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Par Libanga le 1 Mars 2015 à 17:50
Le mariage d’Oksana a rapidement tourné au cauchemar... Mais Jésus lui-même est venu transformer les cœurs.
Écoutez son témoignage
« Je me suis mariée très jeune, j’avais à peine 17 ans et mon mari, Akram, 18. Nous avons eu notre premier enfant très rapidement, mais je ne savais pas du tout comment m’occuper d’une famille, j’étais assez désemparée. Quand ma belle-mère a quitté notre foyer, mon mari a commencé à boire, il est devenu violent, et il me battait souvent, même lorsque je me suis retrouvée enceinte de notre deuxième enfant. Heureusement ma fille est née en bonne santé, mais il a commencé à s’en prendre à mon fils ainé, qui avait seulement 5 ans. Cette situation a duré près de 11 ans. Mes enfants étaient terrorisés lorsque leur père rentrait ivre le soir. Alors, un jour, j’ai pris ma décision : j’ai demandé le divorce. »
Accueilli à coups de hache !
Le mari d’Oksana est alors retourné vivre chez ses parents, mais, alors qu’il rentrait ivre un soir de plus, son père furieux l’a accueilli à coups de hache ! Akram s’est retrouvé à l’hôpital, avec comme voisin de chambre un chrétien qui lui a parlé de Jésus. Mais il ne voulait rien entendre, il avait déjà repoussé des voisins qui essayaient de lui témoigner de l’Evangile. Pourtant, Akram vivait un véritable miracle sans même s’en rendre compte : après sa sortie de l’hôpital, il fut orienté vers un spécialiste de la capitale, car il continuait à souffrir de violents maux de tête. En l’examinant, ce médecin ne put en croire ses yeux : un morceau de crâne cassé était enfoncé dans le cerveau d’Akram ! C’était un miracle que celui-ci soit vivant et debout devant lui.
Il rend enfin les armes
Il fut opéré et se rétablit très rapidement. Il commençait à se sentir invincible et attribuait cette guérison miraculeuse à sa bonne constitution. Même après deux attaques cardiaques, il ne doutait pas de ses forces. Mais lors de sa troisième attaque, alors qu’il gisait sur le sol à moitié inconscient, Jésus lui-même est venu lui parler : « Tu penses que tu peux tout faire par tes propres forces, alors vas-y, bouge ton bras ». Mais il était paralysé, incapable de bouger. Jésus lui a dit : « Maintenant tu ne peux plus rien faire par toi-même ; mais si tu veux, suis moi et tout ira bien. » Il accepta enfin de confier sa vie à Jésus, et le pasteur Makset (un des orateurs de notre Week-end annuel 2013 ) ainsi que trois autres chrétiens prièrent avec lui. Pour la première fois, il était traité comme un frère, lui qui s’était senti rejeté toute sa vie.
Le bonheur frappe à la porte
Débuta alors un long cheminement de désintoxication et de guérison intérieure, accompagné par des frères. Il priait tous les jours pour que Dieu lui permette de renouer avec sa femme et ses enfants, et un matin il entendit : « Lève-toi et va chez eux, aujourd’hui ils t’ouvriront la porte ». C’est le père d’Oksana qui a accepté d’ouvrir la porte ce jour-là, rassurant par sa présence sa fille remplie de craintes. Lorsque, cachée dans la pièce à côté, elle entendit son ex-mari demander pardon pour tout le mal qu’il leur avait fait, son cœur fut soudainement rempli de bonheur.
Nouveau mariage, nouvelle vie
Ils reprirent contact progressivement, et Oksana était étonnée d’entendre Akram parler si souvent de Dieu. Il avait tellement changé ! Il lui proposa de rencontrer des femmes de responsables d’église, qui expliquèrent à Oksana le message de l’Evangile. Et, elle qui avait toujours cherché l’amour dans le monde parmi les hommes, elle comprit alors que la seule personne qui l’aimait vraiment, c’était Dieu. « J’ai ressenti tellement de joie dans mon cœur, et une grande liberté ! » Après 5 ans de séparation, Oksana et Akram se sont remariés devant Dieu. Ils sont aujourd’hui tous les deux impliqués dans un ministère pour les parents et leurs enfants sont également devenus croyants. Leur engagement les a conduits à être arrêtés et intimidés par la police plusieurs fois, mais si Jésus lui-même est venu les éclairer, c’est pour qu’à leur tour ils soient lumière et encouragement dans la petite communauté chrétienne si fragile de leur pays !
