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Par Libanga le 17 Février 2016 à 23:33
Une femme est allée pour un entretien dans une compagnie pétrolière. Après l'entretien, le patron et les membres du conseil d'administration ont demandé à la femme.
Patron : jeune fille tu es venue avec une lettre de recommandation signée par un ministre, un sénateur ou un officier de l'armée ?
Jeune femme : la personne qui m'a envoyé m'a assuré que le travail me sera donné, et il a même signé avant que je ne vienne ici.
Patron : c'est un ministre ?
Jeune femme ; il est au-dessus d'un ministre.
Patron ; c'est un gouverneur ou monsieur le président ??
Jeune femme ; il est au-dessus de monsieur le président.
Patron: mon ami, tu vas bien ? Maintenant, dites-nous qui vous a envoyé avant que je vous fasse sortir d'ici maintenant.
Jeune femme : celui qui m'a envoyé, son nom est Dieu tout-Puissant, le propriétaire de tout, à la fois du pétrole et du gaz. Il y eut un grand silence partout
Patron : jeune fille, tu peux y aller.
La jeune dame est rentrée chez elle. Deux semaines après une lettre de l'employeur a été envoyé à la femme avec un bon salaire de 9800 $ us dollar(environ 2 millions et demi FCFA) par mois, hébergement gratuit et avec une nouvelle voiture de fonction. Voilà comment Dieu a répondu à sa prière !
Toi qui est en train de lire cette histoire si tu crois que Dieu peut faire au-delà " de tout ce que nous demandons ou pensons..." dit simplement AMEN!
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Par Libanga le 2 Juillet 2015 à 13:54
Elle dit : j'ai appris que l'amour peut arriver par surprise ou mourir en une nuit. Que de grands amis peuvent devenir de parfaits inconnus, et qu'au contraire, un inconnu peut devenir un "ami pour la vie". Que le "jamais plus" n'arrive jamais et que " pour toujours " a une fin . Que celui qui veut, peut et y arrive. Que celui qui prend des risques ne perd jamais rien et que celui qui ne risque rien ne gagne rien. Que si on veut voir quelqu'un, il faut aller le chercher, car après c'est trop tard. Qu'avoir mal est inévitable, mais souffrir est une option. Et surtout, j'ai appris que nier les choses les plus évidentes ne sert absolument a rien.
Voilà ce qu'elle a appris, compris ,et saisi
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Par Libanga le 12 Juin 2015 à 17:33
« Mon mari et moi étions séparés depuis huit mois mais le Seigneur nous a réunis... » Mariés en 2004, l’année qui suivit fut des plus difficiles et remplie de déceptions. En 2006 une séparation de huit mois se fit entre nous deux. Toute désolée je me retrouvai au séminaire pour les couples à Québec, avec Samuel et Dorothée. A celui-ci, Dorothée parla aux dames de la nécessité de manifester un amour divin envers son mari. Durant son message, je constatai que toutes mes déceptions provenaient du fait que je voulais constamment changer mon mari. Le Seigneur a donc touché mon coeur par cet enseignement et m’a révélé comment je devais aimer mon mari. Aussi à un moment donné, l’après-midi, Dorothée a donné une parole de connaissance disant que le Seigneur allait restaurer un couple. Le lendemain de cette journée, le miracle eut lieu. Notre couple fut réconcilié après donc huit mois de séparation. Depuis le Seigneur dépose dans mon coeur un nouvel amour pour mon mari, et j’ai un nouveau regard sur lui. Et le Seigneur l’a aussi transformé, ses attitudes à mon égard ont évolué : il est plus affectueux et prévenant. Je dois vous dire que cela faisait des mois que je priais que le Seigneur me montre ce que j’avais à changer. Il l’a fait. Quelle belle leçon ! Persévérons dans la prière. Les promesses de Dieu sont vraies et Il accomplit toujours ce qu’Il dit. Il est fidèle.
Marielle Del Bianco
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Par Libanga le 10 Juin 2015 à 00:11
Un jeune homme se plaignait un jour de Dieu en ces termes : – Dieu envoie aux autres des richesses mais à moi, il ne m’a rien donné ! Comment débuter dans la vie avec rien ? Un vieillard qui entendit sa plainte, lui dit : – Es-tu si pauvre que tu le crois ? Dieu ne t’a-t-il pas donné jeunesse et santé ? – Je ne dis pas non et je puis être fier de ma force et de ma jeunesse. Le vieillard lui prenant alors la main droite lui dit : – Voudrais-tu la laisser couper pour dix mille francs ? – Certes pas ! – Et la gauche ? – Pas davantage. – Et consentirais-tu pour cent mille francs à devenir aveugle ? – Que Dieu m’en préserve ! Je ne donnerai pas l’un de mes yeux pour une fortune ! – De quoi te plains-tu donc ? dit alors le vieillard. Ne vois-tu pas que Dieu t’a donné une immense fortune ?
