• "Si nous vivons, nous vivons pour le Seigneur."

    (Romains 14.8)

    L’humanité est comme une fourmilière. Les hommes vont et viennent, leurs chemins se croisent. Ils travaillent et se harassent. Ils s’enflamment pour des causes qui, bien souvent n’en valent pas la peine, se disputent, se querellent et se font la guerre. Puis, après beaucoup d’excitation et de bruit, ils disparaissent les uns après les autres. Le même gouffre engloutit les familles, les peuples et les siècles. L’horloge sonne les heures et indique avec indifférence la dernière de chaque vie…

    Cette agitation éphémère, nous l’appelons la vie, et pourtant elle n’est que vanité. Savons-nous discerner son but et notre destination ?

    Quand nous nous levons le matin, nous est-il arrivé de nous demander : » Pour qui vais-je vivre aujourd’hui ? » Et le soir, quand nous nous couchons : » Si je devais mourir cette nuit pour qui mourrais-je ? » Notre âme a-t-elle une certitude ? Avons-nous un but ou un intérêt majeur ? Suivons-nous une direction vers un point fixe comme l’aiguille de la boussole ? Les œuvres de Dieu sont toutes régies par des lois bien établies. Les saisons, les jours et toute la création obéissent à une règle constante. Il doit en être ainsi d’une vie humaine bien employée. Elle doit être placée sous la direction de Dieu. Il nous a révélé, en la personne de Jésus-Christ le plan et le but pour chacune de nos vies.

    Mon ami , prenez le temps d’y penser avant qu’il ne soit trop tard.

    Pour qui vivez-vous ?

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  • J’ai recueilli tes paroles … : Jérémie 15.16

    Chaque semaine, Jules allait au marché du village. Il y rencontrait parfois le colporteur biblique. – Alors, Jules, tu m’achètes une Bible aujourd’hui ? – Non, ce livre ne vaut rien. – Si tu la connaissais, tu conviendrais que ce livre vaut bien plus que la meilleure de tes vaches.

    Jules finit par acheter la Bible et, rentré à la maison, entreprit d’y lire chaque jour quelques chapitres. Un soir, après la lecture, Jules dit à Angèle sa femme : » Si ce livre dit vrai, nous sommes perdus « . Quelques soirs plus tard, Jules dit : » Angèle, si ce livre dit vrai, nous pouvons être sauvés « . La semaine suivante, après la lecture, Jules, très troublé, dit à Angèle : » Angèle, prions Dieu et disons-lui que ce livre a raison et que nous lui demandons de nous pardonner « . Ce qu’ils firent avec ferveur et foi.

    Ils continuèrent leur lecture journalière. Plus tard, ils rencontrèrent des croyants qui les invitèrent à les rejoindre à l’église le dimanche. Heureux de leur raconter son cheminement dans la foi, Jules termina son témoignage en lisant Jérémie 15.16 : J’ai recueilli tes paroles et je les ai dévorées. Tes paroles ont été pour moi la joie et l’allégresse de mon cœur.

    La parole de Dieu fait naître à la vie divine. La présence de Jésus donne la joie et la paix du cœur. Suivez l’exemple de Jules et d’Angèle et attachez-vous toujours plus à la Bible. Elle est la Parole de Dieu.

     

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  • "Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et courbés sous un fardeau, et je vous donnerai du repos."

    Matthieu 11.28

    Près d’un carrefour, à l’entrée d’un hameau, un calvaire de pierre de l’ancien temps. Pour aménager l’endroit, on a posé là deux rochers tout neufs, que la mousse n’a pas encore colonisés, et un banc de pierre blanc, tout neuf lui aussi.

    Carrefour du calvaire

    En découvrant cette belle installation, mes pensées sont allées vers le calvaire où Jésus mourut : Au pied de sa croix, nous pouvons déposer nos fardeaux. Ils sont tels de gros rochers aux arêtes vives que le temps n’a pas encore pu polir… Des charges lourdes, trop lourdes à porter.

    Chaque fois que nous les prenons à bras-le-corps, elles se vengent en nous meurtrissant. Ce sont nos soucis, nos problèmes, nos souffrances vives. Et ce banc de pierre, ne parle-t-il pas du repos que trouve notre âme quand nous nous déchargeons du poids de notre péché aux pieds du Crucifié au corps meurtri pour nous ? Oui, allons à Lui ! Nous pourrons alors reprendre notre route avec joie !

    Francis S

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  • Hosanna…Crucifie-le !

    "Ceux qui précédaient et ceux qui suivaient Jésus criaient: Hosanna au Fils de David! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur! Hosanna dans les lieux très hauts!" (Matthieu 21,9 ) .

    Quelle belle journée ! Jésus aurait pu établir son royaume là, tout de suite. Des centaines de milliers se seraient rangés de son côté ! Ils l'auraient proclamé Roi !Mais pourquoi n'a-t-il pas fait? Parce que ce n'était pas le plan de Dieu. Quelques jours après, ceux-là même qui ont crié "Hosanna !" Se sont mis à crier, "Crucifie-le!" Il aurait pu se sauver en n'allant pas à Jérusalem.

     

    Il aurait pu aussi rester en Galilée, là-ba il avait des milliers de partisans… Là, il a nourrit plus de 5000 personnes…Et on voulait le faire Roi !!! Là, on reconnaissait son autorité… Là, il a marché sur l'eau ! Il a calmé la tempête…Il y avait encore là-bas des malades à guérir, des affamés à nourrir, des pécheurs à sauver !

    Il aurait pu rester en Galilée et ne jamais aller à Jérusalem!Mais l'Écriture déclare, qu'il résolut de se rendre à Jérusalem. Il aura pu se sauver...Mais pourquoi ne l'a-t-il pas fait? Parce qu'Il ne pouvait pas se sauver, et nous sauver…

    Notre salut dépend du sacrifice de sa vie…

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  • Non pas comme moi je le veux, mais comme toi tu le veux.

    Matthieu 26.39

    Le choix de Jésus

     La nuit de son arrestation, Jésus affirme dans sa prière qu’il a encore la possibilité de renoncer à sa mission de sauver les pécheurs en mourant sur la croix. Bien qu’il soit assailli par cette tentation de “déclarer forfait”, il choisit de se soumettre à la volonté de son Père et aux prophéties qui annonçaient ces choses. Cette possibilité de choix, il la confirme à ses disciples quelques instants plus tard : Penses-tu donc que je ne pourrais pas faire appel à mon Père ? À l’instant même, il enverrait des dizaines de milliers d’anges à mon secours( Matthieu 26,53)

    Combien de fois, jusqu’à présent, avons-nous renoncé à aller jusqu’au bout d’un projet sous la pression stressante de nos responsabilités ? Jésus ne l’a pas fait. Cela aurait été sans conséquence pour lui, mais pour nous ? Il avait deux raisons impérieuses pour tenir bon : la première était le respect de la volonté de Dieu, la seconde était le respect de son plan d’amour pour nous. Il le dit aux disciples présents : Mais alors, comment les Écritures, qui annoncent que tout doit se passer ainsi, s’accompliraient-elles ? ( Matthieu 26,54) S’il n’avait pas volontairement affronté sa mort, c’est nous qui n’aurions pas pu échapper à la nôtre, dans des souffrances éternelles.

    Jésus a fait le bon choix, pour nous, par amour pour nous. Sommes-nous prêts à faire aussi le bon choix, celui de lui faire confiance en tout ?

    Bernard Smagghe

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