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Par Libanga le 12 Février 2015 à 01:02
Dieu n’est pas limité pour se faire connaître. Il aime aussi utiliser les moyens les plus faibles. C’est ainsi qu’il a choisi la petite Djamila dont la maman venait de mourir. Une nuit, alors que Djamila dormait, elle fit un rêve étrange. Sa mère lui apparut et lui dit de se rendre avec toute sa famille à un lieu précis. « Vous y trouverez un passeport pour le ciel ! » affirma-t-elle. Inutile de dire que Djamila fut très troublée à son réveil. Trop d’émotions se bousculaient dans son coeur et elle courut vers son père pour tout lui raconter. Un rêve comprenant tant de détails et une adresse si précise n’arrivant pas si souvent, toute la famille décida de s’y rendre. C’est ainsi qu’un beau matin, un pasteur demeurant en Asie centrale eut la surprise de trouver devant sa porte 11 personnes qui lui demandèrent le fameux « passeport pour le ciel ».« C’est en entendant le récit du rêve de la petite que j’ai compris que Dieu se trouvait derrière toute cette histoire » se souvient le pasteur, dont nous tairons le nom pour des raisons de sécurité. Cet homme d’église révéla alors aux membres de la famille de Djamila une chose qu’ils ignoraient : « Votre mère était chrétienne. Elle ne vous l’a jamais dit car elle pensait que c’était trop risqué. Mais apparemment, Dieu s’est chargé lui-même de vous conduire ici pour entendre parler de Jésus. »Le père et le reste de la famille, très touchés, ont voulu en apprendre davantage sur Jésus et se sont convertis. « Nous étions vraiment émerveillés de voir comment Dieu s’est servi d’un rêve pour que toute une famille découvre Jésus » conclut le pasteur.
Source: Portes Ouvertes
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Par Libanga le 10 Février 2015 à 15:48
Elle témoigne ce que Dieu a fait dans sa vie:
Après l’échec de mon premier mariage je me suis mise à sortir, à boire, à rencontrer des hommes dans les bars et les agences de rencontre le BESOIN D’ÊTRE AIMÉ ET DE NE PAS ÊTRE SEUL ÉTAIT SI FORT que je sortais avec le premier venu qui fut M.X pour la situation. Il n'était pas chrétien. Au début il était gentil, contrôlant mais attentionné. Plus le temps passait, plus il devenait contrôlant et jaloux si j’arrivais en retard du travail c’étais la crise. Toute cette violence a duré deux ans.
Les coups de poing dans les murs, il criait et lançait tout. Des jours ou il n’était pas chez moi il me surveillait, même la nuit il venait à côté de ma fenêtre et écoutait voir s’il n’entendrait pas la voix d’un homme. Je ne pouvais pas parler à qui je voulais et encore moins dire ce que je voulais, il vérifiait ce que j’avais dit.
Puis arriva le jour qui fut presque fatal. J’étais sur le chemin du retour a ce moment-là, j’ai eu comme un pressentiment de ce qui m’attendait. En même temps je savais qu’il fallait que j’aille et que ça serait la fin. Je ne connaissais pas le Seigneur comme je le connais aujourd’hui, je ne lui avais pas donné ma vie encore, mais les témoins de Jéhovah m’avaient montré que Dieu existait.
Alors à mon arrivé, il était très en colère parce que j’avais appelé la gardienne sans l’en aviser, sans lui demander l’autorisation de téléphoner. Il a commencé à me crier des bêtises et me donner des claques (baffes) et des coups de poings, coups de pied partout, il m’a étranglé et me disait "je vais te tuer". Un moment donné, il a arrêté de m’étrangler, il s’en fallait de peu pour mourir (je me suis senti partir), je me suis assise et pris une cigarette.
On m’avait souvent suggéré de me faire un plan de sortie en cas d’urgence mais je n’en avais pas. Mais tout est devenu très clair, comme par miracle, instantanément j'ai su quoi faire. Je suis allé dans la salle de bains, j'ai fais couler l’eau au plus fort et enlevé mes souliers pour ne pas faire de bruit dans les escaliers et je sortis par derrière.
Je me retrouvai chez ma voisine en quelques secondes, cette même voisine qui se faisait battre et c’est même son mari qui dut appeler la police, moi j’étais en état de choc. Imaginez les émotions que cet homme a dû ressentir, je suis certaine qu’il a changé après cela.
