• Chaque enfant de Dieu fait partie de son plan.

    Si vous assistez au concert d'une chorale d'enfants, vous ne vous étonnez pas de voir des enfants regarder partout, sauf le directeur. Ils s'agitent, se tortillent et se poussent entre eux. Sur la pointe des pieds, ils cherchent à trouver leurs parents dans l'auditoire. Ils lèvent la main pour les saluer lorsqu'ils les voient. Oh ! j'oubliais qu'ils chantent aussi à l'occasion. Leur comportement nous fait sourire, car il est mignon chez les enfants, mais il ne l'est pas autant si ce sont les membres d'une chorale d'adultes qui négligent de regarder leur directeur. La bonne musique dépend de chanteurs qui prêtent attention au directeur pour chanter à l'unisson.

    Nous, chrétiens, imitons parfois une chorale d'enfants. Au lieu de regarder Jésus, le grand Chef de la symphonie de la vie, nous passons notre temps à nous agiter, à nous regarder ou à observer l'auditoire.

    Jésus a d'ailleurs reproché ce comportement à Pierre. Après que Jésus lui a dit ce qu'il attendait de lui, Pierre a demandé en désignant Jean: «Et à celui-ci, Seigneur, que lui arrivera-t-il ?» Jésus lui a répondu par une question: «[Que] t'importe ? Toi, suis-moi» (Jn 21.22).

    Nous nous laissons parfois distraire par ce que d'autres font. Nous croyons que le plan de Dieu pour leur vie vaut mieux que son plan pour notre vie, mais le plan de Dieu pour chacun de nous est le même.....

    Notre Pain quotidien

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  • Il existe sur la terre un nombre incalculable de peuples et de tribus qui s’identifient à une certaine culture qui leur est propre. Ce qui frappe le plus au premier coup d’œil, c’est ce qui les différencie les uns des autres. Mais lorsqu’on y regarde de plus près, des similitudes apparaissent. Et plus on observe, plus on prend conscience que le cœur de l’homme est partout le même.

    Mêmes peurs, mêmes croyances!

    Sur le plan culturel, bien des choses diffèrent d’un peuple à l’autre: la musique, les vêtements, la nourriture, etc. Mais lorsqu’on perce ce voile des apparences, on se trouve face au phénomène du mimétisme, c’est-à-dire de la répétition des traditions. Chez les peuples moins développés, les peurs sont les mêmes partout. Le culte des morts, les sacrifices sanglants, les objets sacrés ne sont que quelques exemples des similitudes qui unissent les nations. Il n’y a donc rien de bien original dans les traditions culturelles et religieuses puisque tout n’est que pure imitation d’un peuple à l’autre.

    Recherche de pureté

    Plus que tout autre peuple, nous, les Occidentaux, sommes conscients que quelque chose s’est dégradé dans notre monde. Ça va mal sur tous les plans et rien ni personne ne semble être en mesure d’apporter une solution durable. C’est pourquoi nous sommes fascinés par les nations qui ont conservé leurs traditions anciennes. Dans les années soixante-dix, nombreux sont ceux qui ont pris la route de l’Inde avec l’espoir d’y trouver ce qui donnerait un sens à leur vie. D’autres, des Européens, viennent ici au Québec pour voir d’authentiques Indiens. Ce genre de phénomène tend à démontrer que nous cherchons chez les autres quelque chose qui apporterait une solution à nos malaises profonds. Nous voudrions croire qu’il existe quelque part sur la terre un peuple ou un lieu qui n’a pas encore été contaminé par la folie humaine.

    Tous les mêmes, partout

    Une réalité nous échappe: tous les peuples du monde sont comme nous. Pendant que nous rêvons de l’exotisme de certains, ceux-ci rêvent de venir s’établir ici parce qu’ils pensent, comme nous, que c’est ailleurs que ça se passe. Chez nous, la même chose se reproduit: nous ajustons nos vies au diapason des gens qui nous entourent car nous ne savons rien faire d’autre. Le voisin possède une piscine, j’ai donc besoin d’une piscine. Il vient de changer sa voiture, il est grand temps que je change la mienne. Comme il est joli de mettre des fleurs sur son terrain, surtout si les autres le font! Ce phénomène s’appelle le mimétisme.

    Le christianisme

    Dans ce brouillard épais de contradictions et d’imitations, apparaît Jésus qui, en toutes choses, ne ressemble à personne. Il ne cherche rien et n’imite personne. Il refuse de s’associer aux étourderies des hommes afin de montrer le chemin de la vraie liberté: pas celle qui nous donne tous les droits, mais celle qui nous permet de réprouver ce qui nous détruit. Jésus n’est pas venu porter un message qui rend l’homme meilleur, mais il est venu ouvrir un nouveau chemin.

