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Par Libanga le 25 Mars 2015 à 17:10
Qui croire ? Qui servir ?
Qui est ce grand Dieu du ciel ? Il est le Dieu créateur
Le Dieu dont parle la Bible est le Dieu qui a créé le ciel et la terre ainsi que tout ce que tes yeux voient. C’est aussi Lui qui a créé l’homme à son image et à sa ressemblance (Genèse 1 v 27). Il ne sert donc à rien de mettre ta confiance dans le bois créé par Dieu et qui finit au feu, ou encore dans les astres, les luminaires ou les eaux, car la Bible dit que c’est Dieu qui a tout créé et qui a organisé la nature (Prov. 8 v 27-29).
La création nous montre donc que Dieu est Tout-puissant. Il est plus puissant que les démons et capable de t’en protéger si tu lui abandonnes ta vie. « Ayant dépouillé les pouvoirs et les autorités, il les a donnés en spectacle, triomphant d’eux en la croix » (Col. 2 v 15). C’est donc Lui qui doit être honoré ; et honorer les idoles à la place de Dieu, c’est Le mépriser, L’outrager. C’est pourquoi Dieu dit : « Tu ne te feras point d’image taillée, ni aucune ressemblance de ce qui est dans les cieux en haut, et de ce qui est sur la terre en bas, et de ce qui est dans les eaux au-dessous de la terre. Tu ne t’inclineras point devant elles, et tu ne les serviras point ; car moi, l’Éternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux. » (Ex. 20 v 5).
Il dit aussi : « Ceux qui forment une image taillée sont tous un néant, et leurs choses désirables ne sont d’aucun profit… Ils n’ont pas de connaissance et ne comprennent pas... – Et on ne rentre pas en soi-même, et il n’y a pas de connaissance, et il n’y a pas d’intelligence, pour dire : J’en ai brûlé la moitié au feu, et encore, j’ai cuit du pain sur ses charbons, j’ai rôti de la chair et j’ai mangé ; et de ce qui reste en ferai-je une abomination ? Me prosternerai-je devant ce qui provient d’un arbre ? Il se repaît de cendres ; un coeur abusé l’a détourné ; et il ne délivre pas son âme, et ne dit pas : N’ai-je pas un mensonge dans ma main droite ?» (Ésaïe 44 v 9-20).
Il est le Dieu juge C’est devant Dieu que tout homme doit comparaître, car la Bible dit : «Nous comparaîtrons tous devant le tribunal de Dieu ; il est écrit, en effet : je suis vivant, dit le Seigneur : tout genou se ploiera devant moi et toute langue me reconnaîtra comme étant Dieu.
Ainsi, chacun de nous rendra compte pour lui-même à Dieu.» (Rom. 14 v 11-12). Nous sommes des pécheurs et méritons le châtiment de Dieu, et nous le méritons encore plus si nous servons les idoles et les fétiches, c'està- dire les démons qui veulent nous lier et nous emporter dans la mort. Est-u donc prêt à rencontrer le vrai Dieu du ciel en jugement ?
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Par Libanga le 25 Mars 2015 à 03:16
Qui croire ? Qui servir ?
En te prosternant devant ton dieu, représenté par un bout de bois, des statuettes, des masques, des amulettes, des canaris, des gris-gris, un fleuve, une grotte, une case, la mer, le feu, la lune, le soleil, une montagne, une pierre, un animal, ou la tête de zébu, ou encore un homme… sache que tu le fais devant une idole.
Il en est de même quand tu gardes un fétiche caché chez toi ou sur toi. Oui, je vois que ton dévouement est total : tu offres des sacrifices en égorgeant des animaux, en donnant soit des pièces d’argent soit des morceaux de pagne ou encore du miel et des bougies allumées. Tu respectes même les interdits et les totems. Au point du jour, tu es à la mer ou à la rivière pour la séance de purification en respectant rigoureusement les gestes et le rituel … À une période précise de l’année, sous le couvert du respect de la tradition, de la coutume et aussi pour ne pas fâcher les anciens, tu honores « la manne des ancêtres », qui en réalité est un culte aux morts.
