• Dieu m'attendait chez moi..

    Ma soif de spirituel a été étanchée

    Guillaume témoigne: J’ai cherché la vérité dans la philosophie et les spiritualités orientales, mais Dieu m'attendait chez moi...

    Bonjour ! Voici ma petite histoire :

    J'ai eu une petite enfance heureuse dans une belle maison à la campagne, près de Bordeaux. J'avais des parents, la santé et tout semblait bien parti. Malheureusement l'enfer a commencé au moment de mon adolescence. Mes parents ont raté l'affaire dans laquelle ils s'étaient lancés et la conséquence, c'est qu'ils ont divorcé. Mon père a sombré dans l'alcool et la misère, tout seul, puis un long et dégradant cancer l'a retranché de ce monde. J'étais en 3e.

    J'étais catholique par étiquette : j'avais fait du catéchisme et allais à la messe tous les dimanches, mais sans en retenir la moindre parcelle et parallèlement, ma mère m'emmenait tous les samedis après-midi à une séance de médium et de guérisseur ! Sans que je m'en rende compte, j'ai commencé à m'imprégner de l'atmosphère, des propos qu'il y avait. En fait j'étais une éponge et tout ce que j'ai vécu pendant mon adolescence s'est incrusté en moi.  Pratiquant les arts martiaux, je me suis plongé dans la culture orientale, que je finissais par mieux connaître que celle de mon pays. Mais à partir de ces années, ma vie est devenue de plus en plus horrible. La nuit j'étais terrifié. J'ai découvert l'angoisse. La solitude et le chagrin m'ont également assailli.

    Alors j'ai cherché la vérité à travers tout ce qui se présentait à moi : philosophie, ésotérisme, spiritualités. À 16 ans je voulais partir dans un ashram en Inde pour trouver un maître. En pleine crise d'identité, je recherchais partout la réincarnation pour comprendre ce que j'avais fait pour mériter tant de souffrances. Mais bien loin d'être exaltants, tous les chemins que j'ai pu prendre se sont révélés être un labyrinthe. Quand j'ai réalisé cela, la folie avait commencé à poindre dans ma vie ; je me réservais le suicide comme dernière porte. Mais je m'étais promis avant ça de me battre jusqu'au bout pour trouver l'éveil et être en paix.

    Un jour, on m'a offert une petite Bible de poche. Je n'avais jamais lu ce livre et il me rebutait, sans que je sache trop pourquoi. Cette année-là, en même temps, je me suis fait un ami chrétien. Il a été le premier à me parler de Jésus-Christ, qui était très différent de celui que je croyais connaître. Alors, intrigué, je suis allé à un groupe d'étudiants chrétiens. Au début je me suis moqué d'eux. Comment voulaient-ils m'apprendre quelque chose avec un seul livre, à moi qui en avais lu des centaines ? ! Mais j'étais prêt à essayer ça encore. Qu'avais-je à perdre ? Je voyais ma vie comme un immense champ de batailles et de ruines et je ne savais plus vers qui me tourner.

    Alors je me suis mis à lire la Bible. Au début, c'était très dur ; je n'y comprenais rien. Surtout, c'était très différent de tout ce que j'avais pu lire auparavant. Puis j'ai décidé de rencontrer un pasteur. Il m'a expliqué alors le pardon que Dieu voulait m'offrir pour la présence du mal en moi et la nouveauté de vie que Jésus-Christ donne. Et un jour, j'ai pris conscience que j'étais effectivement pécheur (c'est-à-dire que j'avais le mal en moi). J'ai compris que c'était cela qui m'empêchait d'accéder à la vérité. J'ai accueilli le Christ venu pour me sauver, pour mourir à ma place et me réconcilier avec Dieu. Et l'éveil que je cherchais s'est produit. La paix que je voulais trouver s'est présentée à moi. Depuis, j'apprends à découvrir la grâce de Dieu, à connaître Jésus et à l'aimer. Toute ma vie on ne m'avait parlé que de hauteurs, d'être appelé à devenir dieu. Mais j'ai rencontré la vérité au plus bas.

     


    Jésus a dit :« Cette bonne nouvelle du royaume sera prêchée dans le monde entier, pour servir de témoignage à toutes les nations. Alors viendra la fin.» (Mathhieu 24,14)

     

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  • David témoigne...

