Ata eza ,libanda na Yesu eloko eza te .

Libanda na Yesu  mituna ezanga biyano.

Libanda na Yesu kimia na koseka  eza ya lokuta...

Yango alobaki :«Sans moi vous ne pouvez rien faire»

(Jean 15,5).

Alors moninga ozali kozela nini ?

Luka  Ye lelo.Yamba Ye lokola Mobikisi mpe Mokonzi na bomoyi nayo .Tika lolendo oyo ozali kosala .Yesu azali eyano ya mituna nayo. Kaka Ye  nde akoki kopesa yo esengo na motema, kosala ete na tongo moko oseka .

Luka Ye akoma Mokonzi ya ndako nayo, ya libala nayo, ya bana nayo, ya ministère nayo,ya ba projets nayo ...Po kati naye okoyemba mokolo nionso loyembo oyo : Eya na butu, eya na moyi na kobanga eloko te po Yesu azali musungi na ngai... Yesu azali kobatela ngai...

Attache-toi donc à Dieu, et tu auras la paix;tu jouiras ainsi du bonheur.Reçois de Sa bouche l'instruction,Et mets dans ton coeur Ses paroles

Job 22-21/22

« Si je mets une plaie de lèpre sur une maison du pays que vous posséderez, celui à qui appartiendra la maison ira le déclarer au sacrificateur et dira : J’aperçois comme une plaie dans ma maison. » Lévitique 14.34-35

Quelle plaie apercevez-vous dans votre maison ? Ne faites surtout pas comme si elle n’était pas là, comme si vous ne l’aviez pas vue ! Ne cherchez pas davantage à la dissimuler sous unepeinture, un vernis, une décoration ! La plaie est là, et il faut la combattre tout de suite ! Ne restez pas inactif, faites votre part !

Ne laissez pas une plaie détruire votre vie.

Une plaie dans votre maison, que sont ces violentes disputes avec votre conjoint ; une plaie dans votre maison, que ces dettes récurrentes ; une plaie dans votre maison que ces habitudes de boire plus que de raison ; une plaie dans votre maison que ces personnes que vous ne devriez plus recevoir chez vous ! Une plaie dans votre maison que ces médicaments destinés à vous endormir le soir, et que vous prenez depuis peu, juste pour refuser de voir cette plaie chez vous ! Une plaie dans votre maison que ces angoisses et ces inquiétudes qui vous dominent ; une plaie dans votre maison que ces choses du passé concernant votre pratique de l’occultisme !

Identifiez la plaie et venez en parler au grand souverain sacrificateur que Dieu vous a donné, à savoir Jésus-Christ de Nazareth (Hébreux 7.21) ; ensuite laissez-le agir, lui sait ce qu’il faut faire pour en finir avec cette plaie, et il vous montrera ce que vous devez faire !

Vous l’avez compris, votre maison, c’est là où vous vivez, mais c’est aussi votre vie, votre famille, votre espace de vie dans tous les sens de ce terme, (travail, société, amitiés etc.). Ne laissez pas une plaie détruire votre vie. Écoutez Jésus et soyez débarrassé de cette plaie aujourd’hui même ! 

Une prière pour aujourd’hui

Seigneur, au nom de Jésus, je viens te dire que j’aperçois comme une plaie dans ma sphère de vie ; puisque tu me permets d’espérer aujourd’hui, je viens donc te parler de cette plaie et te laisser agir en vue de ma délivrance. Amen.

Samuel Foucart

Il existe sur la terre un nombre incalculable de peuples et de tribus qui s’identifient à une certaine culture qui leur est propre. Ce qui frappe le plus au premier coup d’œil, c’est ce qui les différencie les uns des autres. Mais lorsqu’on y regarde de plus près, des similitudes apparaissent. Et plus on observe, plus on prend conscience que le cœur de l’homme est partout le même.

Mêmes peurs, mêmes croyances!

Sur le plan culturel, bien des choses diffèrent d’un peuple à l’autre: la musique, les vêtements, la nourriture, etc. Mais lorsqu’on perce ce voile des apparences, on se trouve face au phénomène du mimétisme, c’est-à-dire de la répétition des traditions. Chez les peuples moins développés, les peurs sont les mêmes partout. Le culte des morts, les sacrifices sanglants, les objets sacrés ne sont que quelques exemples des similitudes qui unissent les nations. Il n’y a donc rien de bien original dans les traditions culturelles et religieuses puisque tout n’est que pure imitation d’un peuple à l’autre.

Recherche de pureté

Plus que tout autre peuple, nous, les Occidentaux, sommes conscients que quelque chose s’est dégradé dans notre monde. Ça va mal sur tous les plans et rien ni personne ne semble être en mesure d’apporter une solution durable. C’est pourquoi nous sommes fascinés par les nations qui ont conservé leurs traditions anciennes. Dans les années soixante-dix, nombreux sont ceux qui ont pris la route de l’Inde avec l’espoir d’y trouver ce qui donnerait un sens à leur vie. D’autres, des Européens, viennent ici au Québec pour voir d’authentiques Indiens. Ce genre de phénomène tend à démontrer que nous cherchons chez les autres quelque chose qui apporterait une solution à nos malaises profonds. Nous voudrions croire qu’il existe quelque part sur la terre un peuple ou un lieu qui n’a pas encore été contaminé par la folie humaine.

Tous les mêmes, partout

Une réalité nous échappe: tous les peuples du monde sont comme nous. Pendant que nous rêvons de l’exotisme de certains, ceux-ci rêvent de venir s’établir ici parce qu’ils pensent, comme nous, que c’est ailleurs que ça se passe. Chez nous, la même chose se reproduit: nous ajustons nos vies au diapason des gens qui nous entourent car nous ne savons rien faire d’autre. Le voisin possède une piscine, j’ai donc besoin d’une piscine. Il vient de changer sa voiture, il est grand temps que je change la mienne. Comme il est joli de mettre des fleurs sur son terrain, surtout si les autres le font! Ce phénomène s’appelle le mimétisme.

Le christianisme

Dans ce brouillard épais de contradictions et d’imitations, apparaît Jésus qui, en toutes choses, ne ressemble à personne. Il ne cherche rien et n’imite personne. Il refuse de s’associer aux étourderies des hommes afin de montrer le chemin de la vraie liberté: pas celle qui nous donne tous les droits, mais celle qui nous permet de réprouver ce qui nous détruit. Jésus n’est pas venu porter un message qui rend l’homme meilleur, mais il est venu ouvrir un nouveau chemin.

"Que votre cœur ne se trouble point. Croyez en Dieu, et croyez en moi. Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n’était pas, je vous l’aurais dit. Je vais vous préparer une place et, lorsque je m’en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi. Vous savez où je vais, et vous en savez le chemin. Thomas lui dit: Seigneur, nous ne savons où tu vas; comment pouvons-nous en savoir le chemin? Jésus lui dit: Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi." Jean 14

Réal Gaudreault