• “Afin que je Le connaisse...” Philippiens 3.10

    Intimité avec Lui est synonyme de victoire !

     

    Paul a écrit : “Afin que je connaisse Christ, la puissance de Sa résurrection et la communion de Ses souffrances...” Nous savons ce que veut dire “puissance de Sa résurrection” ! C’est la puissance divine qui ramena Jésus de la mort à la vie. Quel problème devez-vous affronter qu’une telle puissance ne puisse gérer ? Quel espoir mort et englouti aimeriez-vous ressusciter ? Quels lambeaux de votre passé souhaiteriez-vous retrouver, recousus et vibrant de couleurs ? Si vous faites de votre intimité avec Christ la priorité de votre vie, vous aurez accès à la même puissance que celle qui L’a ramené à la vie ! Pourquoi certains chrétiens semblent-ils vivre une vie de conquêtes permanentes, alors que d’autres paraissent aller de défaite en défaite ? La réponse n’a rien à voir avec les circonstances, car les chrétiens victorieux font face aux mêmes épreuves que les autres, rien à voir avec leur assiduité à l’église ou leur fidélité dans la lecture de la Bible. La réponse est la suivante : les chrétiens victorieux connaissent mieux la personnalité de Christ, aussi jouissent-ils davantage de Sa puissance divine !

    Malheureusement beaucoup d’entre nous aimeraient placer un point final après “la puissance de Sa résurrection” ! Mais si nous voulons faire l’expérience de Sa puissance nous devons aussi accepter “la communion de Ses souffrances”! Le mot souffrance implique davantage qu’une simple allergie au pollen ou une égratignure sur l’aile de votre voiture flambant neuve ! En ce qui concernait Paul, cela voulait dire être battu en public et laissé pour mort ou même décapité dans une prison romaine. Mais en revanche cela impliquait une intimité avec son Seigneur qu’aucune autre circonstance n’aurait pu lui offrir. Si vous avez un jour accompagné quelqu’un dans d’intenses souffrances vous comprenez un peu ce que cela signifie. Considérez ce qu’endurent tant de nos frères et nos sœurs persécutés pour leur foi dans plus de 50 pays à travers le monde : pas étonnant qu’ils ressentent bien plus que nous la présence de Jésus à leur côtés ! Nous ne serons jamais vraiment proches de quelqu’un si nous lui disons : “Je tiens seulement à partager tes bons moments. Garde tes souffrances pour toi, elles ne m’intéressent pas !”

    Comprenez-vous maintenant l’importance de l’intimité avec quelqu’un?

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • “Ma fille, ta foi t’a sauvée ; va en paix, et sois guérie de ton mal.”

    Marc 5. 34

    Un jour, Jésus rencontre une étrange inconnue. C’est une femme anonyme qui espère le rester. Jésus marche avec Ses disciples. Il a fort à faire et Il est assez pressé. Il y a autour de Lui énormément de monde parce qu’Il va voir une fillette très malade. On espère qu’Il la guérira. Et là, dans la cohue, cette femme - malade elle aussi - touche discrètement et par derrière le bord du vêtement de Jésus. Aussitôt, Jésus perçoit qu’une force est sortie de Lui, tandis que la femme se sent déjà mieux. “Qui m’a touché !” demande Jésus. Ses amis répondent : “Mais enfin, Seigneur ! Tu vois la foule qui Te presse ? Tout le monde Te touche !” Sans doute ! Cependant quelqu’un a touché Jésus autrement, en y mettant toute son espérance et surtout, toute sa prière. De fait, la femme est malade depuis longtemps, 12 ans exactement, et aucun médecin n’a pu la soigner, ni même la soulager. Elle a tout essayé et dépensé son argent en vain. De plus, la maladie qui l’affecte la rend impure et donc, cette femme n’a pas le droit d’être là. Si on découvre son mal, elle risque la lapidation parce qu’en se mêlant à la foule, elle risque de la contaminer.

    Quand Jésus voit qui est cette femme, et qu’Il mesure sa détresse, Il a pitié d’elle : “Ta foi t’a sauvée. Va en paix !” Cette femme n’avait plus de mots pour appeler au secours. Elle ne pouvait même pas se montrer en public. Tout l’éloignait de la source de vie. En osant surmonter tous les interdits et en venant toucher le vêtement de Jésus, elle exprime à la fois sa détresse, sa fatigue, son désespoir et, paradoxalement, son ultime espérance. Rien n’a été suffisant jusque là, et cette fois, elle risque le tout pour le tout. En dernier recours, elle a un geste qui ressemble plus à de la superstition qu’à une vraie prière, mais Dieu qui a vu son cœur a parfaitement tout compris. Il n’attend pas toujours des hommes et des femmes qui L’implorent de belles prières bien construites, bien religieuses, bien théologiques pour enfin répondre. Il accepte aussi les gestes maladroits qui semblent naïfs et incongrus.

     

    De cette histoire, il nous faut apprendre ceci : Jésus voit le cœur de chacun, et y répond avec le Sien. Un bon début de semaine avec Jésus, notre Seigneur !

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • “Seigneur, que veux-tu que je fasse ?”

    Actes 9.5 (Colombe)

    Que devez-vous faire?