    Dieu me donne la force de survivre à un terrible handicap.J’avais 23 ans, j'allais démarrer dans la vie... Un camion m'a fauché : j'ai perdu ma jambe et mon bras gauches...

    Je suis né dans une famille chrétienne et j'ai grandi en allant à l'église tous les dimanches. Ainsi j'ai acquis une certaine " habitude " de Dieu, une foi naturelle qui était en partie due à mon entourage.

    Puis j'ai pris conscience petit à petit de ce qu'était vraiment la conversion dont j'entendais parler lors de camps de jeunes : un choix personnel et conscient à faire. A plusieurs reprises j'ai fait un pas pour accueillir Dieu dans ma vie. Mais je m'attendais à une expérience forte, avec une explosion de joie immense, etc. Alors chaque fois que je faisais un pas avec Dieu, comme je ne ressentais rien, je croyais que ça ne marchait pas pour moi. Puis un jour j'en ai parlé et j'ai compris que Christ était mon sauveur, car je l'avais accepté et qu'il voulait être le Seigneur de ma vie ; je lui ai donné la direction de ma vie.Un jour j'ai découvert un verset dans le Psaume 37 : " Fais de l'Eternel tes délices et il te donnera ce que ton cœur désire. Recommande ton sort à l'Eternel, mets en lui ta confiance et il agira ". C'était pour moi une vision nouvelle de ma vie, une promesse et une espérance. J'avais 23 ans, j'allais terminer mes études, démarrer dans la vie et mon Dieu me disait que si je me confiais en lui, il agirait. ça m'a transformé.
    Quelques temps plus tard, alors que je roulais en moto la nuit, j'ai été percuté par un fourgon. J'ai été transporté à l'hôpital où rapidement on m'a amputé de la jambe pour me garder en vie. J'ai aussi perdu l'usage de mon bras gauche. Les médecins ont pensé et dit à mes parents que je devais mourir. Mais ça n'a pas été le cas.

    Comment est-ce que j'ai vécu ça en tant que chrétien ? Avant de partir j'avais prié Dieu pour qu'il m'accompagne. Cette nuit, 4 personnes qui m'étaient proches ont ressenti qu'il allait se passer quelque chose de grave pour moi. Mon frère et un copain ont rêvé tous deux que j'avais un accident et que je mourrais. Ma mère s'est réveillée au moment de mon accident avec une forte douleur au bras et enfin, ma sœur a ressenti une sensation désagréable, comme si le mal rodait.

    Mais Dieu m'a gardé et a sollicité ma famille pour prier pour moi. Moi-même, je l'ai appelé. De suite après le choc je me suis retrouvé seul sur la route, pendant plus d'1/4 d'heure, dans un état critique. Alors j'ai appelé Dieu et puis on m'a retrouvé. A l'hôpital, ça a été les moments parmi les plus pénibles de ma vie pendant plusieurs mois. Mais j'avais quand même une paix intérieure et la présence de Dieu m'était perceptible.

    Dès que j'ai repris conscience, j'ai vu briller une lueur à côté de mon lit et elle m'apportait une paix parfaite. J'avais alors la certitude que mon Dieu veillait sur moi et que mon avenir était entre ses mains. Cette lueur me disait : " mon enfant ne crains rien, ni dans le moment présent ni pour le reste de ton existence ". Dieu ne m'a pas lâché.

    J'ai passé 3 ans entre l'hôpital et le centre de rééducation et grâce à Dieu ma famille a été très présente ainsi que les amis. Pendant ces années de rééducation, j'ai subi plus de 20 opérations, j'ai fais plus de 20 essais de prothèse sans succès et j'ai dû attendre 5 années pour pouvoir marcher normalement. J'ai rencontré beaucoup de personnes dans les centres, j'ai vu des choses difficiles et certains de mes amis que je m'étais fait là-bas se sont suicidés par désespoir, suite à leur handicap. L'un d'entre eux m'a même dit un jour : " et toi, pourquoi tu te suicides pas dans l'état où tu es ? ".Un médecin du centre de rééducation racontait à une stagiaire que dans un cas comme le mien, après un tel accident et avec ce genre de séquelles, un suivi psychologique était primordial. Mais il a constaté que non seulement je n'en avais pas besoin, et qu'en plus j'étais un soutien psychologique pour beaucoup de patients.

