• Apprendre a compter sur Dieu.

    Attendre

    Nous avons dans la Bible le récit d’Abraham et Sara : Ils attendirent de nombreuses années la naissance de l’héritier promis. Leur histoire illustre les bienfaits de la confiance en Dieu et les conséquences fâcheuses de la désobéissance. Genèse 15:16-17. Ce que voulait Abraham c’était un fils avec Sara. Il lui fallut attendre le moment choisi par Dieu. Ce qui s'appelle la foi : une ferme attente des choses qu'on espère.  "Sara enfanta un fils et ils l’appelèrent  Isaac" .

    C’est par la foi que Sara elle-même, malgré son âge avancé, fut rendue capable d’avoir une postérité, parce qu’elle crut à la fidélité de celui qui avait fait la promesse. Hébreux 11:11

    Malgré cette foi, il y eut un plan étrange de Sara qui amena de lourdes conséquences,  alors que Dieu leur avait fait la promesse , mais ils n’ont pas eus la patience d’attendre l’accomplissement, et surtout ils voyaient aussi leur âge, elle était stérile et pour elle c’était trop tard. C’est là que nous voyons l’importance de la dépendance de Dieu, de garder la foi . Dieu  avait fait à cette femme stérile, la merveilleuse promesse d'avoir un fils, puis il les a laissés avancer dans la décrépitude de la vieillesse. Que voulait Dieu ? Il les a mis à l’épreuve de la foi. Abraham a finalement appris à croire alors qu’il n’avait plus de raison de croire.

    Vie de femme chrétienne

     

     

     

     

     

     

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  •   Osez le toucher !

    Tout le monde cherchait à le toucher, parce qu’une puissance sortait de lui.

    Luc 6.19

    La foule se presse, crie, bouscule, chacun veut s’approcher le plus près possible de Jésus. Il fait tellement de miracles qu’on veut voir. – Eh ! Poussez pas derrière, j’étais là avant !Au milieu de cette foule, une femme. Elle essaie de se frayer un chemin. Elle est impure depuis douze ans suite à des pertes de sang. Les meilleurs médecins n’ont pas pu la guérir. Selon la loi religieuse, elle ne devrait toucher personne, mais rester cloîtrée. Ce n’est plus une vie ! Elle a entendu que Jésus passait par là. Elle veut le toucher en espérant une guérison. Enfin, elle réussit à effleurer le bord de sa tunique.
    Immédiatement, Jésus se retourne :
    Qui m’a touché ?
    La femme a peur : tous vont tout savoir… En même temps, elle a ressenti en son corps qu’elle a été guérie. Toute tremblante, elle se jette aux pieds de Jésus et avoue. Il la regarde et lui dit :
    Ma fille, ta foi t’a sauvée, va en paix !
    Imaginez sa joie ! Elle est guérie, purifiée, heureuse. Elle retrouve sa dignité, et une vie sociale normale.Peut-être êtes-vous comme cette femme : vous vous sentez impur(e), indigne ; vous avez peur du jugement des autres ; vous êtes dans la crainte.

    Il y a trois attitudes de Jésus dans ce texte que je veux vous laisser :
    – Jésus se laisse toucher.
    – Il porte sur vous un regard favorable.
    – Il vous appelle : mon fils, ma fille !

    D.D

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  •  

    Psaume 41,5

    Cinq blessures de l’âme dont nous avons absolument besoin de guérir. La psychologie moderne met cela en évidence. Le mot psychologie signifie : « la science de l’âme », ne l’oublions pas !CINQ BLESSURES DE L’ÂME

    Le premier livre de psychologie, et le meilleur de tous, c’est la Bible. David adresse sa prière au meilleur des psychologues, Dieu : « Guéris mon âme ! »

     • La première blessure, c’est le rejet (1 Samuel 16,11). Rejeté par les autres, par ceux qu’on aime, par ses parents qui usent parfois de préférences. Il faut une guérison dans l’âme. Jésus, rejeté par tous nous comprend.

