"Quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé." (Romains 10. 13) "Il n'y a de salut en aucun autre; car il n'y a pas… sous le ciel d'autre nom qui soit donné parmi les hommes, par lequel il nous faut être sauvés." (Actes 4. 12)

En 1885, Louis Pasteur découvre le vaccin contre la rage, ce qui le rend célèbre dans toute l'Europe. Dans le district de Smolensk en Russie, dix-neuf personnes mordues par un loup enragé ont entendu parler de ce sérum qui peut les guérir. Malgré leurs graves blessures, elles se mettent en route pour le long voyage jusqu'à Paris.

Elles y arrivent le 14 mars 1886. Ces personnages étranges, avec leurs bonnets de fourrure et leurs pansements, attirent l'attention. Incapables de parler français, ils ne font que répéter: “Pasteur, Pasteur!” On les conduit auprès de lui. Et ces paysans russes, qui paraissaient voués à la mort, sont guéris, sauf trois d'entre eux dont l'état était trop grave.

En remerciement, le tsar Alexandre III fait don à Pasteur d'une somme considérable pour la fondation de ce qui est aujourd'hui l'Institut Pasteur. Ces malheureux ne savaient pas parler un mot de français, mais ils connaissaient le nom qui pouvait les sauver.

Sur un autre plan, le monde entier souffre d'une maladie fatale, le péché. Il n'y a pour en guérir qu'un remède, il suffit de connaître un seul nom. Celui qui implore ce nom par la foi reçoit la guérison et le salut. Ce nom, c'est le nom de Jésus, en qui nous trouvons le pardon, la délivrance et la paix.

“Jésus… a passé de lieu en lieu, faisant du bien et guérissant tous ceux que le diable avait asservis à sa puissance, car Dieu était avec lui… Par son nom, quiconque croit en lui reçoit le pardon des péchés” (Actes 10. 38-43).

La bonne semence

Ils lui dirent : Seigneur, donne-nous toujours ce pain-là. Jésus leur dit : Moi, je suis le pain de vie. Celui qui vient à moi n'aura jamais faim ; et celui qui croit en moi n'aura jamais soif. Jean 6 34-35 Rencontre avec Jésus En parcourant l'évangile selon Jean, nous constatons que Jésus est entré en contact avec des gens de toute condition sociale, que ce soit des gens instruits comme Nicodème ou des illettrés comme plusieurs de ses disciples. Il a fréquenté aussi bien des notables tel l'officier royal de Capernaùm (Jean 4) que des exclus comme un mendiant aveugle de naissance.

Toutes ces personnes, Jésus les a rejointes dans leurs situations personnelles, leurs questions de tous les jours, leurs souffrances, leurs impasses et leurs aspirations. Mais le point commun à toutes ces âmes si différentes, c'est qu'elles sont venues à Jésus et ont accepté de lui parler de ce qui était important pour elles. Elles n'en sont pas restées à leurs idées ou à des généralités, elles se sont avancées vers lui. A notre tour, si nous désirons vraiment connaître Dieu qui se révèle par Jésus, nous ne pourrons jamais le faire sans une démarche personnelle. La foi chrétienne ne se réduit pas à une croyance, ni à une morale. Elle est cette démarche vers Dieu en venant à Jésus, tel que l'on est. Etre chrétien, ce n'est pas acquérir un savoir ni se forger une éthique, c'est entrer en relation avec celui que Dieu a envoyé dans le monde "afin que nous vivions par lui" (1 Jean 4. 9). Nous ne pouvons pas voir Jésus comme l'ont vu ceux qui l'ont rencontré lorsqu'il était sur la terre. Mais, par la foi, nous pouvons le connaître d'une manière intérieure et profonde.Comme eux, nous pouvons croire, et répondre à son amour.

Comment pourrai-je utiliser ma vie afin de construire un pont que Jesus pourra franchir pour atteindre mon entourage ?

Ta promesse me fait vivre

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« Fais-moi premièrement... un petit gâteau »

(1 Rois 17 : 13).

Les ressources manquaient partout ; et pourtant dans une famille, en dehors même des limites du pays, il y avait chaque jour la nourriture pour toute la maison. Pendant « toute une année », jusqu'au jour où l'Eternel donna de la pluie sur la face de la terre, « le pot de farine ne s'épuisa pas et la cruche d'huile ne manqua pas, selon la parole de l'Eternel » (1 Rois 17 : 15-16).

D'où venait cette abondance ? Pourquoi y avait-il dans cette maison-là, à la différence de tant d'autres, nourriture et bénédiction ?

Qu'en toutes choses, il tienne, lui, la première place »

(Col 1 : 18).

“ Pour goûter la joie d'être pardonné, il faut avoir soi-même un esprit de pardon et de vérité dans ses relations. Si nous gardons des sentiments de rancune envers ceux qui nous ont fait du tort, nous ne pourrons pas entrer vraiment dans cette joie. ”