    Dans tout ça, Dieu est resté présent. Pourtant, aujourd'hui encore, rien n'est facile, au contraire. Mais lorsque je regarde à mon sauveur, celui qui m'aime et qui a un plan d'amour pour moi, même dans ma faiblesse, alors je suis rassuré et je retrouve la paix. Il me donne l'occasion d'encourager des gens autour de moi et pendant les camps de jeunes (je fais partie parfois du personnel), il me donne l'occasion de le servir. 

    Alors quel est le miracle de Dieu dans ma vie ? Celui de m'avoir gardé, de m'avoir protégé ? Oui, mais ce n'est pas le plus grand. Souvent on me dit : " chapeau David, tu as su garder la foi dans cette épreuve ". Non, je n'ai pas gardé ma foi mais c'est plutôt Jésus, qui s'était engagé avec moi, qui a tenu son engagement, et c'est lui qui m'a accordé la foi dans cette épreuve, qui m'a accordé sa présence et son soutien.

    Oui il a permis l'épreuve dont je ne serais jamais totalement délivré dans ma chair. Mais ça fait partie de la vie. Je sais que le plus important, ce ne sont pas les conditions de notre bien être social, financier, familial ou physique mais plutôt comment on utilise notre vie et comment on prépare ce qu'il y a après. Et pour ça c'est tout simple. Pas besoin d'avoir souffert, d'avoir vécu des choses particulières, pas besoin non plus d'être parfait ou exemplaire, non, il suffit d'accueillir Jésus dans notre coeur, de lui donner notre vie. Lui nous accepte comme on est. Quand on lui confie notre existence, qu'on le laisse prendre la direction de notre vie, lui il assure, même si parfois il y a des épreuves.

    Les épreuves sont des moments difficiles que l'on rencontre au long de la vie. Ce feu ne doit pas nous brûler mais plutôt nous affiner, nous purifier. Nous devons traverser le feu et ne pas y succomber et ainsi l'épreuve devient un passage bénéfique. Si Dieu permet qu'elle nous arrive, c'est surtout pour l'utiliser pour nous, pour notre maturité et pour les autres. Alors l'épreuve ne doit jamais être subie et nous arrêter. Au contraire, elle doit nous pousser, nous transformer.

    Il faut cesser de regarder à ce qui s'avance contre nous. Il faut regarder plutôt vers Celui qui est avec nous ! "Car Dieu donne la grâce et la gloire. Il ne refuse pas le bonheur à ceux qui marchent dans l'intégrité" (Psaume 84:12).

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  • Pour moi, Dieu n’existait pas...

    "Pour moi, Dieu n’existait pas. Je préférais ne pas réfléchir au sens de la vie ou, à la mort, comme tout le monde, jusqu'au jour où..." disait Claire

    Lisez son témoignage

    Bonjour, je m'appelle Claire.
    Pour moi, Dieu n'existait pas. Je croyais ce qu'on m'enseignait à l'école par rapport à la théorie de l'évolution et le fait que c'est par hasard que nous nous étions retrouvés ici. Je ne me posais pas trop de questions supplémentaires sur les origines de la terre et de l'humanité ; ça me suffisait. J'essayais de ne pas trop penser non plus au sens de la vie et à la mort ; c'était plutôt quelque chose qui me faisait peur et donc je préférais ne pas y réfléchir sérieusement. J'avais une assez mauvaise image de la religion et des personnes qui la pratiquaient. J'estimait qu'il fallait vraiment être ignorant pour croire que Dieu existait ; c'était des croyances tout ça, fondées sur rien, de vieilles coutumes. Pourtant, je viens d'une famille de tradition catholique, c'est-à-dire que j'ai été baptisée étant bébé, mais mes parents n'étant pas pratiquants, je n'ai pas reçu d'enseignement religieux. Pour moi ce baptême ne traduisait pas un engagement personnel vis-à-vis de Dieu.
    Je vivais sans vrai but. Certaines personnes de mon entourage avaient une vision plutôt négative de la vie et c'est vrai qu'en y pensant, je me rendais compte que la vie n'était pas une perspective réjouissante : on naît et on passe par les différentes étapes de la vie avec plus ou moins de difficultés, pour finalement mourir un jour. Mais malgré tout, j'avais envie de vivre. Je me disais que quand même, certains moments de la vie étaient agréables et j'avais envie de les vivre. Je ne me projetais pas trop dans l'avenir, je vivais en me laissant influencer par les modes et par les gens qui m'entouraient, sans vraiment réfléchir. Je faisais un peu comme tout le monde, même si je savais que certaines choses n'étaient pas très bonnes. Je me disais qu'après tout, je n'étais pas quelqu'un de si mauvais.


