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Par Libanga le 30 Mars 2015 à 16:08
"Que servirait-il à un homme de gagner tout le monde, s’il perdait son âme ?"
Matthieu 16.26
Dans la rue où j’habitais, j’avais un voisin qui travaillait à la mine la nuit et livrait le charbon dans la journée. Il portait sur son dos, en courant, des sacs de cinquante kilos. Enfant, j’étais très impressionné par cet homme. Aujourd’hui je me demande encore quel était le but de sa vie pour la consacrer essentiellement au travail ? Les autres voisins disaient qu’il n’y aurait que la mort pour l’arrêter.
Peut-être connaissez-vous des personnes qui cherchent à gagner toujours plus, parfois au détriment de leur santé ou de leur famille ? Ou bien serait-ce votre cas ? Job a une parole de sagesse lorsqu’il déclare : Je suis sorti nu du sein de ma mère, et nu je retournerai dans le sein de la terre.(Job 1, 21).
Jésus précise : Que servirait-il à un homme de gagner tout le monde, s’il perdait son âme ? (Matthieu 16,21).Il est logique et normal que nous désirions assumer au mieux nos responsabilités pour nous et notre famille. Cependant, rechercher constamment à accumuler des richesses n’apporte pas la paix du cœur, mais une inquiétude constante.
Investissez votre vie pour Dieu, il n’y a pas de meilleur placement pour cette vie présente et pour la vie à venir, la vie éternelle.Prenez la chose en serieux
Mouyon.J
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Par Libanga le 30 Mars 2015 à 15:58
"Ce qu’on peut connaître de Dieu est manifeste… "
Romains 1.19
Comme tous les premiers samedis du mois, Julien se rend chez Damien son coiffeur devenu son ami. Et comme d’habitude, leur conversation porte sur l’existence de Dieu. Et cela depuis trois ans. Ce jour-là ne fait pas exception. Julien aimerait tellement que Damien, endurci à cause de son passé douloureux, puisse s’ouvrir à l’évangile et retrouver confiance dans la vie à l’aide de Dieu. Mais il a dû quitter une fois de plus le salon bien découragé tant Damien campe de plus en plus sur sa position. En marchant dans la rue, Julien voit un petit groupe de personnes sur le trottoir. Leur point commun est qu’elles sont toutes très mal coiffées. Cheveux mêlés, barbes mal taillées… Alors Julien revient sur ses pas et entre dans le salon de Damien en lui adressant vivement cette parole : « LE COIFFEUR N’EXISTE PAS ! » Damien en reste cloué sur place, interloqué. Julien lui explique ce qu’il a vu quelques minutes avant. Damien rétorque : – Bien sûr que les coiffeurs existent, j’en suis un ; ces gens-là sont mal coiffés parce qu’ils ne veulent pas pousser la porte de ma boutique.
S’ils venaient, ils seraient transformés ! – Eh bien, mon ami, Dieu existe ! C’est toi qui ne veux pas faire le pas vers Lui. Qu’attends-tu pour aller à sa rencontre et le laisser te transformer ?