Ensuite, l’arrestation, le procès, la peur, les déménagements successifs. Au procès son avocat m’a fait passer pour une folle à cause de mon burn-out et ma dépression. Avec ses baguettes en l’air, il a dit comme ça « à entendre madame, on dirait qu’on lui aurait arraché la tête.» Aucun témoin ne l’a vue ainsi.
Mon avocat le procureur de la couronne a ce moment là sorti mon rapport médical et demanda qu’il soit incarcéré immédiatement, ce que fit le juge. Une feuille 8½x11 n’était pas assez grande pour contenir toutes les blessures. La justice de ce monde ne m’a pas rendu justice il fut que trois semaines en prison.
Mais Dieu m’a sorti de là et m’a amené dans les Laurentides (région au Nord de Montréal) où je suis encore. Il s'est fait connaître à moi et je l’ai accepté comme mon Sauveur personnel. Aujourd’hui je suis marié avec une autre personne, un chrétien, rien à voir avec les hommes que j'ai connus.
Ce qu’il faut retenir de tout ça, c’est que nous sommes des êtres humains extraordinaires pour Dieu et il nous laisse pas dans la misère si ont le Lui demande. Il faut regarder à Dieu et même se séparer pour un temps, le temps de faire une thérapie. N’oublions pas que Dieu utilise les choses folles et viles du monde pour confondre les sages. Je ne vous traite pas de folle, Jésus a dit ce ne sont pas les gens en bonne santé qui vont voir les médecins mais les malades (Mt 9.12).
Si vous vivez une situation semblable, avec Dieu nous pouvons vous aider. Car Dieu t’aime et te donnera la vie en abondance car Il dit Je veux que tu prospères à tous égards comme l’état de ton âme (3 Jn 1.2).
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Par Libanga le 9 Février 2015 à 22:26
Une enfance pas toujours très facile
Je suis né en Alsace, de parents qui n'étaient pas de la région. Dernier de 5 enfants, je pense avoir moins subi les difficultés familiales que mes frères et sœurs. Toutefois, ma mère m'a dit un jour : lorsque j'ai su que j'étais enceinte de toi, nous avons dit avec ton père "c'est une catastrophe". Si nous avions eu les finances, je serais partie en Allemagne me faire avorter. Bonjour la vie !
Mon père avait beaucoup de qualités mais il était aussi très violent. Je ne pourrais compter le nombre de fois où, de colère il saisissait la table en la relavant et notre repas tombait à terre.Je me rappelle plus particulièrement qu'il frappait ma mère, elle se retrouvait par terre... et les coups ne cessaient pas ! Il me faisait peur.A cause de cette vie difficile, ma mère est tombée en dépression. Je me souviens d'un jour où je l'ai visité après qu'elle fut hospitalisée. Elle était couchée, pieds et mains liées, des barreaux aux fenêtres, assommée par les médicaments, elle ne pouvait parler. J'ai été très blessé par ce spectacle et décidait de tuer mon père, je n'avais que 12 ans.Je suis devenu bagarreur, traversant la rue pour me battre, je voulais apprendre à me battre afin de pouvoir lui faire face un jour. Je pensais qu'une arme à feu ou un couteau lui procurerait une mort trop rapide.
Ma scolarité fut médiocre aussi à l'âge de 14 ans, j'ai entrepris un apprentissage en pâtisserie. J'étais "nourri – logé" afin de n'être à la maison qu'un jour par semaine. Très mal nourri et logé dans une mansarde au grenier sans chauffage. D'ailleurs, en hiver il n'était pas possible d'enlever le givre qui était sur les vitres de la fenêtre... à l'intérieur de la chambre ! A 14 ans, je faisais entre 65 à 75 d'heures par semaine pour un salaire ridicule.
Ma rencontre avec... Dieu !
