• Y a-t-il quelque chose de plus puissant que la puissance de Dieu ? Bien sûr que non!Alors l'évangile est ce qu'il y a de plus puissant !

    Paul dit dans Romains 1:16:" Car je n’ai point honte de l’Evangile : c’est une puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit "

    L'évangile est la puissance de Dieu devant laquelle aucune sagesse humaine ne peut tenir. Jamais un homme aurait pu concevoir un tel plan ! Notons que toutes les religions humaines sont basées sur les mêmes prémices : «fais ceci et cela et tu obtiendras peut-être la faveur divine». Mais l'évangile est tout à l'opposé, tu ne peux rien faire pour gagner la faveur de Dieu !

    Alors Dieu te fait grâce quand tu le reconnais humblement et place ta confiance dans ce qui paraît fou : un homme crucifié il y a 2000 ans dans une terre lointaine et qui pourtant console encore les coeurs brisés, guérit les maladies, ressuscite même des morts et changera bientôt pour toujours la face du monde !  Amen !

    Vraiment l'évangile est une puissante insurpassable !

    La puissance insurpassable

     

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    Car je n’ai point honte de l’Evangile : c’est une puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit

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  • De nos jours, quand on veut un peu de divertissement, on peut aller se louer un film de Jim Carrey pour rire de ses grimaces et de ses pitreries. Il y a bien longtemps, des amuseurs publics se chargeaient d'alléger la pensanteur de la vie. Les monarques avaient leur amuseur personnel, on les appelait les fous du roi. Ceux-ci ne quittaient jamais leur roi, ils étaient comme leu alter ego, un "garde-fou" rappelant aux rois de ne pas trop se prendre au sérieux. En France, c’est en 1316, qu’est créé le premier office de bouffon. Geoffroy, le fol de Philippe V, devient en quelque sorte le premier fou fonctionnaire ! Ce métier devint très recherché, car il permettait d'influencer subtilement le roi, il y a même eu des savants qui devinrent fous du roi ! Louis XIV fut le dernier à avoir un fou du roi.

    L'un de ces fous du roi était particulièrement prisé par son monarque, sa reine et sa cour. Celui-ci se tapait les cuisses tellement il le trouvait drôle quand le fou se moquait de lui avec sa marotte avec une tête de roi hilare. Un jour, il lui tendit son sceptre en lui disant : "Si jamais tu trouves quelqu'un d'encore plus fou que toi, tu lui donneras ce sceptre !" Le fou laissa alors tomber sa marotte et le vrai sceptre ne le quitta plus.

    Les années passèrent, le monarque et sa cour vieillirent paisiblement ensemble, divertis par les pitreries et les blagues du fou du roi. Quand le roi partait en voyage, le fou faisait toujours partie des nombreux bagages, porteur du sceptre qu'il était devenu.

    Sur son lit de mort, le monarque, veuf depuis quelques années fit venir son vieux complice de fou pour s'égayer un peu une dernière fois avant de partir. Le roi lui dit: "Eh bien, mon vieil ami, que de bon temps tu m'as fait vivre, que de beaux voyages avons-nous fait ensemble ! Le fou lui répondit: "Oh oui, sire ! cela a été vraiment un plaisir de vous divertir. Et maintenant, pour votre dernier grand voyage, le plus important de votre vie, vous êtes-vous préparé ? Avez-vous fait tous vos bagages ?" Le monarque, tout étonné, lui répondit "Eh bien non, pas du tout ! Je n'y avais jamais pensé !" Le fou rétorqua: «Voilà qui est vraiment étonnant, vous qui avez fait des nombreux voyages et vous êtes toujours préparés minutieusement pour ne pas avoir l'air fou, voilà maintenant que pour le plus important des voyages, le dernier de tous, celui dont on ne revient pas, vous ne vous êtes même pas préparé! Voilà, je vous remets votre sceptre, j'ai finalement trouvé quelqu'un de plus fou que moi».

    Qu'en est-il de vous et moi ? Avons-nous été assez sages pour nous préparer pour notre dernier grand voyage ou avons-nous fait le fou encore plus que le fou du roi et son monarque, passant notre vie à nous divertir mais en laissant de côté le plus important?

    Page d'évangélisation

    Plus fou que le fou du roi

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  • Règle n° 1 : ne jamais mettre un point où Dieu met une virgule.