Tcheng Yi-Lay
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Par Libanga le 30 Mars 2015 à 02:09
Faisons de ces choses notre réalité. Ne les laissons pas à l’état de savoir théologique. La vie n’est pas seulement devant nous, elle est en nous, et c’est la vie de Christ. J’aimerais attirer ici l’attention sur un des côtés de l’épître aux Hébreux, entre tant d’autres remarquables. Après avoir présenté Jésus, Fils de Dieu, glorifié comme Fils de l’homme, et avoir pressé les chrétiens, «compagnons du Christ», de ne pas s’écarter mais de «tenir ferme jusqu’au bout leur confession», puis nous avoir parlé de lui comme de notre grand sacrificateur s’occupant de nous dans le ciel, l’épître nous apprend qu’Il nous a ouvert l’accès du ciel, par un chemin jamais frayé jusque-là, «nouveau et vivant» en vertu du sang de la propitiation. Et c’est ensuite seulement que, revenant aux exhortations premières, elle parle du chemin du croyant sur la terre, le chemin de la foi, avec ses épreuves et ses tribulations, chemin illustré par les nombreux témoins d’autrefois (une nuée !), mais qui revêt maintenant un caractère nouveau. Les yeux sont invités à se fixer sur Jésus, chef et consommateur de la foi. Il l’a frayé lui-même, il y engage des gens qui, échappés à la servitude du pouvoir de la mort, appartiennent au ciel bien que cheminant ici-bas. Lui, à cause de la joie qui était devant lui, a enduré la contradiction des pécheurs, enduré la croix, méprisé la honte, et est assis à la droite du trône de Dieu. Il est à la fois modèle, but et force. «Suis-moi». «Il nous a laissé un modèle afin que nous suivions ses traces», et ses traces vont jusqu’au ciel. Certes, nous avons besoin de la discipline du Père, et les avertissements du Seigneur nous sont indispensables, mais en vue de quoi, sinon de nous ramener au chemin — la «voie éternelle» — où la grâce nous veut, à la suite de Jésus.
Des gens qui appartiennent au ciel en cheminant ici-bas
André Gibert
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Par Libanga le 30 Mars 2015 à 02:05
En avons-nous assez conscience ? Notre chemin est bien à travers le monde qui a mis Jésus à mort, et «gît dans le méchant» ; mais nous y sommes comme des «régénérés pour une espérance vivante, par la résurrection de Jésus Christ d’entre les morts», et nous y marchons après un Jésus toujours contredit et haï, mais qui a «vaincu le monde». Le croyant est une nouvelle création au milieu de l’ancienne. Il possède l’Esprit de vie, quoique dans un corps mortel, et cet Esprit est plus grand que celui qui domine dans ce monde. L’apôtre Paul était «mené en triomphe dans le Christ», la croix lui devient sujet de gloire, et crucifié au monde il tient le monde pour crucifié. Aucune force en nous, mais toute force en Jésus. Le chemin commence par la mort de Christ pour nous, mais donc notre mort avec lui ; il se poursuit dans «la puissance de sa résurrection», laquelle s’exerce dans la mesure où cette mort est pratiquement appliquée au vieil homme pour que la vie du nouveau se voie. Paul portait toujours et partout dans son corps la mort de Jésus, il était toujours livré à la mort pour l’amour de Jésus, afin que la vie de Jésus fût «manifestée dans son corps», «manifestée dans sa chair mortelle».
Un chemin qui commence par la mort et se poursuit dans la puissance de la résurrection
André Gibert
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Par Libanga le 28 Mars 2015 à 02:26
Vous ne pouvez pas compter sur vos sentiments, car ils ne sont jamais les mêmes deux jours de suite. Vous ne pouvez pas vous fier à votre expérience qui change selon les circonstances ; mais, pour être sauvé, il vous faut «croire au Seigneur Jésus», et, sur l’autorité de la Parole divine qui ne change jamais, vous êtes sauvé. Pourquoi des gens qui désirent sincèrement être sauvés sont-ils souvent si pleins d’appréhension et si misérables ? C’est qu’ils regardent au dedans d’eux-mêmes et comptent sur leurs sentiments et leurs expériences pour trouver la paix. Ils désirent faire un arrangement avec Dieu en lui présentant ensemble Jésus et leurs sentiments et Dieu ne veut pas de ce compromis et de ce mélange. Il dit : «Celui-ci est mon Fils bien-aimé ; écoutez-le». Jésus dit sur la croix : «C’est accompli». Alors «crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé». — «Quand» le serai-je ? — Au moment même où vous croyez ! — «Où» le serai-je ? — Au lieu même où vous êtes, tandis que votre oeil parcourt ces lignes ! — Comment le saurai-je ? — Parce que Dieu le dit et que vous avez dans sa Parole une autorité divine pour en être certain !
Que Dieu vous donne, mon ami, de ne pas négliger, mais d’accepter ce grand salut par la simple et seule foi au Seigneur Jésus Christ !
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