Le poids familial est si fort que tu te sens obligé de respecter la coutume en étant présent, et de participer, même de manière passive, à la fête dit des générations, à la fête du riz ou de l’igname ou à la prière et aux cérémonies faites aux morts. Parfois, quand ta conscience te dit « non », tu participes quand même parce que tu penses que les parents qui sont morts sont devenus comme des dieux ayant le pouvoir de faire du bien ou du mal. Tu as vraiment peur de dire « non » à l’initiation, quand l’heure vient où les anciens du village estiment que tu es prêt et que, selon eux, pour être un « homme » ou une « femme », il faut connaître les secrets exclusivement réservés à ceux qui sont initiés.
Tu n’as pas la force de dire « non » à cause du regard de ceux qui sont autour de toi, car ils ne prendront pas ta parole au sérieux, sous prétexte que tu es non initié, donc profane. Tu crains à cause de la famille, du clan, de la tradition… tu as peur de mécontenter les dieux si tu ne suis pas la tradition des anciens. C’est pour cela que ce sentiment de peur et de crainte persiste dans ta vie. Mais sache qu’il y a un Dieu au-dessus de tous ces faux dieux.
L’apôtre Paul, un serviteur du grand Dieu du ciel, dit ceci dans la Bible, la Parole de Dieu : «Ce que les nations sacrifient, elles le sacrifient à des démons et non pas à Dieu », et il ajoute: « Je ne veux pas que vous ayez communion avec les démons» (1 Corinthiens 10 v 20). Derrière les fétiches et les idoles, derrière les ancêtres ou les morts auxquels on croit parler, il y a les démons, et les démons veulent faire de toi leur esclave, et te garder sous le joug de la peur, de l’inquiétude, de la menace.
Qui est ce grand Dieu du ciel ?
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Par Libanga le 25 Mars 2015 à 02:49
- Si vous êtes interpellé dans la rue... - Si vous êtes visité chez vous... - Ou si vous désirez vérifier la prétention de tel groupe religieux à détenir la Vérité... Voici les questions qu'il faudrait commencer par poser :
au nom de qui venez-vous ?
Est-ce au seul nom de Jésus Christ, Fils de Dieu, tel que la Bible le présente ? Il est «sur toutes choses Dieu béni éternellement » (Épître aux Romains, chap. 9, v. 5). Il est le Fils, Créateur et non créature, auquel Dieu s'adresse : « Tu as fondé la terre, et les cieux sont les oeuvres de tes mains» (Épître aux Hébreux, chap. 1, v. 10). Il est « venu en chair », étant Dieu, il s'est fait homme; « a été livré pour nos fautes et a été ressuscité pour notre justification » (1 ère Ép. de Jean, ch. 4 v. 2 et 3 ; Ép, aux Romains ch. 4 v. 25).
que m’apportez-vous ?
En tant qu'être humain, je possède : • une conscience : elle a besoin de vérité, de paix et par conséquent de certitudes absolues. J'aurai un jour à répondre de ma vie. M'apportez-vous le pardon de Dieu ? • un coeur : il a besoin d'amour. Pouvez-vous me parler de quelqu'un qui m'aime tel que je suis - et qu'en retour je puis aimer ? Jésus Christ, s'il est devenu mon Sauveur,est seul digne de remplir mon coeur. M'apportez-vous Jésus ?
sur quoi vous appuyez-vous ?
Est-ce exclusivement sur la Bible ? Si elle est bien la Parole que Dieu a donnée aux hommes, elle doit pouvoir être comprise de tous dans son message essentiel. Prétendre qu'on a besoin de compléments et de commentaires humains pour expliquer l'Évangile, c'est prendre une bougie pour éclairer le soleil. La Bible, toute la Bible, rien que la Bible, est le seul et unique fondement de la foi et de l'espérance chrétiennes.
