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Par Libanga le 21 Mai 2016 à 00:23
"Jésus leur dit: N'êtes-vous pas dans l'erreur précisément parce que vous ne connaissez pas les Écritures, ni la puissance de Dieu?"
Marc 12. 24
Je suis en recherche d'emploi et je postule auprès d'une entreprise proche de chez moi. Après une période sans réponse, un de mes voisins employé dans cette société me dit: “Vous aurez ce poste, le directeur m'en a parlé favorablement!” L'espoir revient. Le jour suivant, un autre me dit: “Cet emploi est sûrement réservé à quelqu'un d'autre…” Mes belles espérances s'évanouissent. Un jour l'espoir, le lendemain les doutes! Enfin je reçois une lettre provenant de la direction de l'entreprise. Je l'ouvre et mon visage s'éclaire. “Ça y est, j'ai le poste! dis-je à ma femme. Au lieu d'écouter ceux qui me donnaient de faux espoirs ou me décourageaient, j'aurais dû attendre patiemment la décision du directeur…”
Nous sommes souvent troublés par les opinions changeantes de nos semblables ou par les sentiments trompeurs de notre propre cœur. Où trouver aujourd'hui de vrais repères, si ce n'est dans la Parole de Dieu? Chez celui qui accepte ce qu'elle enseigne pour sa vie personnelle, les doutes font place aux certitudes. Il sait en particulier que Dieu donne une vie nouvelle à celui qui croit en Jésus le Sauveur. La foi rend vivantes et réelles les promesses de la Bible. Ce sont des certitudes. Méfions-nous du témoignage inconstant de nos émotions. Écoutons et recevons le témoignage incontournable de la Bible, parole de Dieu. Elle est la vérité (Jean 17. 17).
Jésus n'a-til pas dit: “Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront pas” (Marc 13. 31).
La bonne Semence
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Par Libanga le 19 Mai 2016 à 13:36
"Celui qui sème pour sa chair, moissonnera de la chair la corruption; mais celui qui sème pour l’Esprit, moissonnera de l’Esprit la vie éternelle." (Galates 6:8)
La chair et le sang ne peuvent hériter le Royaume de Dieu. Comment pourrait-il en être autrement? De la chair ne procèdent que souillures et impuretés. Or, il est certain qu’il n’entrera dans le ciel rien de souillé ni rien de corrompu. Notre chair ne produit que ronces et chardons, qui le contestera? Puisque nous ne pouvons rien produire de bon, quel espoir nous reste-t-il? Aucun, du moins à vue humaine. La conclusion suivante s’impose naturellement à nous: le salut n’est pas au pouvoir de l’homme.
Quelle est donc la solution? La voici: il nous faut naître de nouveau. Autrement, l’accès au Royaume de Dieu nous sera refusé. Le Fils de Dieu Lui-même a rendu ce témoignage. Que signifie « naître de nouveau » pourrions-nous demander? Les Écritures nous répondent: « Quiconque croit que Jésus est le Christ, est né de Dieu […] ».
Bien entendu, croire que Jésus est le Christ implique de Le suivre et de Lui obéir. Celui qui L’aime garde Sa Parole. Si nous conservons le témoignage du Seigneur, nous pouvons en avoir la certitude, nous sommes une nouvelle création, créés en Jésus-Christ pour les bonnes œuvres, que Dieu a préparées d’avance, afin que nous y marchions! Le vieil homme, qui se corrompt par les convoitises trompeuses, a été crucifié avec le Seigneur. Le nouvel homme, qui est renouvelé, dans la connaissance, à l’image de Celui qui l’a créé, est celui qui fructifie!
Sans nul doute, les bonnes œuvres ne précèdent pas la nouvelle naissance, elles lui succèdent. Croyons-le, en dehors du Seigneur, nous ne pouvons rien faire, rien qui soit agréable à Dieu! Par conséquent, que ferons-nous? Continuerons-nous à semer pour la chair avec orgueil et arrogance? Ne serait-ce pas la plus grande des folies? Soumettons-nous plutôt au Fils et laissons Son Esprit nous conduire! Certainement, nous moissonnerons de l’Esprit la vie éternelle!