Sur le plan religieux, mon père avait été durant 7 ans Témoin de Jéhovah, ma mère était catholique. J'avais environ 7 ans lorsqu'avec mes frères et sœurs, nous avons tous été baptisés dans une église protestante réformée. J'étais tellement difficile que les animateurs de l'enseignement des enfants de cette église devaient souvent me mettre à la porte afin que les autres puissent suivre l'enseignement.En sortant de cet hôpital cité plus haut, ma mère, lisant le journal local, a vu une annonce ainsi libellée : venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos tirée de l'évangile de Matthieu (Mt 11.28). C'était une invitation à des rencontres chrétiennes. Quelques temps plus tard, je l'entendais chanter des cantiques, elle vécue une conversion au Christ et obtint du même coup la guérison de sa dépression (A tel point qu'elle est partie quelques années plus tard comme missionnaire en Afrique).Elle m'invitait souvent à ses rencontres mais vous savez, à 15-16 ans, on pense à autre chose. Je suis toutefois allé la chercher à la fin d'une de ses rencontres. Ne la voyant pas sortir, je suis entré dans cette salle qui servait d'église, ma mère parlait avec le pasteur. Ce fut un rendez-vous de Dieu pour moi ce soir-là... en effet, la fille du pasteur était superbe, magnifique, au point que durant 6 mois, deux fois par semaine, je me suis rendu à ces rencontres... pour essayer de sortit avec elle, la draguer dirait-on aujourd'hui !
En même temps, j'étais bien obligé d'entendre ce qui se passait et j'ai été impressionné par quelques témoignages. Aussi, m'adressant à Dieu je lui ai dit "si tu existes vraiment, ben manifeste-toi aussi dans ma vie". Il le fit, non comme je le pensais ou le désirais. En effet, trois jours après, je m'aperçus qu'il m'était impossible de traverser la rue pour frapper quelqu'un, mon projet de tuer mon père avait aussi disparu. J'étais perplexe au point que je ne retournais plus aux rencontres de cette église durant plusieurs mois.
Sur le conseil de ma mère, je suis allé voir le pasteur. Celui-ci me disait que Dieu avait simplement répondu à ma prière, même si je n'appréciais pas sa manière de l'exaucer, et que c'est lui qui décide de la manière de répondre ! Maintenant j'avais deux chemins devant moi, soit je continuais sur mon chemin avec un avenir bien incertain et sombre, soit j'acceptais le chemin que Jésus m'invitait à prendre pour un avenir aussi incertain mais où la promesse que Dieu serait à mes cotés ferait la différence.Je suis donc retourné à l'église et quelques mois plus tard, suite à l'appel d'un prédicateur, j'acceptais que Jésus prenne demeure en moi, lui demandant de conduire mes pas, de prendre le contrôle de mon cœur, de ma vie, c'était en avril 1969. Je scellais cette décision par le baptême par immersion, ce qui fut fait en novembre de la même année.
Zélé... mais quel chemin à faire
Ma conversion a changé ma vie, ma perspective de voir la société. Elle m'a aussi permis de me connaître moi-même. Jamais je ne m'étais posé la question de savoir qui j'étais, quels étaient mes défauts et mes valeurs.J'avais beaucoup de zèle pour témoigner de ma foi et en même temps toujours mon poignard calé dans ma chaussette... avec lequel je menaçais les homosexuels – je prenais le train sans payer – les questions d'autorités m'étaient très difficiles – 15 ans après, j'avais toujours des réflexes de défense,... !Mais j'avais envie de servir ce Dieu qui m'avait changé et ceux que je côtoyais.
Ainsi, après mon service militaire, j'ai fréquenté une école biblique, puis je suis allé aider un pasteur qui s'occupait des marginaux et des toxicomanes.Pour l'anecdote, j'ai eu mes vingt ans là. C'était en plein été et je n'avais dit à personne que c'était mon anniversaire.Nous avions un accord avec un supermarché, nous enlevions leurs déchets et en échange nous recevions les invendus. Le premier travail en arrivant, était de monter dans la remorque afin de la ranger, puis de mettre ce qui avait débordé.En rentrant dans celle-ci, mon pied s'est coincé dans un carton, j'ai eu du mal à le retirer et lorsque ce fut fait, je m'aperçus que j'étais tombé dans un carton de viande avariée. Je ne voyais plus mon pied tant il était recouvert d'asticots !
Le temps de remonter sur la remorque et d'en redescendre de l'autre coté, ces petites bêtes si vigoureuses avaient eu le temps de rentrer dans ma chaussure évasée, à tel point que tombant de l'autre coté sur la terre ferme, c'est un ssccrouuiiittt qui m'attendait et des asticots écrasés entre les doigts de pied que j'avais... et je ne vous parle pas de l'odeur !Levant les yeux au ciel, j'ai fait cette prière "Seigneur, pour mes vingt ans, tu exagères !"Et de sa voix douce et pleine de compassion j'ai compris qu'il me répondait "Bernard, si tu n'es pas capable d'accepter cela pour un de ces marginaux, alors tu n'es pas non plus capable de me servir !" Je n'ai jamais oublié cette leçon et lorsque, avec mon épouse, nous accueillions chez nous des alcooliques qui vomissaient dans le salon, je ramassais - avec des hauts le cœur - mais en repensant à ce jour mémorable... vous le savez bien, on n'oublie pas le jour de ses vingt ans !!
Actuellement, je suis l'un des pasteurs d'une église que le Seigneur m'a appelé à fonder à Angers. Je suis dans cette même ville, aumônier de prison, des hôpitaux et aux armées.Le Seigneur fait de grandes choses... il tient mon avenir incertain dans sa main et il est à mes cotés chaque jour selon sa promesse.
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Par Libanga le 29 Janvier 2015 à 17:52
Je laissais tomber la foi...jusqu'au jour où Dieu m'a parlé. Peut-être êtes-vous comme moi: croyant. Mais la vie nous accapare tous, et on laisse Dieu de côté. Pourtant, Il veille sur nous...
Je suis chrétien depuis longtemps mais lorsque je suis arrivé à Lyon pour suivre mes études d’ingénieur, peu à peu, j’ai été trop occupé et j’ai laissé Dieu dans un coin de ma vie.
Quelques années plus tard, j’ai vécu une rupture amoureuse alors même que j’avais effectué une demande en mariage plus de 6 mois auparavant. Ma vie a continué son cours mais j’avais de plus en plus marre de tout. J’ai été dans une église pour rencontrer des amis. Alors que je voulais me défiler à la fin de la soirée, le pasteur a annoncé que Dieu lui avait révélé un message pour « le jeune homme là-bas ». Je voyais qu’il désignait ma direction. Je regardais à ma gauche, puis à ma droite. Zut ! Il n’y avait pas d’autre jeune homme.Le pasteur s'est mis à parler de la part de Dieu pour moi : « Tu as déjà engagé ta vie à me servir dans le passé, mais tu as été trop occupé par la vie ces dernières années. Ce soir même, je t’appelle à nouveau à me servir. Je vais t’amener à un croisement de chemins et tu devras prendre le bon ». Comment pouvait-il savoir que quelques années plus tôt, lors d’un temps spécial pour jeunes, je m’étais levé avec 2 autres jeunes, pour dire à Dieu que je voulais qu'il m'utilise ? Comment pouvait-il savoir que depuis j’étais si occupé par la vie ? Je n'avais rien dit à personne ! Dieu seul pouvait parler.
Et c’est vrai que j’ai été occupé : par le travail, pour intégrer une Grande Ecole en informatique, puis une des meilleures universités nord-américaines. Depuis ma rupture amoureuse, je m'étais donné à fond dans le sport et le perfectionnement de mon travail. En fait, la séparation avec mon ex-copine avait été extrêmement douloureuse. Je travaillais dur, mais j’avais déjà bâti le plan de mettre fin à mes jours s’il ne me restait plus aucun espoir de renouer avec elle.
Mais ce jour là, j’étais tellement heureux de servir Dieu à nouveau ! J’ai même eu la surprise de voir mon ex-copine, accompagnée de son nouveau copain, sans que j’en sois affreusement bouleversé ! Avant ça, je n’aurais jamais pu le supporter. Dieu savait exactement où j’en étais. Il savait à quel point je m’étais éloigné de Lui et Il a choisi le bon moment et a utilisé le bon moyen pour me réveiller et m’arrêter dans mes bêtises. C’est vrai ! J’étais sur le point de foutre ma vie en l’air ! Maintenant, je n’ai qu’une seule envie : rétablir et consolider ma relation avec Lui, car je le sais, Il agit constamment autour de moi et m’invite à le rejoindre.Luc
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Jésus a dit :«Mon Père agit jusqu'à présent; moi aussi, j'agis...»(Jean 5,17).Vous êtes éloigné de Lui... Il viendra vous chercher......
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Par Libanga le 28 Janvier 2015 à 16:04
Peut-on avoir la foi de prier pour un miracle et voir Dieu guérir ? Récit d'une mère de famille...