    "Que votre cœur ne se trouble point. Croyez en Dieu, et croyez en moi. Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n’était pas, je vous l’aurais dit. Je vais vous préparer une place et, lorsque je m’en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi. Vous savez où je vais, et vous en savez le chemin. Thomas lui dit: Seigneur, nous ne savons où tu vas; comment pouvons-nous en savoir le chemin? Jésus lui dit: Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi." Jean 14

    Réal Gaudreault

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  • Coutumes et traditions du mariage

    Quelque chose de vieux ...
    Quelque chose de vieux, quelque chose de neuf, quelque chose de prété, quelque chose de bleu ou en anglais dans le texte “Something old, Something new, Something borrowed, Something blue”.cette tradition a été importée d'angleterre au 19eme siècle Le “vieux” représente la vie passée, le neuf à la vie future, l’emprunté le bonheur, le bleu en signe de pureté et de fidélité.
    Les Alliances
    L'alliance nous vient de l'égypte antique : les égyptiens comparaient la forme circulaire infinie de l'anneau à l'amour, Par contre si l'alliance se porte a l'annulaire de la main gauche c'est aux grecs (3eme siècle avant J.C ) qu'on doit cette coutume : ils pensaient que une "veine de l'amour" reliait directement ce doigt au coeur.
    Le voile
    Le voile remonte à une époque très ancienne ou le jeune homme allait kidnaper une jeune fille dans une tribue voisine afin de l'épouser, il lui jetait une etoffe pour arriver à ses fins.On dit aussi que le voile était utilisé lors de mariages arrangés afin de masquer au futur marié le visage de la jeune fille jusqu'à ce que le mariage soit prononcé, cette tradition permettait au jeune homme de donner son consentement sans aucun critère physique.
    De nos jours si le voile, presque toujours blanc, symbolise la pureté, il contribue également a entretenir le mystère jusque dans l'église.la mariée se tient à gauche du marié.Cette tradition ancienne permettait au marié de toujours garder sa main droite à portée de son épée, afin de repousser un éventuel prétendent, ou une personne hostile à ce mariage.
    La marche nuptiale
    L'origine de cette tradition remonte au mariage de la Princesse Victoria d'Angleterre avec le Prince Frédérique de Prusse, Parmis les 2 marches choisies par la Princesse Victoria pour la cérémonie de son mariage figurait la fameuse Marche Nuptial de Mendelssohn.Depuis, cet air fait partie des traditions à l'occasion d'un mariage.
    Le lancer de riz
    Le lancer de riz est une coutume populaire qui remonte à l'antiquité, elle symbolisait la prospérité et la fertilité du couple.Aujourd'hui cette coutume perdure, mais le riz est bien souvent remplacé par des confétis ou des pétales de roses.
    Le Lancer du bouquet
    Une vieille tradition veut que la mariée lance, dos à ses amies célibataires, son bouquet en l’air, selon la coutume, celle qui l’attrapera sera la prochaine à se marier dans l'année.
    Le klaxon
    Klaxonner est la manifestation moderne de l'allegresse des villageois au passage du cortège qui traversait le village pour se rendre à l'église.
    Le pot de chambre
    Le pot de chambre est une tradition bien franchouillarde, dont l'origine viendrait parait-il de l'aveyron, Cette coutume qui était sensée redonner vigueur aux jeunes mariés apres la nuit de noce, n'est de nos jours que rarement pratiquée.

    Source:amourchretien.com

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  • Lois et Eunice

    Ici nous avons deux femmes vertueuses. Ces deux femmes étaient simplement une grand-mère et une mère, mais quelles répercussions elles ont eu sur le monde. Le fait d'être une grand-mère «ordinaire» et une mère "ordinaire" ont préparé un petit garçon à avoir  un énorme impact et à passer le flambeau du christianisme à une autre génération.

     Dans 2 Timothée 1:5 nous trouvons la seule fois où ces deux femmes sont mentionnées: «Je garde le souvenir de la foi sincère qui est la tienne, cette foi qui anima ta grand-mère Loïs et ta mère Eunice avant toi. Je suis persuadé qu'elle est présente en toi aussi. "

    Ces deux femmes connaissaient les histoires de l'Ancien Testament, les prophètes, les juges, la sagesse dans les Psaumes et les Proverbes, la vie du Christ, la propagation du christianisme. C'est ce qu'elles ont enseigné à Timothée. 2 Timothée 3:15: "Depuis ton enfance, en effet, tu connais les Saintes Écritures ; elles peuvent te donner la sagesse qui conduit au salut par la foi en Jésus-Christ".  Ces deux dames étaient les femmes de Proverbes 31:10. Ils ont compris l'importance d'être une grand-mère et une mère.