Va et sois-en désormais reconnaissant.
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Par Libanga le 14 Mai 2015 à 17:23
Voulant m'assassiner, elle a empoisonné sa fille
Les belles mères ou du moins les marâtres ne cesseront jamais leur méchanceté notoire face aux enfants de leur mari. La mienne a attenté à ma vie, par miracle, je me suis en sortie. Comment en étions nous arrivés là! Je suis née du premier mariage de mon père. Suite au décès de ma mère, mon père décida de prendre une autre épouse. Ainsi, elle pouvait aussi s'occuper de moi.
Il rencontra Myriam, une jeune musulmane qui prenait soin de moi et de mon père aussi. Mais les choses n'ont duré qu'une poignée d'années. Lorsque mon père alla déposer la dote, les parents de Myriam exigeaient que mon père se convertissent à l'Islam, avant que sa dote ne soit acceptée. Mon père fervent chrétien refusa. Il y eut plusieurs négociation qui, malheureusement, n'ont pas abouti.
Cinq années ont passé, mon père prit la résolution de refaire sa vie. C'est alors qu'est arrivé Sylvie, ma nouvelle belle mère. Je venais d'avoir huit ans. La première année a été joviale. Sylvie était une excellente belle mère. Je l'aimais tellement qu'elle remplaçait ma défunte mère. Cependant, après que mon père a payé sa dote auprès de ses parents, les mois qui ont suivi ont été un véritable calvaire. Papa l'a mainte fois interpellée quant à son comportement vis-à-vis de nous.
Parfois je la surprenais entrain de parler de moi à ses amies, à leur raconter des choses qu'elle ne sait même pas. Et ses dernières ne manquaient pas d'en rajouter. En l'absence de mon père, c'est moi qui devais faire toutes les corvées, même si elles sont difficiles pour moi. Alors que ses filles se prélassaient tranquillement devant la télé. L'école que je fréquentais était éloignée de la maison, mais je devais finir tout le ménage avant de partir. L'élève si brillante que j'étais, ne parvenait même plus à avoir la moyenne.
De majeure de la classe je me retrouvais parmi les derniers. Papa ne comprenait pas cette situation. Je ne pouvais lui expliquer la vérité parce que sa femme m'a menacée. Au fil du temps l'amour que j'avais pour elle s'est transformé en haine. je refusais de m'amuser avec ses filles. En fin de compte papa a découvert le manège de sa femme. Plusieurs fois je les ai entendus se disputer. Ce n'était pas pour autant que ma marâtre avait changé d'attitude. Au contraire son coeur durcissait de plus bel. L'harmonie et l'amour qui régnaient en son temps dans la maison disparaissaient peu à peu. Pour tout dire l'atmosphère devenait invivable. Sa haine à mon égard était tellement grande et ses amies n'arrêtaient pas de lui monter la tête, et ma marâtre mit au point une stratégie pour mettre fin à ma vie. Car pour elle j'étais la cause de ses problèmes avec son mari.
Je ne comprenais pas comment une femme au départ si aimable est devenue en un temps record une belle mère acariâtre. Qu'avais-je fait pour qu'elle me détesta tant. Son plan lugubre se poursuivait toujours. Elle exécuta son plan de me tuer et confectionna un plat très succulent. Dans ma portion elle y ajouta du poison pour faire croire à une intoxication alimentaire.
Ce jour là je ne suis pas entrée à la maison pour le déjeuner car ma maitresse m'avait retenue. D'habitude j'étais la première à arriver à la maison. Mais comme si une force me protégeait ses filles ont été les premières. Par gourmandise sa fille ainée à manger le plat empoisonné qui m'était réservé sous prétexte qu'il était mieux garni. Le temps que sa mère s'en rende compte il était tard, Lydie se tordait de douleur. Prise de panique elle ne savait que faire. Alertés par ses cris les voisins ont accouru pour lui venir en aide. Il fallait de toute urgence l'emmener à l'hôpital. Elle bavait déjà. Malheureusement ils n'ont pu arriver à l'hôpital. Lydie rendit l'âme dans les bras de la voisine...
Traumatisée par la mort de sa fille ainée elle était comme folle. Ne pouvant plus supporter le poids son crime elle l'avoua à papa. De jour en jour, elle devenait dépressive, papa l'interna dans un hôpital psychiatrique pour des soins. Mais elle mourut six mois après. Mon père est resté célibataire pendant dix ans. Jusqu'à ce qu'il rencontre Anne. J'avais dix huit ans. Pour une fois on pouvait dire que papa avait trouvé sa cotte. Malgré son jeune âge on s'entendit à merveille. Je prenais plaisir à l'appeler maman. Mon père l'épousa elle me donna trois charmants frères et soeurs. La joie fut revenue dans notre maison. Et pour une fois on sentait qu'on formait une vraie famille.
Martine G.
Romains 6,23 nous dit:" Car le salaire de péché c'est la mort..."
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