Prions pour : • Le développement du ministère d’Oksana et Akram, qu’il porte des fruits, • Leur protection : ils sont surveillés et interrogés régulièrement par la police, • La protection de tous les chrétiens de ce pays, qui sont sous pression policière permanente.
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Par Libanga le 14 Février 2015 à 03:34
Helen Berhane, chanteuse de gospel, a passé deux ans et demi en détention en Erythrée à cause de sa foi. Dans la souffrance ou dans la consolation, elle n’a jamais cessé de garder confiance en Dieu.
Voici les paroles de l’un de ses cantiques, s’inspirant de ce qu’elle a vécu enprison.
Persécutée, isolée, épuisée, Mes jambes vacillent, je vais tomber. Je pleure comme un nourrisson arraché à sa mère. Jésus, tu ne m’as pas abandonnée. Dans ma misère, mon désespoir, ma solitude, Je n’ai plus que toi, tu es ici vers moi. Quand cette lourde croix m’oppresse, Mon Aimé, tu es toujours près de moi Quand la peur m’envahit comme jadis tes disciples, Quand au fond des ténèbres je crie à toi, Tu entends mon appel de détresse Et me remplis de ta paix céleste. Quand je me sens seuls abandonnée, Jésus, tu es encore avec moi. Quand cette lourde croix m’oppresse, Mon Aimé, tu es toujours près de moi. Quand j’étais méprisée et rejetée de tous, Dieu de David, tu l’as vu et as détruit Goliath, Je suis maintenant témoin de tes actes, Je les ai vus de mes propres yeux. Sur mon chemin de solitude et d’angoisse, Jésus, tu ne m’as jamais quittée. Quand cette lourde croix m’oppresse, Mon Aimé, tu es toujours près de moi.
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Sources : Portes Ouvertes
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Par Libanga le 13 Février 2015 à 02:09
C’est toujours lorsqu’on est privé d’une chose à laquelle on s’est habitué qu’on en saisit la valeur. Tant que j’ai mes deux mains, ou tous mes doigts, je ne réalise pas à quel point ceux-ci me sont utiles dans le quotidien. Mais que, soudainement, par accident, de façon momentanée ou durable, je perde l’usage d’un organe ou d’un membre, et toute la vie s’en trouve changée.
3. Le meilleur médecin
Ce n’est pas en bon état que j’ai crié à Dieu pour me connecter à lui. J’étais jeune, mais j’avais assez goûté à la vie pour connaître l’amertume, l’absurdité et la souffrance. J’étais déjà dans mon cœur une sorte d’écorché vif. Je me souviens avoir écrit quelque part à l’époque : « Si un jour je trouve l’amour, je quitte tout et je le suis. » Dieu a lu cette phrase. Il m’a fait connaître Jésus-Christ, sa preuve d’amour pour le monde. A travers lui, j’ai saisi l’amour personnel de Dieu pour moi, un amour inconditionnel, généreusement offert, sans condition autre que celle de le recevoir. Aimé par Dieu, les blessures du passé ont pu se refermer. J’ai pardonné, commencé à aimer. Chaque jour, l’amour de Dieu reste la force qui limite les dégâts dans ma vie, me relève lorsque je chute, me donne la capacité de repartir, de supporter. Avec lui, je ne suis plus victime, mais pleinement acteur de ma vie et de ma propre transformation.
4. Le moteur de ma raison d’être
Très tôt après ma conversion à Jésus-Christ, j’ai compris que ma vie n’aurait de sens que si je vivais exclusivement pour lui. La période était alors faste pour l’emploi. Au grand dam de mes parents, j’ai choisi de me tourner vers une vie missionnaire, engagée pour la cause de l’Evangile. Vie incertaine, peu gratifiante sur le plan social ou financier… Mais vie palpitante dans laquelle on ne cesse de constater la capacité de Dieu à changer des vies. Certes, tout est loin chaque jour d’être rose. Je fais le constat que notre société ne veut pas de Dieu. Elle est comme ceux qui crucifiaient Jésus et pour lesquels il a prié son Père disant : Pardonne leur ! Ils ne savent pas ce qu’ils font ! La satisfaction de l’évangéliste n’est pas dans le résultat obtenu, mais dans le sentiment intérieur de l’approbation de Dieu. Tout le reste Lui revient !
