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Edification...
La nature nous forme, l’école nous informe,la vie nous déforme.Seul Jésus-Christ nous transforme.
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Par Libanga le 23 Mars 2019 à 20:36
Une maman écrit " ..Des fois lorsque ma foi vacille face à un défi, mon cœur se souvient de comment Dieu a démontré sa puissance dans la vie de mon enfant. J’ai donné naissance à un bébé très malade à 22 semaines (6 mois de grossesse) les médecins ont déclaré que si on l’opérait il ne survivrait pas 24 heures. J’ai dut lutter avec ma foi !
J’avoue qu’au début je ne voulais pas m’attacher au bébé au cas où il mourrait. Je pleurai beaucoup ! Puis j’ai réalisé combien c’était stupide de penser ainsi. J’ai choisi de croire que ce Dieu qui finit toujours ce qu’il commence ne laisserait pas les diagnostics des médecins l’emporter ! Je me suis accrochée à ma foi et voici mon fils - DIEU A ENCORE AGIT !.."
Coach Lady Sonia: Dieu est le spécialiste des cas compliqués déclarés impossible. Si tu choisi de garder la foi - Il ne te fera pas honte !!
Dieu est bon !
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Par Libanga le 26 Septembre 2016 à 13:34
Justice légale ou justice véritable
Philippiens 3.3
En opposition à cette attitude, Paul affirme que nous (les vrais croyants) sommes les véritables circoncis, et non pas ceux qui sont nés de parents juifs ou qui ont été circoncis selon la chair ; car nous réalisons que la chair ne sert à rien et que l’homme ne peut rien faire par sa propre force pour obtenir l’approbation de Dieu. Puis Paul mentionne trois caractéristiques de ceux qui sont vraiment circoncis.
1. Ils rendent un culte à Dieu par l’Esprit de Dieu : leur culte personnel est réellement spirituel, et non simplement cérémoniel. Dans l’acte véritable d’adoration, on entre dans la présence de Dieu par la foi et on lui présente son amour, sa louange, son adoration et ses hommages. L’adoration sentimentale est produite par les beaux bâtiments, les objets ecclésiastiques, les rites et les cérémonies compliquées, les somptueux vêtements sacerdotaux, et par tout ce qui fait appel aux émotions.
2. Les vrais circoncis se réjouissent en Jésus-Christ, ou mieux encore, se glorifient en Jésus-Christ. Lui seul est le fondement de leur fierté. Ils ne se vantent pas de leurs succès personnels, de leur héritage culturel ou de leur fidélité à recevoir les sacrements.
3. Ils n’ont aucune confiance en la chair. Ils ne croient pas pouvoir être sauvés par leurs efforts humains ni gardés par leur force personnelle. Ils n’attendent rien de bon de leur vieille nature héritée d’Adam et par conséquent ne sont pas déçus lorsqu’ils n’y trouvent rien de bon.
Philippiens 3.4
Se représenter à quel point ces hommes sont fiers de leurs atouts charnels ou de leurs œuvres fait sourire l’apôtre. Lui aussi aurait pu s’en vanter ! Dans les v. 5 et 6, il montre qu’il possède ces atouts dont se glorifie naturellement tout homme. « Il semble avoir appartenu à toutes sortes d’aristocratie, ce qui suscite les rêves et les aspirations de beaucoup d’hommes ».
Concernant les v. 5 et 6, Arnot disait : « Toute la panoplie de ces pharisiens propres justes se trouve ici mentionnée. Ce dernier se plaît à exposer ses vêtements souillés et à en faire un spectacle. Paul aime souligner leurs apparences hideuses et les critiquer ouvertement ».
Remarquons que l’apôtre cite le prestige de sa lignée (v. 5), de son orthodoxie (v. 5), de son activité (v. 6) mais aussi celle de sa moralité (v. 6).
Philippiens 3.5
Paul énumère ses avantages naturels et charnels :
-Circoncis le huitième jour – ce qui signifie qu’il était juif de naissance et non un converti au judaïsme.
-De la race d’Israël – c’est-à-dire membre du peuple choisi par Dieu.
-De la tribu de Benjamin – tribu dont sont issus des chefs (Juges 5.14), qui donna à Israël son premier roi.