Rappelons-nous, il n’y a aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ, qui marchent, non selon la chair, mais selon l’Esprit!
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Par Libanga le 11 Mai 2016 à 16:58
“Je suis coupable envers le Seigneur, je le reconnais !”
2 Samuel 12.13
David a pris conscience de ses fautes monstrueuses et il sait ce qu’il mérite. C’est la fin de son règne, la dissolution de sa dynastie et la mort. Après des semaines et des mois d’aveuglement, il ouvre les yeux sur ses erreurs et en les reconnaissant, il s’ouvre aussi un avenir possible.
En effet, il ne s’enferme pas dans des excuses bidon, des justifications d’enfant gâté, des défenses qui ne tiennent pas la route. Il ne rejette pas la faute sur d’autres, comme Adam incriminant Ève et Ève le serpent. Il ne cherche pas des circonstances atténuantes en évoquant une enfance difficile, une pression infernale ou le besoin de dérivatifs nécessaires à son équilibre. Il capitule devant l’évidence.
Pourquoi résister ou tenter de se justifier face au Dieu trois fois saint qui connaît les moindre recoins du cœur de chacun, des rois comme des serviteurs ? C’est dans la mentalité de l’homme de toujours vouloir se dédouaner, de trouver d’autres coupables, de construire des défenses jusqu’à la déraison tel cet homme qui a porté plainte contre le fabriquant de boomerang parce que, en ayant lancé un, il lui est revenu en pleine figure.
Dans un de ses sketchs indémodables, Raymond Devos disait : “J’ai toujours raison, et si par extraordinaire, j’avais tort quelque part, j’ai mes raisons d’avoir tort !” Nous essayons toujours d’échapper à la culpabilité pourtant évidente parce que nous refusons de reconnaître nos faiblesses, nos manquements, nos lacunes. Mais leurrons-nous quelqu’un ? En tout cas pas Dieu. C’est avec une lucidité enfin retrouvée que David avoue ses erreurs et son péché. Cette honnêteté est ce qui permet à Dieu de saisir le repentant non pour l’enfoncer plus encore, mais pour le relever.
David a compris le chemin qu’il devait prendre pour être consolé et redressé : “Le sacrifice que je T’offre, c’est moi-même, avec mon orgueil brisé. Ô Dieu, ne refuse pas mon cœur complètement brisé !” (Psaume 51. 19) Dans d’anciennes traductions, on parlait de “cœur contrit”, mais qui ose encore évoquer aujourd’hui la contrition ? Or, pour ne pas être humilié, il faut demeurer humble !
SPPA
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Par Libanga le 7 Mai 2016 à 18:21
“Moi et ma maison, nous servirons le Seigneur.”
Josué 24.15
Josué vivait à présent une époque difficile. Après la mort de Moïse il avait conduit le peuple d’Israël sur le chemin de nombreuses victoires. Sa renommée était assurée. Dieu lui avait promis de l’accompagner et de le rendre fort comme Moïse l’avait été en son temps. Puis il avait assisté à l’inexorable détérioration des valeurs morales du peuple. Les Israélites n’avaient pas résisté longtemps à l’attirance des dieux étrangers, ces idoles caractéristiques des nations qu’ils venaient de conquérir mais qu’ils n’avaient pas toutes détruites.
Ne vivons-nous pas un peu la même situation ? Les valeurs que chérissaient nos ancêtres disparaissent sous nos yeux, les influences néfastes germent et se multiplient au sein de notre société. Nous devons faire certains choix, comme le demandait Josué à ses compatriotes à la fin de sa vie. Le premier concerne notre maison et notre famille. C’est là que tout commence. Avant d’être le leader d’une nation, Josué était le chef de sa famille. La conduite de celle-ci devait être un exemple à suivre pour toutes les autres familles qui composaient la nation elle-même. Son engagement à suivre le Seigneur servirait de base à la fidélité du peuple tout entier envers son Dieu.