5. Un donateur incroyable
Je suis parti sans rien, juste une valise, de chez mes parents : quelques affaires usagées… Dieu m’a enrichi entre temps de façon incroyable. Il m’a donné une famille spirituelle dans le monde entier. Je peux voyager presque partout en France en étant sûr d’être accueilli chez quelqu’un. Il m’a donné des modèles précieux. Je n’ai pas eu tout à découvrir. Dans beaucoup de cas, il m’a suffit de regarder, d’écouter, d’apprendre à imiter. Il m’a donné une femme, un complément d’objet direct parfaitement adapté à mes besoins… des enfants pour lesquels, grâce à Dieu, j’ai pu éviter de faire subir la souffrance qui fut la mienne jadis… des biens nombreux. Je suis parti sans rien, je n’ai jamais manqué de rien : incroyable, la fidélité de Dieu !
6. Une espérance sublime
En fait, je n’ai fait que commencer ma vie avec Dieu. Que sont 35 ans face à l’éternité qui m’attend ? Que sont les biens reçus face à ceux qui me sont réservés ? Je n’ai pas encore été directement confronté à la perspective de ma mort. Mais je ressens une chose : face à l’éternité qui m’attend, les liens qui m’attachent à ce monde ne font pas le poids. L’apôtre Paul l’a dit avant moi : s’il ne lui fallait considérer que son intérêt propre, la mort lui est préférable à la vie. Je peux aussi le dire. Pour autant, je ne subis pas la vie. Chaque jour qui commence ouvre la possibilité d’être seul avec Dieu, de lui parler, de l’écouter par sa Parole, la Bible, d’être un peu plus enrichi. Je n’ai sans doute pas, et de loin, fait le tour, de tout ce que je perdrais, si l’on venait à me priver de Dieu. Heureusement, il n’est pas comme une main ou un œil qui peuvent nous être ôtés. « Je suis avec vous tous les jours, promet Jésus à ses disciples ; personne ne peut vous ravir de ma main. » Quelle sécurité ! Oui ! Dieu est la différence énorme de ma vie.
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Malgré l'imputation,il dit :Il est Le confident majeur,La source de l’excellence,Le meilleur médecin,Le moteur de ma raison d’être,Un donateur incroyable,Une espérance sublime....Amen!!!
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Par Libanga le 13 Février 2015 à 01:44
Bénédiction et malédiction
La bénédiction et la malédiction de Dieu existent-elles ? Dans la loi que Dieu donna à Moïse, elles y figurent clairement. Avant d’énoncer les dix commandements, sa loi morale, Dieu énonce les deux principes qui présideront à la destinée des générations.«Moi, l'Eternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l'iniquité des pères sur les enfants jusqu'à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent, et qui fais miséricorde jusqu'en mille générations à ceux qui m'aiment et qui gardent mes commandements.…»(Exode 20,5-6)
Deux familles américaines et leurs lignées, qui ont fait l’objet d’études et de commentaires de toutes sortes, illustrent la réalité de l’existence de ce principe. Jonathan Edwards était le père de la première lignée, Max Jukes, le père de la seconde. L’histoire de leurs vies et de leurs descendances démontrent de manière flagrante, si besoin est, qu’elle n’est pas vaine la parole de Dieu qui, à la fois, promet et menace.