    Proverbes 22:6: «Instruis l'enfant selon la voie qu'il doit suivre; Et quand il sera vieux, il ne s'en détournera pas."

    Il est intéressant de noter que le mot grand-mère est utilisé qu'une seule fois dans la Bible dans le cadre de Lois. Pour moi, cela montre quelque chose d'une grande importance qui a été transmis de génération en génération. Il est important de préparer la génération suivante et de les  enseigner.

    Maintenant, regardons à 2 Timothée 2:2: «. Et les choses que tu as entendu de moi au milieu de nombreux témoins, confie-le à des hommes fidèles, qui soient capables de l'enseigner aussi à d'autres" C'est ce que Loïs et Eunice ont cru, pratiqué et réalisées.

    Timothée était fondé sur les «bonnes choses» - les choses importantes. Elles ne s'inquiétaient pas de savoir si Timothée était dans la bonne classe d'école du dimanche, où s'il avait pu y assister et apprendre les versets de la Bible et s'il avait pu colorier de mignons petits dessins. Elles ne s'inquiétaient pas de savoir si Timothée recevait le bon  programme de l'église pour les enfants et s'il serait dans la pièce de Noël de fin d'année. Elles ne s'inquiétaient pas de savoir si Timothée était dans la bonne église qui procurait des occasions pour que les enfants grandissent et soient tenus occupés. Elles ne s'inquiétaient pas de savoir si Timothée faisait des sorties pour se faire beaucoup d'amis et avoir une vie sociale. Non! Ces deux dames se souciaient d'enseigner à Timothée ce qu'elles connaissaient pour le transmettre à la génération suivante. Elles croyaient qu'elles avaient la responsabilité de le faire, et que ce n'était pas au prédicateur ou à l'église de le faire. Elles ont eu à cœur la responsabilité d'enseigner et de former les enfants - que ce c'était la «bonne chose» à faire, la chose importante à faire.

    2 Timothée 3:15: "Depuis ton enfance, en effet, tu connais les Saintes Écritures ; elles peuvent te donner la sagesse qui conduit au salut par la foi en Jésus-Christ."

    Donc, là encore, nous avons deux femmes vertueuses. Ces deux dames, juste une grand-mère "ordinaire" et une mère "ordinaire" qui connaissaient  l'importance de former un enfant dans les voies du Seigneur.

    Pensez-vous que Loïs et Eunice ont pris des cours pour apprendre à enseigner Timothée ? Non, elles étaient toutes les deux enracinées dans la prière et ces femmes avaient une relation avec le Dieu vivant. C'est là que tout commence. Le Saint-Esprit est notre Maître. Oui, le Seigneur se sert des gens pour nous aider sur le chemin. C'est pourquoi nous sommes là avec l'école du Christ. Mais nous ne pouvons pas assumer une  responsabilité qui n'est pas la nôtre. Nous devons voir l'importance de faire de notre mieux pour préparer la prochaine génération. Le Seigneur prendra soin du reste, comme il l'a fait avec Timothée.

    Loïs et Eunice ont pris leur travail au sérieux et je suis très reconnaissante qu'elles l'ont fait. Elles ont influencé la vie de Timothée et nous ont permis d'être touchés  de nombreuses années plus tard. Louez le Seigneur pour ces deux femmes vertueuses ! 

    Karla Brogden

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  • Gare aux comportements "magiques"

    Comment interpréter en effet les "signes" que nous avons demandés au Seigneur?
    - La porte semble se fermer: Est-ce le Seigneur qui nous fait comprendre qu'il vaut mieux s'arrêter, ou est-ce le diable qui multiplie les obstacles?
    - La porte semble s'ouvrir: Est-ce le Seigneur qui nous encourage, ou le diable qui nous attire dans un traquenard?
    - Nous avons eu une vision, un rêve, une prophétie, un verset biblique pioché au hasard, une série de coïncidences (on tient grand cas de ces choses dans bien des milieux chrétiens). Mais alors, qu'est-ce qui nous dit que la vision, le rêve ou la prophétie viennent bien de Dieu?

    Le diable peut en effet "se déguiser en ange de lumière". Sommes-nous sûrs que le verset tiré au hasard soit bien pour nous et que nous le comprenons bien? Les coïncidences ne sont-elles pas celles que nous voulons bien trouver? D'ailleurs, Dieu se prête-t-il à ce genre de pratiques qui ressemblent étrangement à de la divination? D'autres tirent les cartes ou consultent une voyante!

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