    Trop souvent, nous interprétons les « retards » de Dieu comme des refus. Mais l’histoire de Lazare nous dit qu’un retard dans la réponse n’est pas un signe d’indifférence de Dieu ou de refus de nous entendre. C’est un signe de son amour : le retard nous aidera, nous fortifiera. Jésus aurait pu prononcer un mot et guérir Lazare. Il le fit bien pour le serviteur du centurion romain (Matthieu 8 : 5-13) comme pour la fille d’une femme syro phénicienne (Marc 7 : 24-30). Les voies de Dieu ne sont pas nos voies, et son temps coïncide rarement avec le nôtre. Mais faisons-lui confiance, autant en son programme qu’en son amour. Jésus arriva un peu tard pour une guérison, mais à temps pour une résurrection. Ainsi, ne mettons jamais un point où Dieu met une virgule. Au moment où nous pensons que la phrase est terminée, la partie la plus importante peut arriver.

    Règle n°2 : ne mettons pas une virgule où Dieu met un point.

    Jésus a annoncé sa mort dans les Évangiles. En Matthieu 16 : 21 nous lisons : « dès lors Jésus commença à faire connaître à ses disciples qu’il fallait qu’il aille à Jérusalem, qu’il souffre beaucoup de la part des anciens, des sacrificateurs et des scribes, qu’il soit mis à mort, et qu’il ressuscite le troisième jour » Mais Pierre ne voulut pas entendre parler de cela. Il prit son Maître à part et commença à le reprendre : « à Dieu ne plaise, Seigneur, cela ne t’arrivera pas » (v.22) Mais le Seigneur le reprend : « Arrière de moi, Satan ! Tu m’es en scandale, car tes pensées ne sont pas les pensées de Dieu, mais celle des hommes. » (v.23)

    Aie ! Ce n’est pas tous les jours que le Fils de Dieu nous appelle Satan et lorsqu’il le fait, ça fait mal ! Mais si nous essayons de mettre une virgule où Dieu veut un point, ne soyons pas surpris qu’il brise nos douces illusions. Dans chacune de nos vies, il arrive que Dieu écrive la fin d’un chapitre, qu’il nous demande de nous séparer de quelque chose ou de quelqu’un qui nous est cher. Il pourrait s’agir d’un conjoint, d’un parent ou d’un ami. Il pourrait s’agir du travail ou de la ville que nous aimons, d’un préjugé ou d’une supposition que nous avons toujours considéré comme vraie. Les fins sont inévitables. Les impasses, les possibilités manquées, les obstacles infranchissables nous décevront tous un jour. Dans ces situations, nous pouvons nous battre comme Pierre ou nous pouvons les accepter en suivant l’exemple de Jésus qui accepta tout de la main du Père. Et alors, nous pouvons vraiment croire que tout finira bien : Dieu reste digne de confiance.

    Joanna. W

     Les leçons de ponctuation de Dieu

     

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  • Paul est l'auteur d'un des versets les plus tristes de la Bible : “Démas m'a abandonné par amour pour le siècle présent”. Le coureur a trébuché. Les lumières se sont éteintes dans la vie d'un croyant. Pourquoi ?

    1. A-t-il eu honte de sa foi ? Certains affirment qu'il n'y a pas eu un mais deux Martin Luther. Les deux avaient reçu la même révélation du salut justifié par la foi. Le premier l'a cachée entre les murs d'un monastère, par peur des autorités. Le second, lui, l'a clouée au portail de l'église de Wittenberg, déclenchant la Réforme. Christ a promis que notre message serait puissant, mais pas toujours populaire : “Sois sans crainte, petit troupeau […]” (Luc 12.32). Portez votre foi comme une Légion d'honneur !

    2. A-t-il abandonné Paul à cause du message de la Bible ? Nous avons un message que les gens ont besoin d'entendre mais ne veulent pas toujours écouter. Même certains chrétiens ne veulent pas l'écouter. “Après l'avoir entendu, plusieurs de ses disciples dirent : Cette parole est dure, qui peut l'écouter ? […] Dès lors, plusieurs de ses disciples se retirèrent en arrière et cessèrent d'aller avec lui” (Jean 6.60, 66).

    Vous dites : “Mais si nous sommes trop stricts avec les gens, nous allons les perdre”. C'est vrai si nous sommes légalistes. Mais si nous nous fondons sur l'Écriture, nous formerons des hommes et des femmes de Dieu qui feront briller leur lumière dans un monde de ténèbres.

    Une action pour aujourd'hui

    Jésus a dit : “Vous connaîtrez la vérité et la vérité vous rendra libres” (Jean 8.32). Parfois, avant qu'elle ne rende les gens libres, la vérité les secoue ! Et pourtant, nous devons l'annoncer.

    Bob Gass

    Qu’est-il arrivé à Démas ?

     

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