Edwards Jonathan Edwards, né en 1703 à Windsor, est reconnu par certains comme le plus grand de tous les théologiens et philosophes américains. Animé d’une conscience exceptionnelle de la grandeur de Dieu, Edwards fut à l’origine d’un réveil spirituel qui secoua les hommes de son temps et les fit sortir de leur torpeur spirituelle. De l’union avec sa femme Sarah Pierrepont, qui partageait sa passion religieuse, naîtra 11 enfants (8 filles et 3 garçons) qui furent enseignés dans la même foi. Toujours, les enfants Edwards manifestèrent un grand respect pour Dieu et leurs parents. Parmi leurs descendants, 285 furent diplômés d’études supérieures. 13 devinrent présidents d’écoles supérieures, 65 professeurs et plusieurs, directeurs d’académies importantes. 45 universités américaines et étrangères comptent d’anciens élèves parmi les descendants de Jonathan Edwards. Les Edwards étaient des gens respectueux de la loi. On compte parmi eux plus de 100 juges et avocats et un Edwards considéré comme probablement le plus éminent professeur de droit des Etats-Unis en son temps. Les Edwards jouirent quasiment tous d’une bonne santé et d’une longue vie. Ils ont aussi beaucoup fait pour alléger les souffrances de leurs contemporains. On compte parmi eux 60 médecins. De même, les Edwards étaient tous des hommes pieux. Plus de 100 d’entre eux seront pasteurs, missionnaires et professeurs de théologie, parmi les plus éminents. 80 membres de la famille Edwards recevront des postes honorifiques. Plusieurs seront législateurs pour de nombreux états ou représenteront les Etats-Unis à l’étranger. D’autres seront élus membres du Congrès, trois seront sénateurs et un vice-président des Etats-Unis. Plusieurs descendants Edwards s’illustrèrent dans la littérature. 35 livres réputés portent leurs noms. 18 revues et périodiques importants émanent d’eux.
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Par Libanga le 12 Février 2015 à 01:22
C’est toujours lorsqu’on est privé d’une chose à laquelle on s’est habitué qu’on en saisit la valeur. Tant que j’ai mes deux mains, ou tous mes doigts, je ne réalise pas à quel point ceux-ci me sont utiles dans le quotidien. Mais que, soudainement, par accident, de façon momentanée ou durable, je perde l’usage d’un organe ou d’un membre, et toute la vie s’en trouve changée. Qu’a de plus le fait d’avoir Dieu dans sa vie, s’interroge le non-croyant ? La question est légitime. Le croyant vit dans le même monde que l’incroyant. Il habite un même corps, sujet à la maladie, au vieillissement. Il doit faire face aux mêmes aléas : travail, soucis de tous ordres, familiaux, professionnels… Je pourrais répondre à la question posée en dressant la liste de tous les avantages qu’il y a pour la vie de croire en Dieu. Je vais le faire en prenant la question dans l’autre sens. Aujourd’hui, que serait ma vie, si Dieu n’y était pas ? Qu’aurais-je de moins ? Faisons le compte !
Dieu en moins
Cela fait plus de 35 ans que je me suis tourné vers Dieu pour lui remettre la direction de ma vie. Je l’ai fait dans des circonstances que je relate ici. Depuis, Dieu est devenue la pièce majeure du puzzle de ma vie, celle à partir de laquelle toutes les autres s’emboîtent et s’ordonnent. Que perdrais-je si Dieu m’était ôté .
1. Le confident majeurLa première chose qui me vient à l’esprit est que je perdrais le confident majeur de ma vie, Celui à qui je peux tout dire sans avoir besoin de maquiller ou de cacher quoi que ce soit. Je sais qu’avec Dieu, j’ai quelqu’un qui me connaît à fond. Autant il m’aime comme je suis, autant il ne se fait pas d’illusion sur ce que je suis. Pour ce qui me concerne, il ne mise pas sur ma valeur propre, mais sur la puissance de transformation qui peut s’opérer en moi par ma relation avec lui. Quelle perte serait celle de Dieu chaque jour ! Quelle libération procure le fait de tout pouvoir lui dire !
2. La source de l’excellenceMa vie était, avant de connaître Dieu, d’une pauvreté affligeante. Je me prenais certes pour quelqu’un, mais tout gravitait autour de moi. Mon horizon intérieur ne s’élevait pas au-delà de la satisfaction de mes désirs et besoins. Dieu est celui qui m’a amené, conduit sur des hauteurs insoupçonnées. Mes yeux se sont ouverts sur son monde à lui, le monde du cœur, de l’esprit, l’éternel. Aujourd’hui, je le sais, rien ne peut autant élever ma pensée et tout mon être. Je le vois et le sais aussi par contraste, en regardant ceux qui, parmi mes anciens amis, n’ont pas cru bon de chercher Dieu. Leur vie n’a toujours pas décollé. Pire, elle s’est enlisée.
Suite....
Publié par Gilles
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