     

    Quand Saul, le futur apôtre Paul, rencontra Jésus sur le chemin de Damas, il commença par Lui demander qui Il était : “Qui es-tu, Seigneur ? Et le Seigneur dit : Moi, Je suis Jésus que tu persécutes... Tout tremblant et stupéfait il dit : Seigneur que veux-tu que je fasse ?” (v.5). Il comprit très vite que cette rencontre imprévue n’était pas le fruit du hasard, et qu’elle avait un but précis. But qu’il découvrit quelques jours plus tard, quand Ananias vint lui rendre visite.  Nous n’avons pas été sauvés par Dieu afin de devenir des objets de décoration couverts de poussière sur les étagères divines là-haut au Paradis ! Il nous a sauvés pour une raison spéciale : annoncer la bonne nouvelle de Son plan de salut pour tous les hommes. Ce fut la même chose pour Abraham : Dieu ne l’a pas envoyé sur les routes du Moyen Orient pour lui faire voir du pays, mais pour être une source de bénédiction pour les autres : “A travers toi, Je bénirai toutes les nations de la terre” (Genèse 12.3).

    Votre salut n’a pas pour but de vous bénir vous seul, mais pour que vous deveniez une source de bénédiction pour ceux qui vous entourent, ceux que vous rencontrez régulièrement et même parfois pour des étrangers qui entrent et sortent de votre vie l’espace d’une journée. Découvrir le sens de votre existence ne consiste pas à comprendre ce que vous voulez achever au cours de votre vie, mais ce qu’Il veut que vous fassiez en Son nom ! Ecoutez ce que disait Paul à la fin de sa vie : “me voici déjà offert en libation, et le moment de mon départ approche. J'ai combattu le bon combat, j'ai achevé la course” (2 Timothée 4. 6-7).

    Entre les deux, une vie riche de bénédictions “versées” dans la vie des autres. Est-ce votre objectif aussi ?

    Bon dimanche à tous

    Bob Gass

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • “Ton adjoint Josué, fils de Noun, entrera là-bas. Encourage-le, parce que c'est lui qui amènera les Israélites à posséder le pays.”

    Deutéronome 1.38

    L'encouragement est aussi contagieux que le découragement.

    Vous connaissez probablement l’histoire de cet homme sur le point de se jeter du haut d’un pont. Un passant arrête sa voiture, se précipite à ses côtés pour le dissuader de se suicider. Il lui demande pourquoi il veut se donner la mort. Celui-ci lui répond que la vie en ce monde est trop désespérante et pendant une dizaine de minutes fait la liste de tous les maux dont souffre notre planète. En fin de compte les deux hommes se jettent ensemble dans le vide ! Pour lutter contre ce sentiment quasi-universel, Dieu nous a laissé une simple solution : “encouragez-vous les uns les autres et fortifiez-vous dans la foi...” (1 Thessaloniciens 5.11). Nicole Johnson a dit : “Pour exprimer de façon tangible notre amour et notre joie, lors de cérémonies de mariage, nous lançons des confettis sur

    les participants.  Les paroles d’encouragement que nous adressons aux autres sont comme des confettis que nous leur lançons pour leur faire ressentir notre amour et notre joie d’être avec eux.” Or ces “confettis” qui tombent sur leur tête retombent également sur la nôtre ! Nous pouvons les donner autant que les recevoir. Tous ne sont pas de la même couleur ni de la même forme. Féliciter quelqu’un pour sa réussite, rendre visite à votre frère ou votre sœur qui rencontrent des difficultés, offrir un cadeau, des fleurs, inviter à dîner, venir aider quelqu’un qui a besoin d’un coup de main, envoyer un message ou un email pour rappeler à l’autre que vous priez pour lui ...etc, autant de petits “confettis” d’encouragement.

    N’oublions pas aussi de nous encourager les uns les autres avec l’assurance que Jésus revient bientôt pour nous emmener chez Lui où un grand banquet nous attend! (1 Thessaloniciens 5.17-18).

    Bob Gass

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • “La colombe revint... elle tenait dans son bec une feuille d'olivier toute fraîche !”

    Genèse 8.11

    L’espoir fait vivre !

     

    Noé avait-il vu la mer lorsqu’il entreprit de construire, dans un désert de sable, son gigantesque bateau ? Peut-être, mais quand le déluge est arrivé, on peut imaginer qu’il s’est senti bouleversé par l’ampleur du désastre. Et quand la pluie cesse enfin, que voit-il ? De l’eau à perte de vue. Rien pour accrocher son regard. Vous sentez-vous dans la même situation ? Submergé par le découragement, incapable de résister à la dégradation de votre mariage et le spectre du divorce ? Accablé par une maladie chronique ou un diagnostic peu rassurant ? De plus en plus stressé au bureau, à l’usine, dans la salle de classe ? Même si vous ne coulez pas, vous commencez à douter de voir un jour une issue heureuse à votre situation. Noé a dû connaître un tel sentiment. C’est normal : nous avons besoin d’un petit rayon d’espoir pour reprendre courage. Noé avait besoin de revoir la colombe lui apporter une feuille d’olivier toute fraîche, preuve que quelque part il faisait meilleur, que le plus dur était passé.

    L’assèchement de la terre ne s’est pas fait du jour au lendemain. Comme Noé vous devrez attendre un certain temps avant de découvrir ce que Dieu a prévu pour vous. Il vous demande d’avoir de la patience et de Lui faire confiance. Mais sur le chemin du miracle, parfois une minuscule feuille d’olivier toute fraîche vous aidera à reprendre espoir. Demandez à Dieu de vous en envoyer une. Prêtez l’oreille, ouvrez les yeux : vous ne savez pas encore de quelle direction viendra cette branche d’espoir. Votre colombe aura peut-être une apparence très différente de ce que vous attendez ! Ne la rejetez pas sous prétexte qu’elle ne vous offre pas la réponse à laquelle vous vous attendiez. Au lieu d’une feuille d’olivier la colombe aurait pu lui rapporter un ver de terre ou des pétales de rose. L’important c’est que Noé a compris qu’une promesse de vie venait de surgir devant lui. 

    Recevez la vôtre avec gratitude et humilité, voilà Sa parole pour vous aujourd’hui !

     Bob Gass

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks

    1 commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique