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    Nous lisons dans 1 Pierre 5 : 6 :" Courbez-vous humblement sous la main de Dieu afin qu'Il vous élève. .."

    Votre" moi " est peut-être l'obstacle majeur qui vous empêche de recevoir les bénédictions divines. Tout complexe, qu'il soit d'infériorité ou de supériorité, risque également de fausser votre appréciation de vous-même.

    L'importance est de vous concentrer sur la personne que vous êtes" en Christ", et c'est aussi le meilleur moyen de demeurer humble, tout en restant sûr de soi. Il est tentant de s'enorgueillir lorsque tous le monde ne cesse de vous répéter que vous faites un travail formidable et que vos succès semblent le prouver. C'est alors que vous devez demeurer humble, si non vous vous irez droit à la chute. 

    Votre vrai valeur n'existe qu'en Christ et n'a rien à voir avec votre compte en banque ou avec le titre ronflant qu'affiche votre carte de visite. Gardez toujours la tête basse à mesure que vous progressez dans votre mission sans jamais vous laisser griser par vos succès. Glorifiez Dieu seul et sachez attribuez à chacun le mérite qui lui est dû. 

    David savait qu'il avait été choisi pour devenir roi bien avant de succèder à Saül, mais il dut attendre l'heure prévue par Dieu, sans essayer de forcer les événements. Quand il accèda au trône il n'oublia jamais que cette position était le fait d'une bénédiction divine et pas le fruit de son travail. 

    Si vous vous sentez imcompris et méconnu à l'heure actuelle, Réfléchissez aux raisons qui vous poussent à oeuvres comme vous le faites, et selon Ses richesses infinies. Si les autres vous ignorent, vous critiquent injustement ou vous" poignardent dans le dos, ne vous abaissez pas à donner crédit à tous les mensonges venus droit de la bouche de l'ennemi. Toutes ces attaques ne sont que les " traits enflammés du Malin" à l'assaut de la cuirasse que vous portez. 

    Demandez, par la prière, le soutien de votre Père céleste, demeurez humble en toute circonstance et Souvenez-vous de votre identité " en Christ ".

    SPPA

     

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  • Eileen Crossman a écrit :

    … La tentation à laquelle j’ai souvent dû faire face est revenue sous de nombreuses formes : «Si seulement j’étais déjà à tel ou tel stade, quelles grandes choses je pourrais faire ! Maintenant, bien sûr, je fais seulement mes études d’ingénieur, mais quand je suivrai ma formation missionnaire, ce sera différent et plus utile».

    Ou bien : «Je ne suis encore qu’en préparation, je suis des cours bibliques, etc, mais quand je partirai pour la Chine, mon travail commencera». Ou encore : «Oui, je suis parti maintenant, mais je suis seulement en route; quand je serai en Chine, j’aurai une magnifique occasion de service». Ou enfin : «Voyez-vous, ici au centre de formation (en Chine), je dois consacrer tout mon temps à l’étude de la langue : comment pourrais-je accomplir un travail missionnaire ? Mais quand je serai installé dans ma station et que je saurai parler couramment, les possibilités seront illimitées !» et ainsi de suite.

    Toujours des «si» et des «quand». Je crois que Satan adore ces conjonctions …

    Aujourd’hui me sont offertes, dans une certaine mesure, les possibilités qu’il m’a longtemps présenté comme futures (même si je n’ai pas toujours cédé à ces tentations), mais, loin de m’aider à être fidèle dans leur mise à profit, le diable se montre maintenant sous un autre visage. La vérité est pourtant simple : l’Ecriture ne nous dit nulle part les occasions d’être utiles, mais bien de servir dans toutes les choses qui sont à notre portée …

    Le Seigneur nous commande de travailler, de veiller, de prier, mais Satan nous suggère d’attendre qu’une occasion se présente de travailler, de veiller, de prier – une occasion qui, inutile de le dire, se situe toujours dans le futur … Comme tout ce qui est sur notre chemin immédiat a été voulu de Dieu, qui dira que tel travail est plus important ou sacré que tel autre ?

    Extrait du livre «Fleuve de vie»

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  • Cyrielle Gigan témoigne:

    J’ai vécu ma première expérience avec Dieu, à l’âge de 7 ans. En effet, c’est à travers la guérison de mon asthme, que ma famille et moi, avons rencontré le Seigneur. Mais le temps est passé, l’adolescence est arrivée et c’est durant cette période que je me suis éloignée de lui. J’étais pourtant présente au culte du dimanche, mais mon cœur était loin, rebelle… Je l’invoquais uniquement pour qu’il me donne des bonnes notes et notre relation se résumait à cela. Puis, ma mère qui servait avec ferveur le Seigneur, est tombée gravement malade.