Après sa mort nous lisons: “Les Israélites servirent le Seigneur durant toute la vie de Josué et, après sa mort, tant que vécurent les anciens qui avaient vu les œuvres accomplies par le Seigneur.” Preuve de l’influence de Josué sur sa génération. L’engagement de Josué était à la fois personnel et familial. Seul, il se sentait incapable de demeurer fidèle, mais si Dieu était au centre de sa sphère familiale la réussite était possible : “Si le Seigneur ne bâtit la maison, ses bâtisseurs travaillent pour rien” (Psaume 127. 1).
Une leçon importante pour nous aujourd’hui : en tant que parents, nous sommes-nous engagés à suivre le Seigneur de tout notre cœur, et à enseigner à nos enfants à faire de même ? Notre vie quotidienne est-elle un exemple pour eux ?
Sur quel modèle façonnons-nous l’ambiance de notre famille, sur celui offert par notre société ou sur celui inspiré par Dieu ? Dieu tient à ce que nous transmettions nos valeurs à la génération future. Est-ce aussi notre but ?
SPPA
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Par Libanga le 5 Mai 2016 à 14:55
“Dans une grande maison il n’y a pas seulement des vases d’or et d’argent... les uns sont des vases à honneur, d’autres d’un usage ordinaire.”
2 Timothée 2. 20
Vous avez probablement chez vous de la vaisselle pour les grandes occasions et de la vaisselle ordinaire pour l’usage quotidien. Il en est de même dans la maison de Dieu !
Paul explique que si vous restez éloigné du péché, vous deviendrez comme de la vaisselle d’or, préparée pour les grandes occasions. Cela ne nous parle pas de salut, car, remarquez-le bien, tous ces ustensiles sont déjà dans la maison du Seigneur. Il s’agit ici de se préparer pour devenir de la vaisselle spéciale, pour ne pas rester au stade des pots sans valeur, bons pour les choses les plus ordinaires.
Si vous êtes un pot d’argile informe qui aspire à devenir de la vaisselle d’or ou d’argent, alors empressez-vous de faire ces quatre choses:
1- Ne relâchez pas vos efforts pour affermir votre foi : “Continuez à fonder votre vie sur votre très sainte foi. Priez avec la puissance du Saint-Esprit” (Jude 1. 20) '
2- Pratiquez la sainteté : cela demande là aussi beaucoup d’efforts, car cela ne nous est pas naturel... Apprenez à contrôler vos attitudes, louez-Le même dans les occasions difficiles, prenez plaisir à vous plonger dans Sa parole.
3- Demeurez fidèle, quelles que soient les difficultés: “S’Il m’éprouvait, je sortirais pur comme l’or” (Job 23. 10). Remarquez en passant que Dieu parle de raffiner les siens à travers les épreuves, mais “comme on raffine l’or, pas l’argent” (Esaïe 48.10). L’argent étant moins malléable que l’or, il faut une chaleur bien plus élevée pour le raffiner. L’or se raffine à de plus basses températures. Si Dieu nous raffinait comme l’argent, aucun d’entre nous ne sortirait vivant de l’épreuve ! Tel un Père compatissant Il réduit donc l’intensité de la chaleur (1 Corinthiens 10.13). En Lui demeurant fidèle, vous sortirez des épreuves plus fort et plus sage.
4- Examinez les raisons derrière vos actions, les motifs derrière vos décisions. “Le feu éprouvera l’œuvre de chacun” (1 Corinthiens 3. 13). Même le travail excellent accompli pour de mauvaises raisons sera brûlé aussi vite que la paille. Mais l’or résistera au test des flammes.
Alors aspirez à devenir des vases d’or !
SPPA
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