-Hébreu né d’Hébreux – cela signifie que son père et sa mère étaient tous deux juifs ou bien qu’ils appartenaient à cette partie de la nation qui avait conservé intacts son langage, ses coutumes et ses usages ancestraux.
-Pharisien quant à la loi – les pharisiens étaient restés orthodoxes alors que les sadducéens avaient abandonné la doctrine de la résurrection.
Philippiens 3.6
Quant au zèle, persécuteur de l’Église – Paul pensait sincèrement servir Dieu lorsqu’il avait essayé de faire disparaître la « secte » des chrétiens. Il avait vu en elle une menace pour sa propre religion et par conséquent croyait devoir l’exterminer. Irréprochable en ce qui concerne la justice de la loi – cela ne peut pas signifier que Paul avait observé la loi d’une manière parfaite. Il confesse dans Ro 7.9-10 que tel ne fut pas le cas. Il se déclare irréprochable mais non pas sans péché. Nous pouvons seulement en conclure que, lorsque Paul avait violé la loi, il prenait soin d’offrir le sacrifice imposé. Autrement dit, il avait été un fanatique de la loi, s’efforçant d’observer les commandements du judaïsme à la lettre. Ainsi donc, quant à la naissance, à la race, à l’orthodoxie, au zèle et aux devoirs religieux, Saul de Tarse était un homme exceptionnel.
Philippiens 3.7
Maintenant Paul prononce son acte de renonciation. Il fait son bilan de « profits et pertes ». D’un côté il y a tous les points mentionnés ci-dessus, les choses qui pour lui avaient été des gains. De l’autre côté il écrit un seul mot : « Christ ». Ses gains se réduisent à rien, comparés à ce qu’il a trouvé en Christ. Il les considère comme une perte à cause de Christ. Tout gain financier, tout gain matériel, tout gain physique, tout gain intellectuel, tout gain religieux, tout gain moral, tout cela n’est rien comparé au gain suprême. Tant qu’il mettait sa confiance en ces choses-là, il ne pouvait être sauvé. Et une fois sauvés, elles n’avaient plus aucune valeur pour lui parce qu’il avait vu la gloire du Seigneur qui surpasse toutes les autres.
Philippiens 3.8
En venant à Christ pour être sauvé, l’apôtre avait renoncé à tout, car toutes choses devenaient sans valeur comparées à l’excellence de la connaissance de Jésus-Christ, son Seigneur. L’excellence de la connaissance est l’expression hébraïque pour « la connaissance excellente » ou « la valeur insurpassable de la connaissance ». Ses origines, sa nationalité, sa culture, son prestige, son éducation, sa religion, ses talents personnels, rien de tout cela n’est plus pour l’apôtre une raison de se glorifier. En vérité, tout cela, il le considère comme de la boue afin de pouvoir gagner Christ.
Quoique le présent soit employé dans les v. 8 et 9, Paul regarde en arrière et parle de l’époque de sa conversion. Pour gagner Christ, il a dû renoncer aux valeurs qu’il avait appris à estimer le plus. Afin d’avoir Christ comme gain, il a dû abandonner la religion de sa mère, l’héritage de son père et ses propres réalisations.
C’est ce qu’il a fait ! Il rompit complètement tout lien avec le judaïsme en tant qu’espoir de salut. En conséquence, il fut déshérité par sa parenté, renié par ses amis et persécuté par ses compatriotes. Il souffrit littéralement de la perte de toutes choses pour devenir chrétien. Parce que le présent est employé au v. 8, il semblerait que Paul cherche encore à gagner Christ. Mais vraiment il l’avait gagné lorsqu’il l’avait accepté comme son Seigneur et Sauveur. L’emploi du présent indique que son attitude est restée la même ; il considère encore toutes choses comme des ordures lorsqu’il les compare à la valeur de la connaissance du Seigneur Jésus. Le grand désir de son cœur c’est que Christ soit son gain. Ni l’or, ni l’argent, ni la bonne renommée dans les milieux religieux, mais Christ.
Etudions la Bible
CBC
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Par Libanga le 29 Août 2016 à 14:46
Thomas lui répondit en s'écriant : "Mon Seigneur et mon Dieu." (Jean 20.28). "Donne-moi à boire."