Les miracles existent-ils encore ? Je me suis souvent posée cette question. Oui, je crois que Dieu est tout puissant, que rien ne lui est impossible. Je crois également que le plus grand miracle est bien d'être aimée d'un Dieu si grand ; accepter cet amour non seulement avec ma pensée, mais également dans mon cœur, et en vivre chaque jour. Mais qu'en est-il des autres miracles, comme la guérison, qui nous sont rapportés dans les évangiles ? Etaient-ils des signes pour ses contemporains ? Et aujourd'hui ? J'aimerais juste vous raconter un épisode de notre vie familiale. Un événement tout simple, et si vrai !
Il y a quelques années de cela, notre fille aînée, avait trois ans et notre fils 10 mois. Je sortais d'une période de maladie qui m'avait beaucoup affaiblie. Un jour, en donnant le bain à notre fils, il m'a « glissé » des mains et a plongé tout droit sur le mitigeur de la baignoire… Quand je l'ai relevé, son œil était tout rouge et il hurlait de douleur !
Très vite, nous l'avons transporté aux urgences. Après de multiples examens, le corps médical a décidé de le garder quelques jours en observations. Nous avons téléphoné à notre fille restée chez ses grands-parents pour la rassurer et l'avertir qu'elle devait passer la nuit chez papy et mamy. Elle a alors répondu : « Maman, tu n'as qu'à faire comme Jésus a fait pour Bartimée : tu mets ta main sur son oeil et tu pries ! ».
J'étais très émue par sa réponse et en même temps, je me disais : « Ah, si cela pouvait être aussi simple… ». Le lendemain, on nous annonçait que notre bébé de dix mois avait un décollement de la rétine, et que cela signifiait la perte de la vue!
Vous imaginez notre douleur… Des rendez-vous ont été pris pour un examen sous anesthésie générale et pour des contrôles quotidiens. On rentrait à la maison récupérer notre fille quand celle-ci a accouru vers son frère, a posé sa main sur son œil en disant : « Jésus, guérit l'œil de mon frère. » Elle a enlevé sa main, mais rien n'avait changé : son œil était toujours aussi rouge. Vraiment étonnée, et déçue, elle nous lança : « Jésus n'a pas guéri mon frère. »
Nous étions très surpris de voir qu'elle pensait vraiment qu'en enlevant sa main, l'œil allait être de nouveau comme avant ! Nous avons dû expliquer à notre fille que oui Jésus est tout puissant, il est capable de guérir tout de suite mais qu'il a seul le droit de décider ce qu'il doit faire.Le lendemain, pour le contrôle, le chirurgien qui suivait notre fils n'était pas là et c'est un interne qui l'examina. Au bout de plusieurs essais, il me dit : « Madame, pourquoi avez-vous amené votre fils ? ». Je m'empressais de tout lui raconter quand l'infirmière qui était là la veille lui remontra le dossier… Mais il nous répondit : « Je ne vois rien. Votre fils n'a rien. » L'infirmière s'est mise en colère et alla chercher le chirurgien qui était en réunion. En costume cravate, il est venu examiner l'œil à son tour. C'est alors qu'il a reconnu : en effet, la tache observée la veille avait disparu ! Notre fils n'avait plus rien !
Certes, nous n'avions pas besoin de ce signe pour croire en la puissance de Dieu, en son amour envers nous. Pourtant, nous avons été mis face à la simplicité de foi d'un enfant de trois ans, pour qui non seulement rien n'était impossible à Dieu, mais qui s'attendait surtout à voir concrètement l'action de Dieu. Et nous adultes?Sommes-nous prêts à voir Dieu agir ou l'empêchons-nous par notre incrédulité ?
Je vous laisse ce verset de la Bible, à méditer :
« Alors Jésus appela un petit enfant, le plaça au milieu d'eux, et dit: -Vraiment, je vous l'assure: si vous ne changez pas d'attitude et ne devenez pas comme de petits enfants, vous n'entrerez pas dans le royaume des cieux. » (Evangile de Matthieu ch.18 v.3).Jema
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Jésus a dit à Marthe :"Ne t'ai-je pas dit que, si tu crois, tu verras la gloire de Dieu?"(Jean 11,40).N'a-t-il pas dit aussi :"Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: en mon nom" ?(Marc 16,17)
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