     • La seconde, c’est l’abandon (Psaume 27,10). Être abandonné marque à vie un être humain. Le sentiment d’abandon est terrible : abandonné par un mari, un père, une mère, etc. c’est un drame ! Jésus est venu pour nous guérir. Lui dira : « Mon Dieu […] pourquoi m’as-tu abandonné ? »

     • La troisième, c’est la trahison (Psaume 41, 10). David a souvent été trahi. On ne s’y fait jamais. Il faut guérir de cette plaie béante. Jésus comprend bien cela, lui qui a été trahi par Judas.

     • L’injustice arrive ensuite (Psaume 69,5). Être accusé à tort, mal considéré par les autres, être traité comme un malhonnête, un menteur, une personne pas droite alors que tout cela est faux : difficile ! Jésus est venu nous guérir de tout cela, lui qu’on mettra au rang des malfaiteurs.

    • Enfin, l’humiliation (1 Samuel 17,28). Non pas la saine humiliation de 1 Pierre 5,6, mais cette humiliation si possible publique qui consiste en vexations permanentes. Tant d’enfants à qui on a dit : « Tu n’es qu’un bon à rien ! » sont devenus des « bons à rien » ! Jésus a connu cela (Marc 6,4) et il va nous aider.

    N’ayons plus peur de la psychologie de Dieu. Jésus est venu pour guérir ceux qui ont le cœur brisé (Luc 4,18).

    S.FOUCART

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  • “Nous ne perdons pas courage… Car un moment de détresse insignifiant produit pour nous, au-delà de toute mesure, un poids éternel de gloire.”

    2 Corinthiens 4. 16

    ll n’est pas facile d’être chrétien, et dans certain pays beaucoup moins que dans d’autres. Affirmer sa foi dans la vie de tous les jours est parfois un véritable défi, une grande audace, un risque certain. Dire à son copain de lycée, à son collègue d’atelier ou de bureau que l’on croit en Jésus-Christ n’est guère évident. On rencontre de l’indifférence, de la moquerie, du mépris, du rejet, rarement de l’intérêt, de la curiosité ou de l’admiration. Partager sa foi entraîne des déchirures parce que des personnes à qui vous avez témoigné de votre espérance peuvent s’éloigner de vous. Or, il faut reconnaître que ce n’est pas le caractère saugrenu de ce que vous croyez qui pose le plus grand des problèmes, mais votre vie différente qui contraint votre entourage à la confrontation d’une vérité dévoilée, laquelle, indirectement, juge et accuse. Toute annonce de l’Évangile, même discrète, dénonce le comportement des hommes et des femmes qui ne le vivent pas.

    C’est pourquoi Paul explique : “Nous sommes, pour Dieu, le parfum du Christ parmi ceux qui sont sur la voie du salut comme parmi ceux qui vont à leur perte : pour les uns, une odeur de mort qui mène à la mort, pour les autres, une odeur de vie qui mène à la vie” (2 Corinthiens 2. 16).

    Que nous le voulions ou non, la radicalité de l’Évangile entraîne une certaine violence à l’encontre de ceux qui, pourtant, ne veulent pas y croire. Dès lors, le chrétien en fait les frais. “Nous sommes pressés de toute manière, mais non pas écrasés ; désemparés, mais pas désespérés ; persécutés mais pas abandonnés ; battus, mais pas perdus”(2 Corinthiens 4. 8-9).

    Saisissons alors l’encouragement de Jésus Lui-même :“Vous aurez à souffrir dans le monde, mais prenez courage ; J’ai vaincu le monde” (Jean 16. 33). La victoire vous est garantie ; il suffit de persévérer sans vous abandonner au découragement.

    SPPA

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  • Vengeance 2/2

    Que faire quand notre adversaire se trouve vulnérable et à notre merci ?

