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Par Libanga le 23 Avril 2015 à 14:57
Quelques-uns de mes amis sont très gais et joyeux. J'aime bien passer du temps avec eux, car leur joie est contagieuse. Connaissez-vous aussi de telles personnes ? Si vous y regardez d'un peu plus près, vous remarquerez vite si leur joie est superficielle ou vraiment profonde. Une joie authentique peut nous aider à traverser des moments difficiles de la vie. Mais où trouver la vraie joie, sans devoir la produire moi-même ?
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Par Libanga le 23 Avril 2015 à 14:52
La vie d'un pasteur africain a été complètement transformée par la lecture de la Bible. Ce témoignage le raconte. « Si vous voulez vraiment m’imposer ce Nouveau Testament, je vais rouler une cigarette avec chaque page. » Sûr de lui, l'homme observe Kambarami, un employé de la Société biblique. « Eh bien, pour moi, vous pouvez le faire. Mais vous devez me promettre de lire le Nouveau Testament avant de le fumer. » L'homme accepte et disparaît. Des années plus tard, devenu entre-temps secrétaire général de la Société biblique, Kambarani participe à un congrès. Soudain un des orateurs l’interpelle, se tourne vers son auditoire et dit : « Cet homme ne se souvient certainement plus de moi. Il y a environ 15 ans, il m'a donné un Nouveau Testament, et cela malgré ma menace de l'utiliser comme papier à cigarette. J’ai fumé Matthieu, j’ai fumé Marc, j’ai fumé Luc. Puis je suis arrivé au verset 16 du troisième chapitre de l'Evangile de Jean : Car Dieu a tant aimé le monde, qu'il a donné son Fils unique. Celui qui croit en lui ne périt point, mais il a la vie éternelle ... A partir de ce moment-là, je ne pouvais plus continuer à fumer ». La vie de cet homme a complètement changé. Aujourd'hui, il est pasteur.(Msd)
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Par Libanga le 21 Avril 2015 à 22:28
Jules César était en chemin vers le Sénat romain, quand un ami lui a remis une note avec la remarque : « Important et urgent ». L'empereur s’est laissé distraire par l'adoration de la foule et a oublié de lire le message. Ce même jour, il est tombé, poignardé par un groupe de sénateurs. Le message aurait dû l'avertir du terrible attentat.
Nous les humains avons reçu un message important. Dieu nous montre à travers sa Parole, la Bible, comment nous pouvons être sauvés de la mort pour vivre éternellement avec lui. Prenons-nous ce message au sérieux ? Ou est-ce que nous nous comportons comme Jules César et ne nous en rendrons compte qu’au moment où il sera trop tard ?
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Par Libanga le 19 Avril 2015 à 18:32
Le bonheur terrestre est éphémère. Il dépend essentiellement des circonstances qui le produisent ; mais la paix du Christ est une paix qui demeure. Ni les circonstances de la vie, ni les biens de la terre, ni le nombre de nos amis terrestres n’influent sur elle. Le Christ est la fontaine d’où jaillit l’eau de la vie, et le bonheur que nous y puisons ne tarira jamais.
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Par Libanga le 18 Avril 2015 à 00:59
Pour accomplir son oeuvre, le Christ ne choisit ni la science, ni l’éloquence des Juifs du sanhédrin, ni la puissance de Rome. Laissant de côté ces docteurs israélites, imbus de leur propre justice, le grand Artisan eut recours à des hommes simples, sans instruction, pour proclamer les vérités éternelles qui devaient bouleverser le monde; et il les forma pour en faire les chefs de son Eglise. Ceux-ci à leur tour devaient en enseigner d’autres et les envoyer prêcher l’Evangile. Pour réussir dans leur tâche, il fallait qu’ils reçussent l’effusion du Saint-Esprit ; car la bonne nouvelle du salut ne pouvait être proclamée ni par la force, ni par la sagesse humaine, mais par la puissance d’en haut.
Pendant trois ans et demi, les disciples reçurent les enseignements du plus grand Maître que le monde ait jamais connu. Par une association et un contact personnel, il les forma pour son service. Jour après jour, ils cheminaient ensemble et s’entretenaient [20] avec lui, écoutant ses paroles de réconfort adressées à tous ceux qui étaient “fatigués et chargés”, et assistant à la manifestation de son merveilleux pouvoir en faveur des malades et des affligés. Parfois, assis avec eux sur le flanc de la colline, il les enseignait ; parfois, au bord de la mer, ou tout en poursuivant leur route, il leur révélait les mystères du royaume des cieux. Il ne leur disait pas de faire ceci ou cela, mais : “Suivez-moi.” En traversant les villes et les villages, il leur montrait comment il fallait s’y prendre pour toucher le coeur des hommes. Les disciples l’accompagnaient de lieu en lieu, partageant sa nourriture frugale, et, comme lui, souffrant parfois de la faim et souvent de fatigue. Dans les rues populeuses, sur les rives du lac, dans la solitude du désert—partout, ils assistaient aux différentes phases de sa vie.
C’est à la consécration des Douze que furent prises les premières mesures en vue de l’organisation de l’Eglise, qui, après le départ du Christ, devait poursuivre son oeuvre ici-bas.
E.G.W
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