Combien d'entre nous réclament avidement que Jésus-Christ les désaltère, alors que nous devrions, nous, rechercher ce dont il a besoin. Nous devrions épuiser pour lui tous nos biens, toutes nos facultés, toutes nos forces, et non pas l'épuiser, Lui, pour satisfaire à nos désirs.
"Vous serez mes témoins." Cela suppose une vie de dévouement complet à notre Seigneur bien-aimé, de dévouement authentique, sans la moindre réserve, sans la moindre fraude, sans la moindre faiblesse : une vie consacrée à le satisfaire en toute chose, partout où il jugera bon de nous placer.
Méfiez-vous de tout ce qui peut revêtir le masque et usurper la place de votre loyal dévouement à Jésus-Christ. Le pire des usurpateurs, c'est le service déloyal. Il est plus aisé de servir Dieu que de se laisser vider par Lui jusqu'à la lie. Le but que Dieu veut atteindre, c'est la révélation de Lui-même en nous, et non pas la consigne de faire quoi que ce soit pour Lui, Dieu ne nous envoie pas combattre pour Lui, il veut seulement pouvoir nous utiliser comme il l'entend dans les combats qu'il livre lui-même.
Faisons bien attention de n'être pas plus attachés à notre activité chrétienne qu'à Jésus-Christ.Oswald Chambers
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Par Libanga le 29 Août 2016 à 14:33
Il est comme un arbre planté près d'un courant d'eau, qui donne son fruit en sa saison, et dont le feuillage ne se flétrit point : tout ce qu'il fait lui réussit.” Psaume 1. 3.
Quand vous plantez un arbre fruitier votre bon sens vous dit qu’il va falloir attendre quelque temps pour récolter des fruits. Dès notre nouvelle naissance nous commençons à bénéficier de la vie que Dieu veut pour nous, mais attention à ne pas brûler les étapes ! Les promesses de Dieu ne sont pas disponibles à n’importe quel moment : nous devons attendre “la bonne saison”.
La vie de Jacob nous montre les dangers de l’impatience : “Les enfants se heurtaient dans son sein et elle dit : S'il en est ainsi, pourquoi suis-je enceinte? Elle alla consulter l'Éternel. Et l'Éternel lui dit : Deux nations sont dans ton ventre, et deux peuples se sépareront au sortir de tes entrailles, un de ces peuples sera plus fort que l'autre, et le plus grand sera assujetti au plus petit” (Genèse 25. 22-23). La promesse divine concernant Jacob avait été annoncée avant même sa naissance et comme Jacob se savait le “petit chouchou” de sa mère, il devait être conscient, dès son plus jeune âge, qu’il jouissait de la faveur divine. Sa destinée était de devenir “le plus grand”, le chef incontesté de son clan, mais au lieu d’attendre la “saison” déterminée par Dieu, il tenta à deux reprises de hâter les choses ! La première fois il s’octroya le droit d’aînesse en profitant de la faiblesse de son frère (Genèse 25. 33).
Plus tard il mentit deux fois à son père pour voler la bénédiction dûe à son frère Esaü (Genèse 27. 19-24). Le jour où il réalise enfin que ses manigances ne lui servent à rien, il découvre en même temps que les promesses de Dieu sont toujours d’actualité. Tenaillé par la peur, Jacob crie enfin à Dieu : “Délivre-moi, je te prie, de la main de mon frère, de la main d'Ésaü ! Car je crains qu'il ne vienne, et qu'il ne me frappe, avec la mère et les enfants. Et Toi, Tu as dit : Je te ferai du bien, et je rendrai ta postérité comme le sable de la mer, si abondant qu'on ne saurait le compter” (Genèse 32.12).
Etes-vous tenté aujourd’hui de “manipuler” votre propre destinée ? Jacob a payé très lourd son impatience ; il a dû fuir sa propre famille et n’a jamais revu sa mère. Puisez votre patience, votre force comme l’arbre planté près d’un courant d’eau. Vous n’êtes pas une plante d’intérieur mise en pot qui a besoin d’attention quotidienne mais un arbre avec des racines profondes. Ne vous laissez pas dominer par les pressions de ce monde ni par vos craintes. Ce que le Seigneur a promis, Il l’accomplira (Nombres 23. 19) !
Bob Gas
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