    Et puis il y a quelques temps, ma vie a changé. "Jésus est entré dans ma vie" si je peux dire ainsi ! Ce qui est étonnant c'est que je n'ai jamais cherché Dieu, c'est lui qui est venu vers moi et s'est révélé à moi.
    En février 2003, ma famille et moi avons accueilli chez nous une Canadienne de 18 ans dans le cadre d'un programme d'échange. Cette fille, qui s'appelait Jillian, était chrétienne. C'était la première personne vivant une relation avec Dieu que je rencontrais. Nous sommes devenues assez proches et nous avions de temps en temps des discussions sur sa foi. ça n'allait pas très loin, mais ça me donnait une vision différente de la religion. Elle avait une démarche personnelle et sincère qui ne passait pas par des rituels. Je trouvais ça différent. Je n'étais pas vraiment intéressée, mais je respectais ses valeurs par tolérance, parce qu'elle était mon amie.
    Et puis un jour, Jillian a rencontré une famille dans le village où j'habite, à l'occasion d'un spectacle pour Pâques. Ils étaient chrétiens et le père était même le pasteur d'une église protestante évangélique. Le dimanche suivant, elle est donc allée à l'église avec eux, et moi avec, pour l'accompagner et aussi par curiosité. Et puis le samedi suivant, j'ai été invitée chez cette famille pour une réunion du groupe de jeunes de l'église.
    Ma première impression en voyant ces gens a été qu'il y avait quelque chose de différent en eux : beaucoup de joie et d'amour entre eux. Je sentais qu'il n'y avait pas de jugement ou de pensées mauvaises quand ils me parlaient. J'ai rencontré des personnes qui m'ont parlé de la façon dont Dieu avait changé leur vie et de la relation qu'ils avaient à présent avec lui ; ça m'a beaucoup touché. J'ai continué à aller à l'église, même après le départ de Jillian. Je voulais en savoir plus sur la foi chrétienne et je voulais vraiment savoir si tout ça était vrai. Je posais des questions ; j'ai commencé à lire la Bible : je voulais savoir comment ils pouvaient être si sûrs que Dieu existait. Petit à petit, j'ai réalisé que Jésus n'était pas un personnage de légende ; il avait vraiment vécu et des gens témoignaient de leur relation avec lui.
    J'ai cru à l'existence de Jésus. Et même plus, j'ai compris que sa mort sur la croix était un sacrifice pour payer les fautes de tous les hommes, pour qu'ils puissent être près de Dieu. J'ai été convaincue de sa résurrection : Jésus était le fils de Dieu, d'un Dieu qui existait vraiment ! C'est tout ce cheminement qui m'a conduit à croire moi aussi. C'est Dieu qui s'est révélé à moi par toutes ces discussions et ces lectures.
    A partir de ce moment-là, je voulais savoir comment Dieu pouvait changer ma vie à moi aussi. J'ai appris qu'il suffisait d'une prière, pas besoin de grandes cérémonies, juste une prière à Dieu. j'ai reconnu ma mauvaise nature et mon péché, j'ai demandé à Dieu de me pardonner pour cela, je l'ai remercié pour le sacrifice de Jésus pour moi, pour payer mes fautes pour que je puisse être auprès de Lui, je lui ai demandé d'entrer dans ma vie.

    Ca n'a pas été un phénomène instantané, comme je le pensais, mais plutôt une transformation progressive. Petit à petit, Dieu me montrait le mal que je faisais : la façon de m'adresser à mes proches, mes mauvaises habitudes, mon égoïsme, et tout ça. J'ai commencé à vraiment détester ça, et Dieu m'a changé, et continue à me transformer jour après jour en me montrant ce qui ne va pas dans ma vie. J'apprends aussi sur lui à travers ce qu'il me dit dans la Bible. Je vis une relation personnelle avec Dieu, je peux lui parler librement, je sais qu'il m'écoute toujours. Il est un soutien par sa présence et ses promesses, par les gens qu'il met autour de moi. Je veux l'honorer par tout ce que je fais et je veux lui obéir. Dieu fait partie de ma vie !

    Claire ajouta:"Dieu s'est révélé à moi sans que je pratique une religion"

    Qu'en est-il de vous ?

    E

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