«Soyez sobres, veillez...» nous dit 1 Pierre 5,8
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Par Libanga le 25 Mars 2015 à 02:18
Chacun connaît les dix commandements, cette loi morale admirable, donnée par Dieu au Sinaï environ 1500 ans avant Jésus Christ: « Tu n'auras pas d'autres dieux devant ma face... Honore ton père et ta mère... Tu ne tueras pas... Tu ne déroberas pas... Tu ne commettras pas d'adultère... Tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain... ni rien qui appartienne à ton prochain ». (Exod 20 , 3 - 17)
Combien le monde serait différent si chacun obéissait à cette loi et la réalisait dans sa vie ! On en est bien loin. D'une manière générale, l'être humain a toujours cherché à se soustraire à l'autorité de Dieu, à se mettre lui-même hors-la-loi.
Le principe humain
L'homme a remplacé les dix articles de cette loi par un principe qui pourrait s'énoncer ainsi: Tu ne te feras pas prendre. Ce commandement (qui reconnaît implicitement la loi) règle souvent dès l'école la vie de l'enfant. On peut dire que c'est aussi bien la devise des malfaiteurs de profession que celle d'innombrables « honnêtes gens ».Voler, mentir, tromper son conjoint, frauder le fisc, falsifier des marchandises, tout cela n'est pas considéré comme mal, pourvu que personne ne le sache, qu'on ne perde ni sa clientèle, ni sa considération, et que les tribunaux n'aient pas à s'en occuper. Le mal, c'est de « se faire avoir ». C'est ainsi que, dans les moeurs, la finance; les relations de famille ou de travail, partout, du haut en bas de l'échelle sociale, ce «commandement » est en fait le seul qui fasse loi.
Le principe divin
Malheureusement pour les hommes, si habiles à dissimuler, il existe une autre règle qui déjoue tous ces calculs et que Dieu formule ainsi :« Sachez que votre péché vous trouvera ». (Nombres 32 ,23)
Ces victimes de l'alcoolisme, de la drogue ou de désordres sexuels, qui encombrent les hôpitaux, leur péché les a trouvés. Cet homme qui s'est suicidé en sortant du casino, cet autre emprisonné après un hold-up manqué, cette femme prise en flagrant délit de vol dans un supermarché, leur péché les a trouvés. Et si les circonstances ne trahissent pas le criminel ou le délinquant, si la police ne le découvre jamais, la conscience est là qui le dénonce ; cette conscience, endormie parfois au moment de la faute, s'est réveillée et parle si fort qu'elle fait de la vie du coupable un tourment continuel. Son péché l'a trouvé. Et si la conscience est éteinte ? Quand sur la terre les gens et même nos proches auraient tout ignoré, quand le coupable aurait emporté son secret dans la tombe, voilà que devant le tribunal de Dieu se trouve écrit tout ce qu'il a pensé, dit ou fait. Tout est dévoilé, mis au grand jour. Son péché l'a trouvé.
Si on peut passer à côté des lois humaines, on ne peut se soustraire à la loi divine qui condamne tout mal, à la justice de Dieu qui est absolument sainte, à l’oeil de Dieu qui lit au plus profond des coeurs. « Il n'y a aucune créature qui soit cachée devant Lui, mais toutes choses sont nues et découvertes aux yeux de celui à qui nous avons affaire. » (Hébreux 4, 13).
Un compte, une échéance
Bien des fautes ne tombent pas sous les arrêts de la justice humaine, par exemple : la médisance, l'orgueil, l'avarice... alors que Dieu les ajoute au débit de notre compte. Comment solder ce compte, comment échapper à l'échéance ? En reconnaissant sa culpabilité devant Dieu et en cherchant le pardon et la délivrance auprès de Jésus ; « Qui croit au Fils a la vie éternelle; mais qui désobéit au Fils ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui ». (Jean 3,36).
Tract: Evangélisation
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