    «Par ces paroles David arrêta ses gens, et les empêcha de se jeter sur Saül. Puis Saül se leva pour sortir de la caverne, et continua son chemin. Après cela, David se leva et sortit de la caverne. Il se mit alors à crier après saül : O roi, mon seigneur ! Saül regarda derrière lui, et David s'inclina le visage contre terre et se prosterna....» (Lire 1 Samuel 24 : 8-15)

    Nous avons 3 raisons ici pour lesquelles David ne s'est pas vengé :

    Première raison : David n'a pas choisi la vengeance parce qu'il respectait l'autorité que Saül avait sur lui :«Tu vois maintenant de tes propres yeux que l'Eternel t'avait livré aujourd'hui entre mes mains dans la caverne. On m'excitait à te tuer; mais je t'ai épargné, et j'ai dit : Je ne porterai pas la main sur mon seigneur, car il est l'oint de l'Eternel.» (1 Samuel 24 : 11)

    David avait toutes les raisons de se débarrasser de Saül Cet homme était un meurtrier, un psychopathe sur le trône, un fou malveillant qui a été démoli par ses accès de colère et sa paranoïa. Mais David ne l'a pas touché. Pourquoi ? Parce qu'il reconnaissait l'autorité qu'il avait en tant que roi.

    Deuxième raison : David n'a pas choisi la vengeance parce qu'il préférait attendre que ce soit Dieu qui le justifie :«Vois, mon père, vois donc le pan de ton manteau dans ma main. Puisque j'ai coupé le pan de ton manteau et que je ne t'ai pas tué, sache et reconnais qu'il n'y a dans ma conduite ni méchanceté ni révolte, et que je n'ai point péché contre toi. Et toi, tu me dresses des embûches, pour m'ôter la vie ! 13 L'Eternel sera juge entre moi et toi, et l'Eternel me vengera de toi; mais je ne porterai point la main sur toi.»(1 Samuel 24 : 12-13)

    Vous remarquerez une chose, c'est que David n'est pas naïf. Il n'est pas l'innocent du village qui ne sait pas ce qu'il fait... C'est en parfaite connaissance de cause qu'il agit : "Je n'ai point péché contre toi. Et toi, tu me dresses des embûches, pour m'ôter la vie!"
     
    Saül était dans le faux, David savait que Saül avait tort, et il le déclare pleinement.Mais David a compris une chose que beaucoup n'ont pas saisi. En ce qui concerne la vengeance, Dieu s'y connaît bien mieux que nous.Dieu, lui, regarde du ciel, et il voit les tenants et les aboutissants. Il sait qui est dans le vrai et qui est dans l'erreur.Quant à nous notre jugement est souvent erroné et notre perspective est voilée. Nous voyons notre côté et uniquement le nôtre.

    David savait que quand Dieu voudra, Saül sera mis de côté et qu'il montera sur le trône. Combien de péchés ont été commis parce que nous étions pressés ! Sous la pression nous avons donné libre cours à nos passions et nous avons pris des raccourcis qu'autrement nous n'aurions jamais pris. Combien de décisions stupides nous prenons parce que nous ne voulons pas attendre le moment de Dieu !

    Troisième raison : David n'a pas choisi la vengeance parce qu'il refusait d'avoir les même sentiments que Saül :«Des méchants vient la méchanceté, dit l'ancien proverbe. Aussi je ne porterai point la main sur toi.»(1 Samuel 24 : 14)

    En fait, David est en train de dire : "Si je fais la même chose que lui, moi aussi je suis méchant. Si je l'attaque, je suis au même niveau que lui !"Il a été dit : Ne te dispute jamais avec un cochon. Il est certain que tu vas te salir, et le cochon, lui, il aime ça !Il te faudra parfois refuser d'argumenter, cesser de discuter avec quelqu'un, sinon, tu vas te retrouver bientôt en train de lutter avec un cochon. Au méchant la méchanceté. Refusez la méchanceté, sinon votre adversaire aura gagné.

    1 Pierre 2 : 21 dit:«Et c'est à cela que vous avez été appelés, parce que Christ aussi a souffert pour vous, vous laissant un exemple, afin que vous suiviez ses traces...»

    Pasteur Pierre Segura

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