    On lui a diagnostiqué un cancer du sein. Le quotidien, pendant ces trois années de maladie, était difficile à vivre ; je ressentais une grande incompréhension ainsi que de la colère envers Dieu. Je ne comprenais pas quel était le but de cette épreuve si injuste, mais je faisais bonne figure et je continuais à fréquenter l’église… Le Seigneur a ensuite pris ma mère auprès de lui. Elle a tenu son flambeau jusqu’au bout avec courage et persévérance. Elle n’a jamais renié le Seigneur, malgré ses atroces souffrances. Même à travers la mort elle a su donner le bon exemple et me montrer le chemin. Quand elle nous a quittés, j’ai ressenti un énorme vide en moi, et je savais que personne ne pouvait m’aider. D’ailleurs mes amis se sont éloignés de moi, et je me suis retrouvée seule. Je savais que j’étais trop blessée, trop marquée par la souffrance de ces trois dernières années pour envisager de vivre une vie normale…

    J’avais seulement 18 ans, l’âge où on se construit, mais j’avais pourtant le sentiment d’être détruite. Mon avenir me paraissait si sombre… Je sentais que ma douleur était trop grande et que je ne pouvais rester ainsi, au fond de moi. Je savais que seul mon Créateur pouvait guérir cette blessure, personne ici bas n’aurait pu le faire, alors je l’ai invoqué. Je n’ai pas fait de long discours, mais c’était tout mon cœur qui criait à lui. J’ai simplement dit: “Seigneur, j’ai touché le fond, il ne me reste que toi, je ne suis plus rien, mais je te donne ce que je suis. Fais de moi ce que tu veux, cette fois je veux vraiment être à toi.” La bénédiction n’a pas tardé, Dieu m’a pris dans ses bras, il m’a consolée à travers sa parole, il m’a remplie de sa paix, il m’a donnée des projets, le goût de le servir. Il m’a tout simplement rétablie. Sans lui, certainement que je n’aurais pas eu la force de continuer. J’ai vu sa main relever ma famille, et nous affermir dans notre relation avec lui. On peut dire que cette épreuve a finalement abouti à ma vraie rencontre avec Dieu.

    Aujourd’hui, je considère Dieu comme mon Papa céleste, mais aussi comme une maman qui veille précieusement sur moi. Merci Seigneur !

    Source: AdoreDieu

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    Mettez Dieu au coeur de vos projets et il vous surprendra !

    Soyez à l’écoute de Dieu concernant votre appel et, rentrez dans les projets qu’il a pour vous, vous trouverez le vrai bonheur …

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  • Nous n'avons pas à craindre de nous approcher de Jésus. Dans Matthieu 8.1-4, nous lisons l'histoire d'un lépreux qui n'a pas hésité à interrompre Jésus pour lui faire connaître ses besoins. "Seigneur, si tu le veux, tu peux me rendre pur". Sa maladie le désespérait - on l'avait mis au ban de la société et la détresse émotionnelle s'était emparée de lui. Jésus était très pris par «une grande foule», mais le lépreux s'est frayé un chemin dans la cohue pour l'aborder.

    L'Évangile selon Matthieu raconte que ce lépreux est venu «se [prosterner] devant lui [Jésus]» (v. 2). Il s'est approché de Jésus dans une attitude d'adoration, avec foi en sa puissance et avec humilité, en reconnaissant que la décision de lui prêter secours revenait à Jésus. Il lui a dit. «Seigneur, si tu le veux, tu peux me rendre pur» (v. 2). Avec compassion, Jésus l'a touché (la lèpre l'avait rendu «intouchable», selon les normes de la loi juive). Résultat. le lépreux a immédiatement été guéri.

    À l'instar du lépreux, nous ne devons pas hésiter à nous approcher de Jésus, mus par le désir d'obtenir son aide. En allant à lui avec humilité et adoration, nous pouvons avoir la certitude qu'il fera les meilleurs choix pour nous.

    "Approchons-nous donc avec assurance du trône de la grâce, afin d'obtenir miséricorde." Hébreux 4.16

    Notre Pain quotidien

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