aurait demandé à son co-pilote de noter les paramètres du vol : nombre de passagers, le poids du carburant embarqué... Des indications qui sont affichés devant les pilotes pendant toute la durée du vol. Pour une raison qui n'est pas connue, le co-pilote aurait mal pris cet ordre. Selon des sources aériennes, le co-pilote aurait même frappé le commandant de bord. La compagnie aérienne a, elle, minimisé l'accrochage en déclarant qu'il y avait eu «une dispute et rien de plus.»

    Malgré cette chaude ambiance, le commandant de bord a décidé d'effectuer le vol alors que la procédure normale aurait voulu que l'avion reste au sol. A l'atterrissage, les deux pilotes ont été suspendus en attendant les résultats d'une enquête.

     

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